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Sujet: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ? (Lu 15210 fois) sujet précédent - sujet suivant

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #75

Oui chacun a ses aspirations, mais moi ce que je trouve chiant c'est que l'on catalogue ceux qui n'aime pas travailler dans les gens qui sont :
- morts socialement.
- malheureux.
- pas dans la normalité.

Qu'on s'éclate au taff, pourquoi pas, mais je veux juste qu'on comprenne que y a certaines personnes que ça emmerdent vraiment de se retrouver à bosser avec des collègues qui saoulent (même si certains peuvent devenir des connaissances), alors qu'ils souhaiteraient faire des trucs plus intéressants.
Et pour info, je fais un truc qui est en pleine adéquation avec mes études, que j'aime programmer. Et pourtant..... ça me gonfle......



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Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #76


Oui chacun a ses aspirations, mais moi ce que je trouve chiant c'est que l'on catalogue ceux qui n'aime pas travailler dans les gens qui sont :
- morts socialement.
- malheureux.
- pas dans la normalité.

Qu'on s'éclate au taff, pourquoi pas, mais je veux juste qu'on comprenne que y a certaines personnes que ça emmerdent vraiment de se retrouver à bosser avec des collègues qui saoulent (même si certains peuvent devenir des connaissances), alors qu'ils souhaiteraient faire des trucs plus intéressants.
Et pour info, je fais un truc qui est en pleine adéquation avec mes études, que j'aime programmer. Et pourtant..... ça me gonfle......



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+1 également.

(oui, j'en ai pas l'air comme ça, mais j'ai à peu près suivi le topic....^^)

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #77



Oui chacun a ses aspirations, mais moi ce que je trouve chiant c'est que l'on catalogue ceux qui n'aime pas travailler dans les gens qui sont :
- morts socialement.
- malheureux.
- pas dans la normalité.

Qu'on s'éclate au taff, pourquoi pas, mais je veux juste qu'on comprenne que y a certaines personnes que ça emmerdent vraiment de se retrouver à bosser avec des collègues qui saoulent (même si certains peuvent devenir des connaissances), alors qu'ils souhaiteraient faire des trucs plus intéressants.
Et pour info, je fais un truc qui est en pleine adéquation avec mes études, que j'aime programmer. Et pourtant..... ça me gonfle......



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+1 également.

(oui, j'en ai pas l'air comme ça, mais j'ai à peu près suivi le topic....^^)


+ 3 959 998 :notworthy:. Le seul petit bémol que je porterai à ton argumentation Ubaj, c'est que l'on n'a pas forcément envie de faire des trucs plus intéressants si l'on avait la possibilité de ne pas travailler. L'autre hic, un peu plus gênant, c'est que notre belle société nous oterait, petit à petit, le confort auquel on s'est habitué au fil des ans ( avoir un accès internet et venir sur le forum, coupure d'électricité, de l'eau, du téléphone .... ).
" Je suis fils de l'homme et de la femme, d'après ce qu'on m'a dit. Ca m'étonne... Je croyais être d'avantage. "

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #78
Dépoussiérage d'un vieux topic que j'avais complètement raté à l'époque...:P

Pour rebondir sur ce que disais tinou et prédisais FB:



La sécurité de l'emploi... :whistling2:

Pour l'instant oui...
Parce que bon, on ne sait jamais : Sarkozette et ses potes du MEDEF seraient bien capables de venir foutre la merde là-dedans si d'aventure les français étaient suffisamment irresponsables pour l'amener en pouvoir dans un an.



Citer
- Dangereux : Une fois le kinder surprise en poche, bien des gens perdent certaines valeurs du travail car savent pertinemment que, quoiqu'il arrive, ne seront pas virés. La passion s'effrite, la monotonie s'installe... et le travail n'avance plus. Là où je suis, c'est comme ça...


:notworthy:

En voila de sainte parole...!!!

Mais je pense que si on prend le probleme de facon globale, cad en prenant en compte son epanouissement dans la vie, on relativise un peu cette securite de l'emploi, qui est quelque part illusoire si on part du principe que emploi peut congruer avec epanouissement.


Pour mémoire, depuis l'arrivée au pouvoir de SarKo, l'Etat s'est engagé dans une vaste Révision Générale des Politiques Publiques. Je ne sais pas s'il d'autres cadres ont été sensibilisés sur ce point par leur ministère ou leur hiérarchie, mais la RGPP est dorénavant notre quotidien.
Concrètement, au niveau déconcentré (administration d'Etat à l'échelon régional et départemental), on prépare le terrain sur la réorganisation des services pour une meilleure "efficience"; le but avoué étant de rendre service à l'usager au moins aussi bien avec un effectif réduit.

Comment ça se traduit ? Le ministère nous donne annuellement un budget pour un plafond d'emplois maximum et qui ne peut être abondé par des crédits d'autres dépenses. Un exemple pour illustrer ce charabia: on a 15 millions € pour payer 20.000 fonctionnaires de l'E.N pour 2007. Si d'aventure nous décidons au niveau local d'embaucher des personnels supplémentaires, on aura aucun crédit pour les financer et il nous interdit de ponctionner les crédits dévoulus aux dépenses de fonctionnement (rénovation d'infrastructures, bourses de collèges et lycées, etc...). Auquel cas, il faudra par exemple qu'un titulaire fasse un service à temps partiel pour que 2 contractuels puisssent etre embauchés (un titulaire étant naturellement 2 fois plus cher que les contractuels)
Fin 2007, nous avons des départs à la retraite, des mutations dans une autre académie, des personnels finissant leur contrat. Par conséquent, le ministère tiendra compte de ces changements pour nous donner un budget moindre en 2008. Nous devons donc trouver des solutions pour répartir cette charge de travail sur les autres personnels. Bien entendu ça a des limites. Certaines écoles ne pouvant pas se permettre de ne pas avoir un enseignant remplaçant sont obligés de fermer dans les villages....

Au plus ou moins long terme, un récent livre blanc remis au 1er ministre courant avril, prône le recours de plus en plus systématique aux contractuels et même une dose d'intérimaire pour flexibiliser les emplois du secteur public. De plus, le rapporteur suggère une rémunération au mérite pour distinguer les fonctionnaires efficients au reste moins performant. Plus inquiétant encore, les entretiens annuels d'évaluation peuvent déboucher sur un licenciement en cas d'insuffisance professionnelle. Bref, au final c'est bel et bien un alignement quasiment identique aux salariés du privé qui est préconisé par le Conseiller d'Etat, sans pour autant qu'il suggère une hause généralisé de leur traitement. Et vous qu'en pensez-vous de ces (futures) mesures ? Globalement, comment voyez-vous l'avenir des services publics en France ?

 

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #79

le but avoué étant de rendre service à l'usager au moins aussi bien avec un effectif réduit.


Ben tant mieux, il était temps, non ?

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Globalement, comment voyez-vous l'avenir des services publics en France ?


Moins dépensier, moins mammouth, plus compétitif, plus performants, ouvert aux heures où les gens peuvent réellement aller faire la queue devant leurs bureaux, avec des agents qui s'investissent dans leur boulot sachant que leur bonus éventuel en fin de mois peut dépendre de leur résultats et de leurs performances, plus proche de ce qui se passe dans le privé, .... mieux quoi !
"Un chien, un chat et un rongeur, c'est la recette du bonheur !"

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #80
Ben la notion de service public, a la base, c'est d'assurer (en theorie) un service identique sur tout le territoire sans surcout du a un eloignement geographique (petits villages, tout ca...). Donc visiblement, on abandonne definitivement cette idee au nom de la rentabilite, ce qui risque a terme d'accentuer les inegalites regionales?
Rendre service aux usagers... Comment dire, je suis tellement content d'entendre ca! Le service public visible du public justement donne trop souvent l'impression de vivre pour lui, avec ses regles, et c'est au public de se plier a ses exigences (horaires impensables de la mairie, de la poste etc...). Tant mieux si de ce point de vue, il y a amelioration notable. Arrivera-t-on, grace aux departs en retraite, a casser les chefferies et cie? Je demande a voir.
La ou je suis sceptique par rapport aux remarques de Jaxom, c'est sur l'histoire du bonus, et de la remuneration au merite. Sur quels criteres va-t-on se baser, dans l'education par exemple? Les notes des eleves, sachant qu'on essaye de faire des classes par niveau? Le nombre d'articles publies, quand il s'agit de profs en universite? (ce qui veut dire que leurs cours representeront la 5eme du roue du carrosse). Et puis, comment peut-on reussir ce tour de force mathematique de donner plus aux uns (sans prendre aux autres) alors que les credits sont plafonnes, et auraient meme tendance a se reduire?
Alors, alignement sur le prive? Pour les conditions de travail, oui certainement. La precarisation, apparemment aussi (recours aux contractuels). En tous les cas, on va se retrouver avec les "inconvenients" du prive sans les avantages (remuneration en consequence). Au moins, le message est clair : rendre la fonction publique nettement moins attractive comme option de carriere. Une volonte de pousser les gens vers le prive ou de lutter contre le parasitisme d'une certaine frange de fonctionnaires? Et quant a l'acces a la fonction publique, ce serait toujours par concours, ou on abandonne definitivement cette vision egalement? En tous les cas, en un siecle, l'idee de la fonction publique a completement basculee (c'est un volte-face absolu des valeurs).
Je vois des clairement des points positifs a cette RGPP, du point de vue de l'usager, et a court terme. Maintenant, en terme de mise en pratique, et d'effets a long terme (amenagement du territoire, qualite du service etc), je demande VRAIMENT a voir. :unsure:
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #81

La ou je suis sceptique par rapport aux remarques de Jaxom, c'est sur l'histoire du bonus, et de la remuneration au merite. Sur quels criteres va-t-on se baser, dans l'education par exemple? Les notes des eleves, sachant qu'on essaye de faire des classes par niveau?


Entre autre et également les notes de l'inspecteur comme c'est déjà le cas actuellement.

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Le nombre d'articles publies, quand il s'agit de profs en universite? (ce qui veut dire que leurs cours representeront la 5eme du roue du carrosse).


Rien de neuf sous le soleil, les profs de fac quand j'y étais ('94~'99) ont tous bien insisté à l'époque sur le fait que donner des cours les faisaient ch#~{ et que seuls leurs recherches et leurs articles les interessaient.

"Un chien, un chat et un rongeur, c'est la recette du bonheur !"

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #82
J'aime bien la réponse de Kamen: arguments très équilibrés du point de vue de l'usager et du point de vue de l'agent public. :yaisse:



le but avoué étant de rendre service à l'usager au moins aussi bien avec un effectif réduit.


Ben tant mieux, il était temps, non ?


Ca c'est l'objectif pieux du gouvernement et c'est un discours qui ne peut que plaire à l'usager et surtout au contribuable :p
On va essayer d'éviter la vision caricaturale qui consiste à répéter aux gens qu'il y a trop de fonctionnaire dont beaucoup de fainéants, donc trop de dépenses inutiles. Pourquoi n'y aurait-il pas autant dans le privé ?
C'est également une erreur de laisser croire que la réduction des dépenses de personnel sera redistribuée aux français. Du moins, c'est loin d'être la priorité du gouvernement.
La question à poser ce serait plutôt quelles attentes des usagers quant à la qualité du service et pour quels moyens ? Et c'est votre perception individuelle qui m'intéresse pour le coup.

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Globalement, comment voyez-vous l'avenir des services publics en France ?


Moins dépensier, moins mammouth, plus compétitif, plus performants, ouvert aux heures où les gens peuvent réellement aller faire la queue devant leurs bureaux, avec des agents qui s'investissent dans leur boulot sachant que leur bonus éventuel en fin de mois peut dépendre de leur résultats et de leurs performances, plus proche de ce qui se passe dans le privé, .... mieux quoi !

Certains ne le savent peut-être pas, mais beaucoup de fonctionnaires ont des objectifs de résultat. Pour prendre mon exemple, je suis évalué quant à la qualité des mémoires en défense (à produire au juge administratif) et le nombre de jugement rendus en notre faveur à la fin de l'année.
Le problème c'est que les décideurs politiques ne prennent pas en compte la qualité du travail, par ex la masse d'heures sup. non récupérée, non payée. Cela est encore plus criant dans le secteur hospitalier (mais c'est vrai que les 35 heures sont en grande partie responsable de cette situation).

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #83

J'aime bien la réponse de Kamen: arguments très équilibrés du point de vue de l'usager et du point de vue de l'agent public. :yaisse:

Et je n'ai meme pas eu a verser d'argent pour que Senty me passe de la pommade! :mrgreen:

Par rapport aux criteres d'evaluation (aussi bien dans le public que dans le prive d'ailleurs), il y a toujours la partialite la plus absolue des etalons de mesure. Pour revenir au sujet des profs de fac, un type qui publie 3 articles par an est-il un bon enseignant-chercheur? Et si ses articles ne font que repomper la meme recherche encore et encore? Idem pour les cours. Et c'est la le probleme, on ne fixe que du quantitatif, quand on aurait besoin de qualitatif. Pour les forces de l'ordre, il est "aise" de faire du chiffre pour plaire aux hautes instances : on devient intransigeant avec la moindre infraction. Hop les velos sur le trottoir et cie. Hop la sortie des "barbecues enchantes" sur l'autoroute! Maintenant, est-ce que c'est veritablement ce a quoi aspire le public? Ben non, on prefererait plutot qu'ils courrent apres les cambrioleurs plutot que de nous coller des prunes. Mais comme on reclame de la rentabilite, on l'obtient, sans savoir forcement ce que ca implique. D'ou le celebre adage "Beware what you wish, for it may come true".
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #84
J'ai entendu que c'était le genre de gestion nordique qui marchait plutôt pas mal. Mais je demande à voir comme vous... Et faut que nos services s'adaptent structurellement à ce mode de gestion.

En ce qui concerne l'EN, ce qui est fascinant, c'est que le professeur est noté sur sa façon de faire un cours... En rapport aux volontés de l'inspection... Sans prendre en compte de la réalité d'une classe. En d'autres termes : Tu as une classe difficile, si tu crées un cours très particulier pour essayer qu'ils apprennent un minimum (au lieu de 0), tu te feras engueuler. Tu as une classe de très haute qualité, si tu vas au delà de ce que tu dois enseigner, tu te feras engueuler.
Bon, tu me diras, l'ensemble des inspecteurs ne sont pas aussi c**... Mais à priori, ça joue comme ça.

Et quoiqu'il arrive, il ne sera jamais muté dans un autre service. Même si sa façon de faire un cours est au delà de toute inutilité. On a tous rencontré un prof "cas" dont on ne sait pas ce qu'il fait là. Je n'ai pas eu, mais je connaissais une prof d'histoire géo qui faisait d'une part des cours horriblement nuls... Et qui avait le zéro absolu en charisme. Du coup, chaque année, les élèves font tout avec elle (des bangs y ont été fumés, des courses de chaise... A des brimades sur la prof).
" En France, les peines d'argent durent plus longtemps que les peines
de coeur et se transmettent de génération en génération. "

 ( Silhouette du scandale )
Aymé, Marcel

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #85
Je vois des clairement des points positifs a cette RGPP, du point de vue de l'usager, et a court terme. Maintenant, en terme de mise en pratique, et d'effets a long terme (amenagement du territoire, qualite du service etc), je demande VRAIMENT a voir. :unsure:


Je n'ai pas trop le temps de développer, malheureusement, mais je dirais que le principe qui sous-tend la RGPP, c'est le désengagement de l'État. Il va grosso-modo se retirer de sa fonction redistributrice de richesse entre les divers territoires, pour laisser les collectivités locales se débrouiller seules, qu'elles soient riches ou pauvres.

Quand à la cohérence de la réforme, dans les territoires déjà mals lotis, elle est pas forcément d'une limpidité éclatante. Un simple exemple: En Ardèche, la la majorité des entreprises et des emplois salariés sont concentrées sur le nord du département. Lors de la réforme de la carte judiciaire, le tribunal de commerce d'Annonay (nord de l'Ardèche) a été fermé, et celui d'Aubenas (au sud) maintenu. Désormais la plupart des justiciables (et leurs avocats) doivent traverser le département...

L'amélioration du service à l'usager dépendra de l'implication des collectivités locales... et de leurs moyens.

L'idée à moyen terme est de faire de la mairie le "guichet unique" pour toutes les démarches administratives. Si dans les grandes villes, les horaires étendus seront une réalité, dans les communes (fort nombreuses) où la mairie est ouverte au public une à deux demi-journée par semaine (avec comme seul employé un secrétaire de mairie à mi-temps) l'extension des plages d'ouverture relève de l'utopie.

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #86
Il y a aussi une réforme (actuelellement à l'étude) visant à supprimer les départements....
  • Une personne qui n'a jamais commis d'erreurs n'a jamais tenté d'innover. - Albert Einstein
  • La terre n'est pas un don de nos parents, ce sont nos enfants qui nous la prêtent...

Re: Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #87
Oui, enfin la disparition des département, ça fait 40 ans qu'on en parle. Et vu le nombre d'élus dans ces assemblées, la disparition se fera pas frontalement, vu les échecs précédents. (Il faudrait bien les recaser ces pauvres élus au chomdu :hypocrite:) Pour moi, ça se fera par un siphonage progressif de leurs compétences, au profit soit des intercommunalités, soit des régions... Et un jour, on s'apercevra (les hommes politiques nationaux) que les conseils généraux ne servent plus à rien => donc on peut supprimer.

Re : Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #88
Je dépoussière un sujet vieux, très vieux... Pour poser une question à Ryo.

Connais-tu Sylvain Laurens ?
C'est un sociologue qui semble très intéressé du rapport entre haut fonctionnaires et politiques. J'ai lu un article de lui sur la décision de fermer les frontières en 1974.
Si tu le connais, qu'en penses tu ?

J'ai bien aimé l'article mais bon, si c'est un illuminé qui part en croisade contre les énarques juste "parce que", ça me plaît pas. Par contre, s'il est sérieux là...
" En France, les peines d'argent durent plus longtemps que les peines
de coeur et se transmettent de génération en génération. "

 ( Silhouette du scandale )
Aymé, Marcel

Re : Travailler dans la Fonction Publique : Est-ce le good ou le bad ?

Répondre #89
Ça me dit quelque chose mais vaguement.
Tu aurais le texte en pdf?
On est tous le con de quelqu'un d'autre

Un appendice ne sert pas forcément à rien. Chez moi, TOUS les appendices servent  :classe:


Mise a jour du blog le 27/12/06