Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.

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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #152, le 15 Janvier 2011 à 13:22 »
Je me demande si c'est pas finalement juste apres le cyclone que les dangers sont plus grands...

En tout cas c'est toujours impressionnant ces videos de torrents de boue qui se deversent comme ca, presque sans aucune perturbation induite par les infrastructures humaines qu'ils rencontrent.

Je me demande comment marche les assurances en caledonie, je veux dire, existe t-il des ajustements du fait de la localisation de l'ile en zone cyclonique? Les assurances sont elles un marche monopolise par une seule societe en Nouvelle Caledonie a l'instar de l'aviation civile? Est-ce que les organismes d'assurances pour le public sont completement distincts des grands organismes assurant les projets et infrastructures minieres?
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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #153, le 15 Janvier 2011 à 13:34 »
J'en ai... Aucune idée a vrai dire. Pour les agriculteurs, j'imagine que pour des dégâts concequents ils attendent que l'état ou le territoire décide d'un classement en catastrophe naturelle. Les assurances des particuliers doivent probablement inclure des clauses et barèmes spéciaux pour les voitures, maisons et bateaux. Quand aux industries minières,franchement, je ne sais pas.
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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #154, le 15 Janvier 2011 à 13:43 »
Pour la calédo il y des paliers pour l'assurance. Bref tu as une option cyclone si tu ne l'a pas prise tout dégats du par un cyclone ne sont pas pris en charge.

Donc là c'est à voir vu que Vania n'a pas été classé en cyclone lors de son passage sur la grande terre et sur les loyautes. Il y a eut des dégats mais ils sont mineurs en terme d'infrasturcture. La deventure de pacific refigeration (que je trouve assez zarb vu sa localisation), la parking auto de la vallée des colons et apres pas mal de branchages du à la négligence des locataires qui n'ont pas élagé leurs arbres.

Bref beaucoup de vent de la pluie et des lits de rivieres qui débordent.
En attendant pour EEC pas eut beaucoup d'intervention les quartiers coupés sur Nouméa sont assez restreint, Porte de Fer par le décrochage d'un ligne, Tuband l'explosion d'un transfo (bizarre car le transfo est dans un local spécifique et il a été receptionné il y a 5 ans), quelques zones à Auteuils et Yahoué à cause de la chute de branche et idem pour les Koghis.

En tout cas pour une tempete le gouvernement à bien géré hormis quelques abrutis qui se sont amusé à sortir alors qu'on était en rouge. Maintenant on serre encore les fesses et on attends la prochaine pour dimanche soir.
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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #155, le 18 Janvier 2011 à 12:08 »Modifié le 18 Janvier 2011 à 12:10 par Jaxom
Tinou, puisque tu cherchais à savoir comment se passent les remboursements et la gestion des assurances :
Citation de http://www.lnc.nc/pays/autres/meteo/231446-des-champs-de-ruines.html
Depuis samedi, les producteurs agricoles font le compte des dégâts. La Cama et l’Apican indemniseront à 100% tous ceux qui sont assurés et plus rapidement que prévu.

« Tout est inondé, ça va pourrir. J’avais de grosses commandes pour les îles ! » Alors que la pluie tombait par rafales depuis le matin, Jean-Pierre Zenkoro commençait, déjà hier, à estimer les dégâts de sa plantation d’ignames à Poindimié. « 70 à 80 % de perdu au moins ! ». Epargnée par Vania, sa récolte, prévue pour le mois de mai, a été mise à mal par les pluies de Zélia. Déjà en 2008, une succession de pluies avait eu raison de ses cultures. Assuré auprès de la Caisse d’assurance mutuelle agricole (Cama), l’exploitant agricole pourra donc espérer une indemnisation. « Mais je ne suis assuré que pour 6 000 pieds sur 8 000, à cause du barème. Ça ne couvrira donc pas toutes les pertes, loin de là. » Ignames mises à mal mais aussi tomates, salades, bananes et autres fruits et légumes ne vont donc pas tarder à manquer sur les étals. Pas dans l’immédiat peut-être, mais dans les toutes prochaines semaines. Car après le passage de Vania, les producteurs agricoles, dont une grande partie est installée dans la ceinture verte du Grand Nouméa, ont vu leurs cultures inondées ce week-end.

