J'adore :mdr2:
Re: François Hollande, élu Président de la République
« Réponse #60, le 8 Mai 2012 à 08:58 »
A ce sujet, t'as deux versions :
- celle de sarko qui dit qu'il pensait qu'Hollande s'enfonçait (et il s'est trompé) et l'a donc laissé faire.
- celle d'Hollande qui a dit que lors de sa tirade, il a regretté qu'il n'y ait pas de plans de coupe à ce moment
Morano a sorti une polémique sur des drapeaux étrangers
Vendetta se casse (youppi)
Y a un truc que je pige pas encore bien : Poseidon, tu es Belge ou Français ? :mouais:
Je ne dis pas le contraire, mais souvent le fait divers fait ressortir une défaillance, et donc il est normal de vouloir réagir. Le problème du législateur c'est qu'il n'y connais rien c'est triste mais c'est comme ça, on a toute une bande de type actuellement qui sont politique ou qui se disent juristes, sans avoir fait vraiment de droit (comme pas mal de magistrat). Pourquoi ? Tout simplement parce que les concours sont mal fait, notamment celui de l'ENM qui pendant longtemps ne laissait presque aucune place aux non issus de ScPo, le concours était fait pour eux (grande place de la culture G, aux oraux etc, mais non a du droit brut !).Citation Le rythme: Un fait divers => Une loi, ne sert au mieux à rien, voir est même nuisible. On empile les textes qui soit disent des choses qui étaient déjà écrites, soit au final sont inapplicables ou encore dangereux pour les libertés car écrits trop rapidement. Si le rôle du président, c'est d'accourir dans le JT de Lolo Ferrari à chaque chien écrasé, alors je pense qu'on peut sans regret supprimer une fonction inutile.
Le résultat des textes de lois qui ne veulent rien dire,des textes petit à petit écartés car vide de sens, une hyper législation sur des sujets non maitrisés, des décisions de justice qui ne veulent rien dire, des magistrats ne sachant pas lire un Code etc...
On ne refait pas l'histoire. Il ne suffit pas d'être le meilleur pour gagner.
Moi je parle des législatives qui arrivent, en montrant que le discours de l'UMP aujourd'hui va complètement à l'inverse du discours de 2007.