Ah mais j'assume totalement le jugement de valeur, je ne suis pas du tout dans une disposition scientifique, là. A partir du moment où j'exprime une pensée personnelle, je suis dans le jugement de valeur. Tout comme chacun d'entre nous depuis le début de la conversation.
Après, je veux bien faire une recherche d'articles sociologiques permettant d'avoir un point de vue plus objectif, en effet.
Et que "certains parents ne savent pas éduquer leurs gosses", oui, en effet, mais pas que. Certains ne peuvent pas. Certains ne veulent pas. Le fait est qu'ils sont largués, pour des raisons multiples, variées. Ce qui est critiquable, c'est les conditions qui rendent certains parents démissionnaires alors qu'objectivement ils pourraient gérer. Mais là encore, il est hors de question de mettre tous les parents en galère dans le même sac, loin de là. Ni tous les parents tout court dans le même sac. Quand tu peux pas, tu peux pas. Ma critique porte sur les parents qui, manifestement et de manière avérée, surprotègent leurs gamins et potentiellement attendent des profs qu'ils résolvent (pensée magique) tout ce qu'il est possible de régler, y compris leur part à eux.Citation de FinalBahamut le 1er Novembre 2018 à 22:30 Ben c'est ça, qui est chiant.
C'est un métier. Et en tant que tel, le discours professionnel devrait être, comme dans tous les métiers, exempt des jugements individuels des "clients" potentiels (je suis désolé d'utiliser ce mot très inadapté, mais utile pour la démarche rhétorique). Sauf que dans ce métier-là, le jugement professionnel est soumis à la critique parentale (le summum, vécu déjà est le "oui, mais vous pouvez pas comprendre, vous n'avez pas d'enfant", double sanction et étiquetage, pour le coup, alors que la non parentalité chez moi n'est par exemple pas totalement assumée et que cette remarque tout sauf anodine dénie la dimension professionnelle du métier qui devrait, en tout état de cause, prévaloir et est niée de facto).
C'est l'inverse que je veux dire. C'est un métier et en tant que tel, un avis professionnel vaut tout autant que l'avis d'un professionnel de toute autre profession.
Donc soumis à la critique desdits clients (encore navré), mais de manière périphérique. Dans ce job-là, c'est supermassif. Et on en revient au débat un peu plus haut sur les comportements des adultes vis-à-vis de certaines professions en face de leurs mômes.
Après, je veux bien faire une recherche d'articles sociologiques permettant d'avoir un point de vue plus objectif, en effet.
Et que "certains parents ne savent pas éduquer leurs gosses", oui, en effet, mais pas que. Certains ne peuvent pas. Certains ne veulent pas. Le fait est qu'ils sont largués, pour des raisons multiples, variées. Ce qui est critiquable, c'est les conditions qui rendent certains parents démissionnaires alors qu'objectivement ils pourraient gérer. Mais là encore, il est hors de question de mettre tous les parents en galère dans le même sac, loin de là. Ni tous les parents tout court dans le même sac. Quand tu peux pas, tu peux pas. Ma critique porte sur les parents qui, manifestement et de manière avérée, surprotègent leurs gamins et potentiellement attendent des profs qu'ils résolvent (pensée magique) tout ce qu'il est possible de régler, y compris leur part à eux.
Si tu veux me faire dire que tu fais un métier particulier, parce que tu enseignes à "nos enfants", oui bien sûr.
C'est un métier. Et en tant que tel, le discours professionnel devrait être, comme dans tous les métiers, exempt des jugements individuels des "clients" potentiels (je suis désolé d'utiliser ce mot très inadapté, mais utile pour la démarche rhétorique). Sauf que dans ce métier-là, le jugement professionnel est soumis à la critique parentale (le summum, vécu déjà est le "oui, mais vous pouvez pas comprendre, vous n'avez pas d'enfant", double sanction et étiquetage, pour le coup, alors que la non parentalité chez moi n'est par exemple pas totalement assumée et que cette remarque tout sauf anodine dénie la dimension professionnelle du métier qui devrait, en tout état de cause, prévaloir et est niée de facto).
C'est l'inverse que je veux dire. C'est un métier et en tant que tel, un avis professionnel vaut tout autant que l'avis d'un professionnel de toute autre profession.
Donc soumis à la critique desdits clients (encore navré), mais de manière périphérique. Dans ce job-là, c'est supermassif. Et on en revient au débat un peu plus haut sur les comportements des adultes vis-à-vis de certaines professions en face de leurs mômes.