Délais. Sous serre ou en plein champ, les dégâts sont là. Le moral dans les chaussettes, depuis l’alerte grise c’est l’heure des comptes, que l’on soit assuré ou pas. Hier, l’Agence pour la prévention et l’indemnisation des calamités agricoles ou naturelles (Apican) a, en partenariat avec la Cama, décidé d’agir vite. « Tous les dégâts occasionnés par Vania, et reconnus par la Cama seront remboursés à 100 % », détaille le directeur de l’Apican, Xavier Talem. L’Apican et la Cama ont décidé la mise en place d’une mesure d’urgence pour accélérer la procédure administrative aboutissant à l’indemnisation des agriculteurs. Les délais seront ainsi raccourcis de moitié, de trois mois à un mois et demi.

« Dès que le gouvernement aura voté l’arrêté d’indemnisation, sans doute mi-février, l’Apican versera le montant global à la Cama qui, elle, octroiera individuellement une avance aux exploitants agricoles assurés. On invite donc tous les assurés à envoyer leur déclaration le plus rapidement possible à la Cama, sans attendre les huit jours réglementaires et à déposer une copie à leur mairie. L’objectif est de faire débuter les contrôles dès la semaine prochaine. »

Enquête. Sur le terrain, une enquête pour évaluer les dégâts a commencé. « Les non-assurés Cama qui ont des dégâts causés par Vania sont aussi invités à faire de même pour estimer l’ensemble des indemnisations nécessaires si l’Apican tenait un conseil d’administration en urgence le mois prochain. » En clair, eux aussi pourraient percevoir une aide si l’agence le décidait. En attendant, pour pallier le futur manque de produits maraîchers, la commission flux et cotation a ouvert, dès hier, les importations de carottes, choux, tomates et salades, soumises tout de même à des quotas.
Ces premiers légumes arriveront lundi par bateau de Nouvelle-Zélande et d’Australie.

* La déclaration est à adresser à la Caisse d’assurance mutuelle agricole, BP 7266 98801 Nouméa Cédex.
Tél. : 27 50 99.
Citation de http://www.lnc.nc/pays/autres/meteo/231445-comment-serez-vous-indemnise-.html
Les compagnies d’assurance et les agences immobilières sont prises d’assaut depuis le passage de Vania. Mais qu’on se le dise, tout le monde ne sera pas remboursé, et pas de tout.

Il ne vous suffit pas d’avoir une assurance habitation en bonne et due forme pour être indemnisé en cas de dégâts occasionnés par un cyclone. Encore faut-il avoir souscrit une garantie optionnelle « tempête-ouragan-cyclone ».
Cette option est obligatoire en Métropole, facultative en Calédonie. Depuis le passage d’Erica, un nombre croissant d’assurés l’a demandé et obtenu. Mais dans la plupart des cas, les compagnies d’assurance rechignent à accorder cette garantie aux constructions qui ne sont pas en dur. Les maisons en bois ou en fibrociment sont rarement assurées sur ce risque.
Autre restriction, ces garanties couvrent rarement tous les dégâts. Dans la plupart des cas, et chez la plupart des compagnies, elles ne prennent en charge que les dommages directement ou indirectement provoqués par le vent. Mais pas toujours par l’eau. Les dégâts dus aux inondations et aux débordements de rivière ne sont bien souvent pas pris en charge. Les garanties s’enclenchent à partir d’une certaine vitesse de vent et d’un certain niveau d’alerte. Bref, lisez en détail votre contrat.

•Dommages dus au vent

Toiture endommagée, volets arrachés, baies vitrées éclatées. C’est un des phénomènes les plus courants lors des tempêtes tropicales et des cyclones. Les dommages provoqués directement par le vent sont toujours pris en charge par les garanties spécifiques. Sinon, ce sera à vos frais.

•Dégâts des eaux

Là encore, tout dépend de votre garantie. Certaines « clauses tempêtes » ne couvrent que les dommages provoqués directement ou indirectement par le vent.
En clair si vous avez été inondé après une rupture de baie vitrée, ce que les assureurs appellent « les dommages de mouillle » seront pris en charge. Si l’eau est entrée à la suite d’infiltration, d’un défaut d’étanchéité, ou d’une montée de rivière, certains contrats vous couvriront, d’autres non.
Pourtant, vous avez bien une garantie dégâts des eaux dans votre police d’assurance. Oui, mais elle tombe en cas de tempête ou d’événement majeur et c’est la garantie « tempête cyclone » qui s’y substitue, ou pas, en fonction des termes précis de la clause. Et à condition de l’avoir souscrite.

