Qu'il applique ses idées à la con, ce sera un prétexte de plus pour se barrer de ce pays... :sleeping:
Re: Nicolas Sarkozy, candidat UMP à l'élection présidentielle 2007
« Réponse #195, le 2 Février 2007 à 13:07 »
Ou impitoyable, prochaine fois que tu sors ça je te modère ? Dans le second cas, tu pourras toujours te brosser Martine, ton poste de modo ne te permet pas d'imposer ton opinion. [...]
Ben moi sincèrement, ses idées me font un peu peur c'est vrai.
On sais pas ou il va aller le bonhomme on a vraiment l'impression qu'il est prêt à tout .
C'est ça qui fait peur.
NICOLAS SARKOZY S'EFFORCE DE SÉDUIRE LES ENSEIGNANTS
MAISON-ALFORT, Val-de-Marine (Reuters) - Nicolas Sarkozy s'est efforcé vendredi soir de séduire les enseignants, électorat traditionnellement acquis à la gauche, qu'il a invités à relancer avec lui "le projet des Lumières".
Professeurs et instituteurs "ne sont pas responsables" de la "faillite" du système éducatif français, a déclaré le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle lors d'une réunion publique à Maison-Alfort (Val-de-Marne), devant environ 2.000 personnes.
"La plupart des enseignants font preuve d'une immense compétence et d'un très grand dévouement dans un système qui décourage toute initiative et tout effort", a-t-il ajouté. "Je n'accepte pas qu'on fasse des enseignants les boucs émissaires d'un désastre dont la politique est seule responsable."
Il a imputé la "faillite" de ce système à l'esprit hérité de la révolte étudiante de mai 1968 qui a conduit, a-t-il dit, à confondre "l'élévation de chacun avec le nivellement de tous".
Le résultat est un système qui ne sélectionne plus par l'excellence mais par la "capacité des parents à compenser la défaillance de l'école" et qui ne "corrige plus les inégalités mais les aggrave", a ajouté Nicolas Sarkozy.
Il a également mis en cause les gouvernements de gauche, en citant Léon Blum : "L'émulation scolaire c'est l'égalité vraie".
"Pourquoi les socialistes ont-ils abandonné Léon Blum", a dit Nicolas Sarkozy, dont le discours était de nouveau truffé de références à des figures historiques de la gauche.
"On a laissé l'école aux gestionnaires, on a laissé la pédagogie aux experts et on a laissé les programmes aux spécialistes", a enfin déploré Nicolas Sarkozy.
"On peut toujours essayer de se rassurer avec quelques statistiques qui montrent que le niveau monte", a-t-il ajouté. "Eh bien ces statistiques valent à peu près la même chose que les statistiques de l'indice des prix qui prétendent démontrer que l'euro n'a pas fait monter les prix. Je les crois aussi inexactes."
Il a proposé aux enseignants de faire avec lui "l'école du XXIe siècle" : "Je veux qu'ils sachent que la révolution de l'école que je souhaite sera d'abord la leur (...) Je vous propose de reprendre le projet des lumières et la France, de nouveau, incarnera aux yeux du monde la foi dans l'avenir."
REVALORISER LES CARRIERES DES ENSEIGNANTS
Il a énuméré les mesures qu'il promet de mettre en oeuvre et qu'il avait pour l'essentiel déjà présentées.
Il s'est notamment engagé à ce que les programmes scolaires et le projet éducatif soient débattus "devant le Parlement et le pays" et s'est de nouveau déclaré en faveur de l'organisation par les établissements scolaires d'études surveillées après les cours pour les enfants dont les parents travaillent.
Il a proposé que les enseignants volontaires pour diriger ces études ou faire du soutien scolaire "reçoivent un surcroît de rémunération". Il a admis que le pouvoir d'achat et les conditions de travail des enseignants s'étaient "dégradés" et s'est engagé à revaloriser leurs carrières et à "multiplier les passerelles" vers les autres administrations publiques.
Il a promis que les gains de productivité réalisés dans l'éducation seraient redistribués aux enseignants "pour moitié" et s'est engagé à ce que ceux-ci soient "mieux formés, mieux accompagnés, mieux soutenus et moins isolés".
Il leur a également promis une "modulation des moyens", en fonction des "handicaps des élèves" et des établissements, et la "liberté pédagogique", envoyant au passage une pierre dans le jardin de l'actuel ministre de l'Education nationale.
"Qui mieux que l'instituteur peut choisir la bonne méthode pour apprendre à lire à l'enfant qui est en face de lui et qu'il apprend tous les jours à connaître ? Certainement pas en tout cas un bureaucrate parisien enfermé dans son bureau," a-t-il dit en se référant au rétablissement de la méthode syllabique imposé par Gilles de Robien à des enseignants réservés.
Mais il a aussi affirmé qu'il souhaitait voir reconnue "l'utilité sociale de l'enseignement privé", sujet sensible.
Il a d'autre part proposé l'instauration d'une allocation familiale "dès le premier enfant", parce que le premier enfant "représente une charge très lourde pour les jeunes couples".
Il a en revanche prôné des sanctions pouvant aller jusqu'à la suspension, la mise sous tutelle ou la suppression des allocations familiales pour "les familles qui ne s'occupent pas de leurs enfants mineurs, qui les laissent traîner dans la rue, qui les laissent commettre des délits, qui ne respectent pas l'obligation de les scolariser".
Allons, c'est pas parce que c'est un fou dangereux prêt à trahir et à marcher sur ses amis pour paraître 10 cm + grand qu'il faut en avoir peur voyons... :whistling2:Citation de Wingman le 2 Février 2007 à 12:55 Ben moi sincèrement, ses idées me font un peu peur c'est vrai. On sais pas ou il va aller le bonhomme on a vraiment l'impression qu'il est prêt à tout . C'est ça qui fait peur.
Cout d'un test ADN : 500¤
Ils ont fait 2 tests ADN pour le SarkoScoot, donc 1000¤ !
(Source : Le Canard Enchaîné du 31/01/07)
ha, une soirée dvd, quoi :)
Même sans voter pour lui, c'est pas interdit de s'intéresser...ne serait-ce que pour pouvoir critiquer en connaissance de cause.Citation de Poseidon le 5 Février 2007 à 20:44 ha, une soirée dvd, quoi :)
Son histoire de franchise pour la sécu est pas mal dans l'esprit, 15 euros à la première dépense.... Je trouve ça pas mal :mouais: