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Topic: Suck my geek dud' (Read 6611 times) previous topic - next topic

Re: Suck my geek dud'

Reply #30
Ben, quelques lignes plus haut, tu ecrivais :


Cyril ce que tu dis est exactement ce que je pointe à là 49è minute.

En fait le doc est un "historique" des geeks depuis les années 60 jusqu'à maintenant, et effectivement il termine là-dessus, disant que les "vrais" (comme dit Damien) geeks sont maintenant intolérants aux autres.


Donc, s'ils ne sont pas ouvertement condescendants, du moins riront-ils entre eux de ce que des blancs-becs s'aventurent sur leur terrain ?

Quant au comedien de Seyarrr (et Shaka, et Fenril, et Mime, et j'en passe), puisque le soft-geekisme est tendance, au contraire, connaitre son nom serait sinon utile du moins cool ? Je vois l'un de mes collegues qui emballe les poulettes en disant qu'il bosse chez Pokemon. Il y a 10 ans, on lui aurait eclate de rire au nez, c'etait un truc de bebes. Aujourd'hui, il y a un facteur retro, la deferlante adulescente, et tout d'un coup, meme un metier aussi bete que faire parler des souris electriques a un cote glamour.
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Suck my geek dud'

Reply #31
Cyril il y'a quelques messages tu t'étonnais que le geek, qui en quelque sorte est censément sur open sur le monde, sur les gens soient aussi fermé à cette émergence de nouveaux geek arrivée fraichement...

A part te dire que le geek a bien compris qu'il s'agissait là d'une mode, d'une tendance et que les gens qui la suivaient n'étaient que des gens plats qui n'étaient geek qu'en surface et qu'ils étaient donc tout l'inverse du geek ( j'y reviendrais après ) j'ai voulu commencer avec la notion de souffrance ( qui reste propre à toute minorité finalement )...

Ne voulant pas tomber dans l'exemple perso, le cliché ou le syndrome "peter parker" j'ai retrouvé cet article qui dans l'ensemble reflète bien ce que je pense ( et c'est mieux écrit que si je l'avais fait ) : http://www.clem2k.com/2012/08/25/humeur-a-la-mode-geek/

La conclusion d'ailleurs me semble assez forte
Quote
Si jamais je me plante et que c’est une vraie évolution des moeurs, cela voudra dire que plus aucun gamin ne se fera « taquiner » parce que c’est une tronche ou un feru de sciences (j’allais dire torturer mais on va espérer que ces cas sont rares). Si je me plante, c’est une bonne chose, sinon c’est juste un moyen pour la Fnac, Virgin et autres vendeurs de faire du blé, pour que le cinéma enchaine les films a base de licences de jeux vidéo, pour qu’on entende encore plus de musique à base de dubstep, … Mais sinon est ce que le gamin qui code en php dans son coin, qui bidouille du pc et kiffe linux, est ce que ce sera lui le gars cool de son lycée ???


Je ne pense pas qu'on puisse parler d'élitisme de la part des geeks car rien n'est plus jouissif que de rencontrer un des ses pairs après des années de mises à l'écart. Par contre, oui voir que la population geek est acceptée / reconnue seulement parce qu'elle devient tendance, parce que les tortionnaires du lycée d'hier sont aujourd'hui des gens hype en reprenant les codes dont ils se moquaient jadis ben ca, ca c'est rageant !


La question, alors, est : comment diffencier le passionne, le fan et le geek ?


Pour moi c'est assez facile, je colle une "échelle de valeur" ( après y'a plein d'autres trucs que vous avez déjà abordé, je ne vais pas en refaire le tour ). Le fan est une personne qui ne voient les choses qu'en surface, très peu impliqué il consomme son produit et c'est tout. Tu as différent niveaux de fans, certains se renseignent plus que d'autres, sont un peu plus impliqués mais ca ne reste que de la consommation. Le passionné est en quelque sorte le fan à son plus gros degré d'implication, de recherche d'informations avec un grand plus : il est acteur de sa passion. Il jouera de la musique si sa passion est musical, il écrira si sa passion est la lecture etc... D'ailleurs et c'est peut être un terme spécifique à la france je ne sais pas mais ne dit on pas des artistes que ce sont des gens qui cherchent à vivre / vivent de leur passion ? Par contre le passionné reste assez focus sur une chose, il peux être fan de plusieurs choses mais rarement passionné et acteur avec autant de ferveur sur 2 sujets dissociés.