•L’arbre du voisin tombe chez vous

L’arbre du voisin tombe chez vous. Ou bien c’est son portail qui défonce votre palissade, ou ses volets arrachés qui brisent votre baie vitrée. En temps normal, c’est lui qui est juridiquement responsable des dommages causés par les objets qu’il possède. Il est donc tenu de réparer vos dégâts. Sauf en cas de « force majeure », c’est-à-dire de cyclone, de tempête ou de tremblement de terre. Dans une telle hypothèse, il est exonéré de sa responsabilité. Conséquence, vous en serez pour vos frais sauf si vous avez une bonne assurance cyclone. Celle de votre voisin ne jouera pas en votre faveur, précisément en raison de la « force majeure ».

•Glissements de terrain

C’est le pire cas de figure. La terre se dérobe sous votre maison, ou bien elle dévale dessus. En gros, votre maison est inhabitable, dangereuse, parfois irréparable voire détruite.
Et l’on est face au même dilemme qu’avec les inondations : le dommage que vous avez subi n’est pas dû aux vents, mais aux pluies diluviennes qui ont fragilisé le sol. Dans la plupart des cas, la garantie « tempête-cyclone » ne vous couvrira pas.

•Pas de catastrophe naturelle

Contrairement à la Métropole, aux Dom ou à Wallis et Futuna, le dispositif de catastrophe naturelle n’est pas en vigueur en Calédonie. Conséquence, il n’y a pas, de la part de l’Etat ou des collectivités, de procédure d’aide systématique aux personnes sinistrées par un cyclone, et qui n’entrent pas dans les conditions de prise en charge prévues par les compagnies. Néanmoins, l’Etat dispose d’un fonds de secours d’extrême urgence. Les commissaires délégués vont faire, avec les communes, le recensement des dégâts publics et privés. Certains d’entre eux seront probablement éligibles à ce fonds. Mais il ne faut pas se leurrer. Il s’agit seulement d’aider les personnes, ou les petites entreprises les plus sinistrées, à parer au plus pressé.

•Faites des photos

Quelle que soit votre situation, la première chose à faire avant de contacter votre compagnie d’assurance est de faire des photos de vos dégâts. Rassemblez aussi les factures des objets que vous avez perdus. Si ces factures ont été emportées, vous devrez accepter l’estimation de l’expert. Un bon conseil préventif pour ceux qui ont un ordinateur et Internet : scannez et stockez les factures de vos biens sur une adresse mail externe. De cette manière, vous en garderez toujours la trace.

Ph.F.
Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #156, le 19 Janvier 2011 à 11:05 »
Et la suite :
Citation de http://www.lnc.nc/pays/autres/meteo/231463-une-depression-a-un-milliard.html
Selon les premières estimations, le passage pluvieux et venté de la dépression Vania a occasionné plus d’un milliard de francs de dégâts et autres manques à gagner. Les routes ont particulièrement souffert.

Après la tempête, vient le temps des additions salées. La dépression tropicale Vania a cassé, inondé, malmené l’économie, en fin de semaine dernière. Les dommages causés n’atteindront pas la facture laissée par le cyclone Erica en 2003 (5,6 milliards de francs). Mais selon les toutes premières estimations, le coût du phénomène en Nouvelle-Calédonie dépassera le milliard de francs. Tout de même. Certaines sociétés mettront des mois à s’en relever.

Caprices. Exposés aux caprices du ciel, les maraîchers et cultivateurs ont dégusté. Notamment « un jeune » basé au Mont-Dore, remarque le président de la Chambre d’agriculture, Gérard Pasco, « Il a perdu 80 % de ses bananiers. » D’après les récents échos, le secteur accuse assurément plus de 100 millions de dégâts, peut-être même 200 millions. « Même si vous n’êtes pas assuré à la Cama - la Caisse d’assurances mutuelles agricoles -, il faut envoyer une déclaration de sinistre, indique-t-on à l’Apican, l’Agence pour la prévention et l’indemnisation des calamités agricoles ou naturelles. Et ce, pour étudier éventuellement des mesures exceptionnelles. »
Martyrisé il y a huit ans lors de la précédente tempête, le producteur, transporteur et distributeur d’électricité Enercal a chiffré cette fois le montant des travaux à « moins de cinquante millions de francs ». Beaucoup de fileries sont à refaire, du matériel tel que des conducteurs est à remplacer... A l’OPT, l’autre grande victime d’Erica, les bobos de Vania sont estimés à moins de vingt millions. Mais une dépense bien plus lourde est en vue : « Nous allons augmenter les moyens de prévention, observe Cyrille Jerabek, directeur des télécommunications, comme le changement et l’extension de batteries, la mise en place de groupes de climatisation pour des appareils... »

