Ouep, on leur en a collé 4 au PSG!
... Hein? Comment ça, c'est pas le sujet? :mrgreen:
Plus sérieusement, FB pointe assez bien la complexité des enjeux, et on réalise qu'ils sont multiples et ne peuvent être considérés isolément. Et suivant de quel point de vue on se place, dans quel contexte, et dans quelle période, on peut faire dire tout et son contraire à un seul événement.
Sinon, Ryo, tes élèves, ils raccourcissent les choses parce que c'est plus pratique: il y a les blancs, les noirs, les arabes et les asiats (les toïs comme je l'ai entendu dire à plusieurs reprises XD). C'est pas marqué sur la tête d'un arabe s'il est tunisien, marocain, algérien, etc, tout comme c'est pas marqué sur la tête d'un blanc s'il est français, anglais, espagnol ou allemand, idem pour un noir ou un asiat. Bref, ce qui vaut dans les autres pays (sur le continent africain, t'es un blanc, point barre), vaut aussi dans le nôtre, et peut-être, je dis bien peut-être, qu'il faudrait voir à ne pas en rajouter là où ce n'est pas la peine, ou à créer des gros mots à partir de mots qui n'en sont pas. Je trouve qu'on est très forts, en France, pour se faire des noeuds au cerveau, qui créent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent. Parce que, comment vivre avec autrui sans arrière pensée, si les mots eux-mêmes deviennent connotés?
... Hein? Comment ça, c'est pas le sujet? :mrgreen:
Plus sérieusement, FB pointe assez bien la complexité des enjeux, et on réalise qu'ils sont multiples et ne peuvent être considérés isolément. Et suivant de quel point de vue on se place, dans quel contexte, et dans quelle période, on peut faire dire tout et son contraire à un seul événement.
Sinon, Ryo, tes élèves, ils raccourcissent les choses parce que c'est plus pratique: il y a les blancs, les noirs, les arabes et les asiats (les toïs comme je l'ai entendu dire à plusieurs reprises XD). C'est pas marqué sur la tête d'un arabe s'il est tunisien, marocain, algérien, etc, tout comme c'est pas marqué sur la tête d'un blanc s'il est français, anglais, espagnol ou allemand, idem pour un noir ou un asiat. Bref, ce qui vaut dans les autres pays (sur le continent africain, t'es un blanc, point barre), vaut aussi dans le nôtre, et peut-être, je dis bien peut-être, qu'il faudrait voir à ne pas en rajouter là où ce n'est pas la peine, ou à créer des gros mots à partir de mots qui n'en sont pas. Je trouve qu'on est très forts, en France, pour se faire des noeuds au cerveau, qui créent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent. Parce que, comment vivre avec autrui sans arrière pensée, si les mots eux-mêmes deviennent connotés?