Pour moi le geek se situe entre les deux. C'est quelqu'un qui a soif de savoir, de connaissances sur un sujet mais qui s'arrêtera là où le passionné lui commencera à devenir acteur de sa passion. Le geek a cette particularité à passer à autre choses avec autant de ferveur que ce sur quoi il était précédemment et à reproduire sans cesse ce schéma.

Par contre il n'oublie pas ce qu'il apprend et fait même des ponts entre ses connaissances sur un sujet et un autre, c'est là une de ses grandes spécialités. Une autre spécialités étant la mise en sommeil de ce côté geek. Parce que c'est un peu synonyme de souffrance passé, parce que c'était longtemps honteux ( alors qu'en société être passionné c'est bien vu ) le geek arrive à mettre en sommeil tout ca, pour accéder parfois à la vie qu'il fantasmait ( rencontrer des FILLESSSSSSSSSSSSSSSSSS !!!  / être plus adapté socialement en espérant au pire pouvoir tenir le bout de gras assez longtemps sur un sujet pour qu'on pense qu'il est fan ou passionné mais surtout pas geek ) mais sans pour autant supprimer ce qu'il a au fond de lui et un jour ou l'autre il replongera de plus bel :)
Vous n'avez aucune passion.

Re: Suck my geek dud'

Reply #32
D'après moi la réponse est simple. En effet dans les derniers messages, vous vous éloignez de la racine même du geek.
Un geek se distingue totalement du fan par ses origines "historiques". Un geek, c'est un gars (ou une fille mais plus rarement) qui ne fait pas de sport, qui ne suit pas les phénomènes de modes et de foules, mais au contraire qui s'intéresse à des trucs totalement ineptes pour le grand public : les mangasses, les romans de chevaliers qui tuent des dragons avec des magiciens, les BD et jeux vidéos qui par définition sont pour enfants, les films avec des robots qui tirent partout des grosses voitures et des filles à poil, et les langues inutiles (japonais, coréen, chinois).
Selon moi toujours, la définition d'un geek c'est en gros un "inadapté" - mais de même que la normalité ne se définit pas mais est fonction des autres, l'adaptation se juge par rapport aux autres.

Un geek, c'est un fan, mais sur un sujet non mainstream. Parce que des fans hardcord du PSG ou de l'OM qui sont capables de citer l'arbitre du match XX en telle année qui s'est fini à tel score, il y en a aussi, mais ce ne sont pas des geeks, forcément, vu que c'est du foot...


La définition que tu donnes me semble pouvoir être élargie largement au-delà du sens strict et historique. Pour moi, je le verrais plutôt comme quelqu'un qui met une ou des passions au centre de sa vie au point de se désocialiser (partiellement ou totalement). Car il va être accaparé par le sujet de sa passion dont il veut tout connaître. Il est vrai que les geeks au sens premier sont ceux que l'on voit le plus, car l'informatique leur a permis de se rencontrer entre eux, et de constituer une communauté. Mais je ne doute pas que par exemple certains supporters sportifs soient dans la même démarche (on devrait bien en trouver quelques-uns capables de donner tous les résultats des matchs de football de division d'honneur depuis 1945.)

Ce que l'on remarque en tout cas, c'est que la plupart des gens ne s'intéressent pas, sauf par politesse, aux détails extrêmement précis d'un sujet dont ils ne sont pas passionnés ou ne se sentent pas concernés, que ce soit dans le domaine des loisirs, du boulot… ou même de la vie en société (par exemple, la proportion de copropriétaires qui se foutent de comment marche ou pas cette structure dont ils ont pourtant acheté fort cher des "actions" est impressionnant)

Moi, en tout cas, voilà comment je vois les niveaux d'intérêt sur un sujet qu'on peut définir pour une personne (avec naturellement toutes les gradations possibles entre catégories, et des passages de l'une à l'autre au cours du temps):

  • Ne s'y intéresse pas. Ne se sent pas concerné par le sujet, même s'il en connaît des parties, voir ne connaît même pas son existence