Affaissements. Qui dit vents et pluies, dit infrastructures publiques menacées. Sans compter les heures supplémentaires des agents, entre cinquante et cent millions de francs de frais sont à prévoir à la Direction de l’équipement de la province Sud, région chahutée par la dépression. « Il y a de gros dégâts, notamment des affaissements sur la RT1 à la rivière des Pirogues ou encore la RT3 en bas du col de Mouirange. »
A l’échelle calédonienne, la Direction des infrastructures, de la topographie et des transports terrestres (DITTT) évalue la remise à niveau des routes et bâtiments à cent millions de francs. Dont une part sensible pour « des travaux conséquents au col de la Pirogue ».Cette somme, cent millions, sera visiblement dépassée dans les îles Loyauté, d’après les tout premiers comptes. Notamment, « la baie de Chateaubriand a souffert », signale la province. En mairies aussi les techniciens recensent, comme au Mont-Dore où la facture se calculera en dizaines de millions. Un gros poste : les heures supplémentaires d’agents et la note de prestataires.
Le privé n’est pas en reste. Outre des dépenses sèches en raison d’incidents techniques, l’inactivité pendant vingt-quatre heures équivaut à un gros manque à gagner. La SLN a chiffré le passage de Vania à trois cents millions de francs, notamment en raison de la perte de production de cinq cents tonnes de nickel.

Yann Mainguet
Citation
Le « fait du prince » est dur
Alors, payé ou non, pour ce vendredi détrempé ? La question de la rémunération en cas de fermeture d’entreprises en période d’alerte orange et rouge est régie « par les principes généraux du droit », explique le juriste du Medef. « Dans le cas où l’employeur et l’employé ne peuvent honorer leurs obligations réciproques, le contrat est suspendu, il n’y a donc pas de rémunération qui est la contrepartie du travail effectué. C’est donc ce principe de non-paiement du salarié qui s’applique. » L’impossibilité de travailler est la conséquence d’une décision administrative, en l’occurrence ici du haut-commissariat, constitutive - selon les termes de la discipline - d’« un fait du prince ». L’équivalent d’un cas de force majeure. Devant ce tableau, l’employeur dispose alors de quatre solutions : rémunérer les salariés et récupérer la journée non travaillée ; ne pas rémunérer les salariés sans pouvoir solliciter une quelconque récupération; passer la journée en congé payé ; ou rémunérer sans aucune contrepartie.
Citation
Les assureurs sur le pont
Une ruée a été observée lundi chez les assureurs afin de déposer les déclarations de sinistre. Un grand classique après le passage d’un phénomène météorologique. A première vue, « il n’y a pas énormément de dégâts sur les maisons, note un professionnel. Beaucoup d’infiltrations d’eau, mais il est rare que les contrats prévoient ce type de clause ».
Le cataclysme Erica en mars 2003 avait suscité entre 2 et 3 milliards de francs de remboursements d’assurances, toutes enseignes confondues, pour les particuliers. Avec Vania, le niveau sera largement inférieur.
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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #159, le 25 Janvier 2011 à 13:42 »
Merci pour les articles, Jax, c'est très instructif !

Est-ce que ces problèmes de cyclones et autres catastrophes naturelles sont évoquées comme explications fallacieuses pour justifier les prix obscènes des produits locaux, ou bien il est estimé par les distributeurs locaux qu'ils se foutent suffisamment de la tête du consommateur pour ne pas avoir à en rajouter une couche ?
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Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #160, le 25 Janvier 2011 à 22:22 »
Ben non la c'est comme ca 365j/365, et ce meme sans cyclone !

Ceci dit en ce moment, suite au passage de Vania, on ne trouve plus aucun produit issue de cultures marechaires et autres et donc tous les fruits et legumes sont importes avec parfois un bond significatif dans le prix (alors qu'en general, en periode normale, les fruits et legumes de NZ, AU, voir meme certains trucs degueux (car sans gout) cultives aux USA, qu'on trouvent dans les etals sont moins chers que les produits locaux -d'ou une restriction sur leurs importations en temps normal- :mouais:). La semaine derniere, la seule fois ou j'ai trouve une laitue issue de la production locale, elle etait rachitique et 3 fois plus chere que le cours habituel.
Re: Pendant ce temps aux antipodes de là: La Nouvelle Caledonie.
« Réponse #162, le 15 Mars 2011 à 11:45 »
Etonnament  :whistling2:  l'UMP (enfin le RUMP ici) a senti le vent tourner sur la question du drapeau
Le Rump votera contre le drapeau
Où l'on essaie de détourner l'attention politique de Frogier, à l'origine du problème, et qui est très, TRES mal vu par de plus en plus de gens  :shifty: (nottament en cas de nouvelles élections provinciales mais chut faut pas le dire  :hypocrite:)
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