Que l'état supprime toute aide/allocation à ces parents démissionnaires pour les pousser à s'occuper plus, mieux et vraiment de leur enfants. A mon humble avis, y'en a plus d'un qui prendrait conscience de son rôle d'éducateur et qui assumerait totalement l'éducation de son gamin. Parce que bon, on supprime les APL, les allocations familiales, les allocations de rentrée scolaire et compagnie à ces parents là, à mon avis, ils seraient pas très contents et taperaient un bon coup sur la table (ou mettrait une bonne droite à son gamin).
Alors, cette loi datant de la Guerre d'Algérie (1955), c'est ce fameux article 16 dont parlait Strangler ?
L'état d'urgence ne peut être décrété qu'en Conseil des ministres, pour des zones précises, et seulement pour douze jours. Une prolongation au-delà de ces douze jours doit être autorisée par une loi votée par le Parlement.
Par la suite, il n'a été utilisé qu'en décembre 1984 pour rétablir l'ordre en Nouvelle-Calédonie.
L'état d'urgence simple donne pouvoir au préfet d'interdire la circulation des personnes ou des véhicules dans les lieux ou aux heures fixés par arrêté.
Le ministère de l'Intérieur peut quant à lui "prononcer l'assignation à résidence" d'une personne "dont l'activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre publics".
En cas d'état d'urgence aggravé, le ministre peut autoriser des perquisitions de jour et de nuit, voire contrôler la presse.
La majorité ? Et puis quoi encore !!
Tu as eu une expérience malheureuse, c'est un fait. Mais bon, de là à penser que la majorité aurait pu te faire ça...
Le mieux ça reste les centres de redressement éducatif, enfermé sans téloche, sans Playstation et sans copains du quartier, ça calme direct. whip
D's©