  • Amateur. Connaît l'existence du sujet, en a une connaissance superficielle. Il peut ponctuellement en connaître quelques détails. Le sujet l'intéresse mais il ne s'y investit pas. Il se tient au courant de l'actualité, pour autant qu'il en soit informé

  • Expert. Connaît le sujet, y compris dans un certain nombre de détails pointus. Il s'intéresse au sujet, et se documente dessus, sans que cela occupe toute sa vie. Il va chercher de lui-même les informations sur le sujet

  • Obsédé… Geek: Connaît précisément le sujet, y compris dans ses détails les plus fins. Consacre tout son temps et son énergie à chercher les informations sur le sujet.



En parallèle à ça, certains collectionnent. Le geek a toutes les chances d'être un collectionneur. Il accumule les connaissances aussi bien dans sa tête que chez lui. L'amateur et l'expert sont plus ou moins souvent collectionneurs…

Après, je suis aussi d'accord avec ce que dit kgeg.

Re: Suck my geek dud'

Reply #33
Je n'ai pas lu le début, excusez... juste la fin mais... MCL :

Quote
Car il va être accaparé par le sujet de sa passion dont il veut tout connaître


Ce n'est pas plutôt un Otaku ?
" En France, les peines d'argent durent plus longtemps que les peines
de coeur et se transmettent de génération en génération. "

 ( Silhouette du scandale )
Aymé, Marcel

Re: Suck my geek dud'

Reply #34
L'otaku, est-ce que ne ce serait pas la version orientale du geek, avec une spécialisation manga/culottes/figurines là où le geek sera plus connaisseur en comics et fantasy (deux thèmes fort peu populaires au pays du Soleil Levant) ?

Bref, l'un comme l'autre passeront plus de temps dans leurs mondes que dans le réel, en fait. Non pas qu'ils aient nécessairement tort, hein.

Aussi, c'est amusant, car, bien qu'étant allergique à la fantasy, à la SF et ayant des compétences en informatique fort discutables, on m'a qualifié de "geeky" à plusieurs reprises (connaissance des jeux vidéo et des comics, je devine), et de "hot geek" (car il y a définitivement un type physique dans la tête des gens auquel je ne correspond vraisemblablement pas). Mais c'est étrange, parce que je ne me sens pas du tout geek (mais volontiers passionné : musique, sport, lecture, cuisine de plus en plus, etc.). J'ai l'impression d'être repoussé dans cette catégorie car je n'aime pas ce que la majorité préfère (télé, foot, beuveries entre potes, étaler ma vie sur FB, etc.). Bah !
永遠に、あなたのモノ・・・

 

Re: Suck my geek dud'

Reply #35
Quote
J'ai l'impression d'être repoussé dans cette catégorie car je n'aime pas ce que la majorité préfère (télé, foot, beuveries entre potes, étaler ma vie sur FB, etc.). Bah !


ben c'est exactement ce que je disais  ^^

Quote
EDIT : pas d'accord avec ton exemple sur Legrand. On peut etre passionne de doublage et connaitre des listes de comediens de doublage, fussent-ils specialises dans le dessin anime.


Pas d'accord, pour moi, ça, c'est faire un accès de geekerie :o Dans le sens où pour la majorité, s'intéresser à ça c'est juste... inutile?

Et de là, je développe (je suis en train de boire une infusion des "Alpes" à base de framboise/myrtille, et ça a le goût de la... Josacine  :peur: C'est juste infâme): je crois que ce qui peut distinguer le geek du passionné ou du fan (pour moi, c'est un peu beaucoup la même chose ceci dit, pour les deux derniers), c'est que les passions du geek seront considérées par la majorité un peu comme ça:  :oo: :mouais: :mdr2:

Tu es passionné par le vin, tu sais tout sur tout, tu es capable de détailler le processus de vinification étape par étape, en y mettant un peu de chimie au passage: tu es un dieu. Par contre, tu es passionné par des animes japonais obscurs jamais édités en France et en copie limitée au Japon: tu es un attardé mental, passablement dangereux.
Après, tu as l'entre-deux, ceux qui sont passionnés par les timbres, les petites voitures, les trains, les pièces anciennes, les sous-bocks, les boites de camembert, etc... Il s'agit là de passions "traditionnelles", sans danger, dont tout le monde a entendu parler au moins une fois en regardant le journal de JP Pernaut.

