Je dois vous avouer que je vois trouble pour ce qui concerne la réforme du lycée (et du baccalauréat... confirmant d'ailleurs que le lycée n'existe que pour le Bac).
Je ne comprends pas trop cette réforme, disons que j'ai de nombreuses interrogations en ce qui concerne :
- son calendrier : la génération qui passera le bac en 2021 rentre en seconde en septembre. Elle ne semble pas faire partie de la réforme, à l'exception "d'ajustements" qui seront à moyens constants donc qui n'auront aucun sens/aucune plus value. Mais cela, je trouve, pose problème par rapport à ce qui suit en premier et en terminale. Pour la redéfinition du programme, le calendrier est bien tenu... Mais je fais confiance à Blanquer pour faire en sorte que la Pravda de l'EN ponde un truc qui ne pourra être contesté puisque les media lui mangent dans la main.
- les modalités de préparation à la réforme : un lycée doit-il proposer toutes les combinaisons ? Ou au contraire exclure ? Comment gérer le personnel enseignant potentiellement inadapté à la réforme ? Va-t-il y avoir des filières d'excellence (je connais là réponse hein) ? Va-t-il y avoir des filières garages (idem) ?
- les modalités d'orientations et/ou de sélection : quels seront les principes ? Vœu de l'élève ? Niveau de l'élève ? En fonction de places disponibles ?
- évidemment les grilles d'évaluation et les modalités d'examens : resterons nous dans la bienveillance du laxisme et de la démagogie ? Va-t-on imposer les évaluations par compétences et sans note qui m'abrutissent (et ne rendent pas les élèves meilleurs) ? Comment gérer les contrôles continu en période scolaire ? Comment s'assurer de respecter l'égalité républicaine car on remarque bien que le contrôle continu au collège est un moyen d'offrir le Brevet aux élèves avant le 20 juin pour beaucoup d'établissements.
Dans le présent, parcours sup me semble une usine à gaz comme APB... Et j'en reviens à ce que disaient MCL et FB : les gens créent de l'activité là où il y a des demandes. L'orientation en terminale, et surtout la gestion administrative, est du grand n'importe quoi. Je me demande d'ailleurs (beaucoup d'articles en ce sens) comment les Universités vont-elles réussir à gérer ce bordel.
Donc bon, moi, étant en collège, je donne suffisamment avec la réforme du collège et ses aberrations. J'observe, et on verra.
Je ne comprends pas trop cette réforme, disons que j'ai de nombreuses interrogations en ce qui concerne :
- son calendrier : la génération qui passera le bac en 2021 rentre en seconde en septembre. Elle ne semble pas faire partie de la réforme, à l'exception "d'ajustements" qui seront à moyens constants donc qui n'auront aucun sens/aucune plus value. Mais cela, je trouve, pose problème par rapport à ce qui suit en premier et en terminale. Pour la redéfinition du programme, le calendrier est bien tenu... Mais je fais confiance à Blanquer pour faire en sorte que la Pravda de l'EN ponde un truc qui ne pourra être contesté puisque les media lui mangent dans la main.
- les modalités de préparation à la réforme : un lycée doit-il proposer toutes les combinaisons ? Ou au contraire exclure ? Comment gérer le personnel enseignant potentiellement inadapté à la réforme ? Va-t-il y avoir des filières d'excellence (je connais là réponse hein) ? Va-t-il y avoir des filières garages (idem) ?
- les modalités d'orientations et/ou de sélection : quels seront les principes ? Vœu de l'élève ? Niveau de l'élève ? En fonction de places disponibles ?
- évidemment les grilles d'évaluation et les modalités d'examens : resterons nous dans la bienveillance du laxisme et de la démagogie ? Va-t-on imposer les évaluations par compétences et sans note qui m'abrutissent (et ne rendent pas les élèves meilleurs) ? Comment gérer les contrôles continu en période scolaire ? Comment s'assurer de respecter l'égalité républicaine car on remarque bien que le contrôle continu au collège est un moyen d'offrir le Brevet aux élèves avant le 20 juin pour beaucoup d'établissements.
Dans le présent, parcours sup me semble une usine à gaz comme APB... Et j'en reviens à ce que disaient MCL et FB : les gens créent de l'activité là où il y a des demandes. L'orientation en terminale, et surtout la gestion administrative, est du grand n'importe quoi. Je me demande d'ailleurs (beaucoup d'articles en ce sens) comment les Universités vont-elles réussir à gérer ce bordel.
Donc bon, moi, étant en collège, je donne suffisamment avec la réforme du collège et ses aberrations. J'observe, et on verra.