Et c'est là que ça coince: on peut être passionné par un truc, être à fond dedans mais à partir du moment où la société connaît, elle ne se sent pas menacée, car ce n'est pas étrange à ses yeux.

Par exemple, tu es passionné par la musique classique, tu as des connaissances livresques sur le sujet, c'est hallucinant, mais pour moi tu n'es pas un geek là dessus car c'est une passion considérée comme noble (le même spécialisé en black metal sataniste, à mon avis, ce ne sera pas tout à fait la même chose...). Idem pour l'époque littéraire dans laquelle tu t'es spécialisé. Certes, tu ne trouveras pas grand monde pour en causer avec toi, mais on ne te regardera pas forcément comme un fou furieux si tu en parles à des néophytes aussi techniquement soit-il. Because, hé, mec, musique classique et littérature! Ca en jette! XD c'est de la... culture. De la vraie comme dans les dictionnaires.

Maintenant, prenons un cas au hasard: le mien ( :mdr:). J'aime beaucoup la medieval fantasy et la fantasy tout court, je n'en suis pas une spécialiste, loin très loin de là, mais je m'y intéresse, je lis des articles, des interviews d'auteurs, je guette certaines sorties, je suis capable de citer quelques anecdotes que seuls les "initiés" connaîtront, ou de comprendre certaines vannes très connotées. Si je dis que je lis ce genre de bouquins, on va me regarder comme ça:  :shifty: et on ne va pas s'intéresser au pourquoi du comment je lis ça. Les gens vont se dire que c'est de la littérature de gare (les mêmes qui lisent Douglas Kennedy ou Marc Levy hein...  :sleeping:), que c'est pour les gamins ou que sais-je d'autre. Ils n'ont pas besoin de me le dire: je le vois dans leurs yeux.

Et c'est idem pour l'écriture (fanfiction ou ori), et là je dirais que seuls ceux qui écrivent peuvent me comprendre là dessus. Ce n'est pas de la condescendance, c'est la réalité. Généralement les gens prennent ceux qui écrivent comme des doux dingues et si en plus, on se permet de digresser sur les figures de style, de reprendre les collègues sur le vilain pléonasme qui traine, ou sur le non respect de la ponctuation (et là, c'est de la geekerie à l'état pur), alors là, on passe pour l'extra-terrestre de service.

Voilà, en gros ma perception de la différence entre le geek (celui qui retient des trucs que personne d'autre ne retient et qui en plus en ressort) et le passionné/fan.





Re: Suck my geek dud'

Reply #36
C'est marrant, quand je parle à des Français et ils me disent qu'ils lisent eux aussi, ils citent immédiatement Marc Lévy.  :lac:

Breeeef. Si les gens te regardent bizarrement à cause de la nature de tes loisirs, c'est bien triste. Mais si je n'ai pas de réactions d'hilarité quand je parle de mes loisirs, j'ai zéro répondant (ou alors, des énormités pour faire genre je connais), et ça limite les interactions. Ça me rappelle cette pauvre fille qui essayait de se faire mousser auprès d'une collègue (fan de voyages risqués, genre 3 semaines de stage ranger en Tanzanie avec les lions), en disant : "ouais, moi aussi, j'adore les animaux. C'était trop fort, en Afrique du Sud, les tigres (sic) !" :sleeping: :sleeping:

En parlant d'écrire, d'ailleurs, ça me démange. Et là encore, je me sens seul, car les figures de style ou les règles de typographie n'intéressent que moi (enfin, mes collègues viennent me voir quand ils ont un doute...).
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Suck my geek dud'

Reply #37
Quote
En parlant d'écrire, d'ailleurs, ça me démange. Et là encore, je me sens seul, car les figures de style ou les règles de typographie n'intéressent que moi


En même temps, l'écriture est une activité solitaire.... sauf au mois de novembre! Parce que Novembre, c'est le Nano! \o/ Et que pendant le Nano, on est tous dans la même galère, on se met des coups de pied mutuels et virtuels pour claquer les 50 000 mots en 30 jours!

(mais je m'enflamme là, non?)

Re: Suck my geek dud'

Reply #38
Le Nano ? :mouais:
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Suck my geek dud'

Reply #39

Quote
En parlant d'écrire, d'ailleurs, ça me démange. Et là encore, je me sens seul, car les figures de style ou les règles de typographie n'intéressent que moi


En même temps, l'écriture est une activité solitaire.... sauf au mois de novembre! Parce que Novembre, c'est le Nano! \o/ Et que pendant le Nano, on est tous dans la même galère, on se met des coups de pied mutuels et virtuels pour claquer les 50 000 mots en 30 jours!

(mais je m'enflamme là, non?)

Le Nano ?

Re: Suck my geek dud'

Reply #40
Je suppose que c'est ça :
http://www.nanowrimo.org/

Mais s'il faut écrire en anglais, c'est mort, je ne travaille qu'en français pour mes loisirs.
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Suck my geek dud'

Reply #41
Le Nano: The National Novel Writing Month.

http://fr.wikipedia.org/wiki/NaNoWriMo

(PS: le site rame dur aujourd'hui).

Concept US qui a fait des petits depuis plusieurs années qui a pour principe de désigner, chaque année, le mois de Novembre comme le mois de l'écriture avec un seul et unique défi: écrire 50 000 mots en 30 jours. De quoi? De ce que vous voulez: un projet de roman, une fic, une thèse, n'importe quoi pourvu que vous atteigniez les 50 000 mots.

On ne gagne rien si ce n'est la satisfaction du défi accompli.

L'idée n'est pas de faire de la qualité mais de la quantité. Ca peut paraître absolument barbare vu comme ça, mais le concept est utile dans le sens où cela oblige le scribouilleur à se faire violence, à avancer quoi qu'il en coûte, à s'obliger à une certaine discipline, à booster son cerveau. On peut parfaitement reprendre à tête reposée ce premier jet, le retravailler plus tard. Dans tous les cas on aura avancé et c'est tout ce qui compte.

La communauté francophone est sympa, on retrouve bien entendu les potes de la fanfiction, on en "rencontre" d'autres, on échange sur les techniques d'écriture, les organisations des uns et des autres, les blocages, les idées, etc, etc. C'est très convivial et l'ambiance est très chouette!

Pour ce qui me concerne j'avais opté pour un demi nano l'année dernière (via la communauté LJ muse_random) et je l'avais réussi. Donc cette année je tente le vrai. Honnêtement, je ne pense pas y parvenir (1700 mots/ jour en moyenne, nan mais...  :mdr:), mais cela va me permettre - je l'espère - de finir ma fic en cours.

Re: Suck my geek dud'

Reply #42
Je réalise mal... Une page Word, c'est combien de mots déjà ? 800 ? J'ai perdu toute notion de ce genre de comptage, devant travailler au caractère dans mon métier. :sweatdrop:
Quant à produire au kilomètre, cela peut constituer un excellent exercice, mais comme je suis inspiré par le style de Villiers-de-l'Isle-Adam, c'est quelque chose de (très) court mais réfléchi à la virgule près qui m'intéresse. :sweatdrop:
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Suck my geek dud'

Reply #43

Je réalise mal... Une page Word, c'est combien de mots déjà ? 800 ? J'ai perdu toute notion de ce genre de comptage, devant travailler au caractère dans mon métier. :sweatdrop:

Je dirais plutôt 600, même si c'est difficile à évaluer puisque tout dépend de la mise en page. En tout cas, 50 000, ça me semble énorme !  :sweatdrop:

Pour le reste, tout est vraiment relatif finalement. Car dans le milieu où je travaille, s'intéresser aux littératures alternatives du XVIIIe siècle, à la syntaxe française ou être écrivain à ses heures perdues, c'est plutôt bien vu, voire très bien vu.  ^^

Re: Suck my geek dud'

Reply #44
Marrant pour moi aussi nano c'est lié à du texte tapé à l'ordinateur:
http://www.mistra.fr/tutoriel-linux-nano.html

Mais perso j'utilise comme tout utilisateur d'Unix/Linux averti vi , enfin précisement vim:
http://www.siteduzero.com/news-62-30991-p1-linux-vim-l-editeur-de-texte-du-programmeur.html

C'était mon instant geek  :partytime:
This is ma jolie signature