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Topic: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes ! (Read 217783 times) previous topic - next topic

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #990

Dans la série "y'a pas qu'en France que la Sacem veut une taxe sur tout":

La sacem néerlandaise veut une taxe youtube

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La Buma / Stemra, équivalent aux Pays-Bas de notre SACEM, s’apprête à appliquer dès le 1er janvier 2010 un nouveau régime de licence pour la diffusion de musique en ligne. Son petit nom ? Le « Fair Play license ».

Une première : le texte va frapper également ceux qui ont l’audace de diffuser des clips vidéo accompagnés de musique, sur leur site, blog et autres pages persos, même non commerciales. Le moindre fragment de note devra donner lieu au paiement d’une « taxe Youtube » comme la nomme si justement Benjamin Ferran dans un article du Figaro.

Le montant ? Il suffit de se reporter à la grille tarifaire en bas de ce PDF :

    * 130 euros pour 6 fichiers vidéos « embedded »
    * 260 euros pour 12 fichiers vidéos « embedded »
    * 650 euros pour un bloc de 30 fichiers vidéos « embedded »

Tous les tarifs sont annuels et, petit luxe, sont hors taxe sur la valeur ajoutée.

Très inspirée par la politique du bâton Hadopienne, la Buma/Stemra enverra d’abord une lettre au gestionnaire du site pour l’inviter à payer ou à effacer ce contenu. A défaut, on passera à la phase plus répressive (mais dont on ne connait pas encore les détails). 

Les calculs sont vite faits : si un blog publie une vidéo musicale chaque jour piochée sur Youtube, il devra payer 7908 euros (12,16 blocs de 30 vidéos, à 650 euros le bloc). Autant dire, un montant que 99,9999% des sites ne pourront pas assumer.

Autre détail piquant : si vous possédez un site issu d’une communauté comme blogger.com, l’hébergeur pourra être tenu de payer. Autant dire des sommes rapidement astronomiques, voire cosmiques... Pour montrer la stupidité d’un tel régime, un internaute a publié un post avec 30 vidéos clonées. Sur le clip ? Des tracteurs, et autres engins agricoles, le tout illustré par une musique classique ou de la techno... Coût de cette œuvre démultipliée ? 650 euros.


Perso j'aurais une suggestion pour toutes les Sacem et autres vampires de l'industrie du divertissement: si vous arrêtiez de faire chier le monde et alliez crever dans un coin, hmmm?

Super...

Une fois de plus, je vois que nous avons des volontaires pour une greffe de cerveau, organe qui leur fait dramatiquement défaut :sleeping:

Ou peut-être ont-ils abusé de cette fameuse herbe dont la vente est légale dans leur pays ? Les deux à mon avis :sweatdrop:
Un coeur qui bat, un nez qui flaire, une décision qui tombe... C'est Bernard Frédéric :yes:

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #991
Ça n'a pas tellement de rapport avec Hadopi, mais comme c'est dans la série "les internautes sont iveuls", je le mets ici:

http://www.lesechos.fr/info/analyses/020162406464-une-minorite-fait-l-opinion-sur-le-web.htm

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Une minorité fait l'opinion sur le Web

[ 07/10/09  ] 25 commentaire(s)
SAMUEL MORILLON EST DIRECTEUR GENERAL DELEGUE DE CYBION SA.

Cent mille Français consomment plus de 16 heures d'Internet par jour, selon les études de Cybion, société spécialisée en intelligence économique sur Internet. Les contenus générés par ces internautes surreprésentés sur la Toile influencent le lectorat général, celui qui consomme de l'Internet, mais qui produit peu. Le positionnement idéologique souvent radical de ce noyau d'internautes, renforcé par la pratique courante de l'anonymat, représente une menace pour les entreprises. Pourtant celles-ci ne les prennent pas en compte dans leur démarche de prévention de crise.

Internet est régulièrement abordé aussi bien dans les programmes scolaires que dans les plans d'aménagement du territoire. Si l'importance des technologies numériques est incontestable dans les progrès économiques et sociaux futurs de notre pays, il cache toutefois une rupture d'un nouveau genre. Celle des comportements.

Généralement les interactions entre les internautes traditionnels sont relativement faibles. En revanche, ce noyau d'internautes au comportement addictif produirait plusieurs milliers de commentaires par jour à travers une multitude d'identités numériques. Ces commentaires sont présents dans les blogs, dans les forums et les réseaux sociaux. Ils portent principalement sur la religion, la politique et l'environnement et provoquent un déséquilibre dans les contributions avec les internautes traditionnels. Il y a ainsi un biais dans la plupart des études d'opinion qui analysent les commentaires exprimés sur la Toile.

Ceci est principalement lié au profil de ces 100.000 internautes, non représentatifs de la majorité du lectorat sur Internet. Selon les recherches menées en 2008-2009 par nos doctorants, ces internautes ont souvent une double personnalité on line-off line. S'ils sont principalement urbains, ils vivent au sein de leur communauté de pensée et ils utilisent en moyenne deux avatars, souvent de sexes différents. Même s'ils ne possèdent pas de compétences initiales, ils se renseignent sur la plupart des questions d'actualité et les commentent de manière souvent polémique et vive. Les propos peuvent être argumentés mais laissent peu de place à la discussion. La notoriété de l'avatar est fréquemment la finalité de comportements où l'émotion est poussée à l'extrême.

On a pu croire qu'Internet était un outil de recherche d'information et d'intelligence collective. Le savoir numérique s'inscrivait dans une démarche globalisée de progrès de l'esprit humain. Les images et les sentiments, que véhicule la Toile, complexifient les mécanismes de la pensée. L'idée générale d'une intelligence collective entre des internautes bâtissant en réseau de nouveaux savoirs semble être restée au stade du concept.

A titre d'exemple, et pour s'en convaincre, les rares sites ayant réussi à bâtir des modèles économiques stables se situent sur le marché dit du « charme » ou sur celui du jeu en ligne. Selon les moteurs Alexa ou Google/Trends, YouPorn, leader de la vidéo pour adultes, serait ainsi classé dans les 50 premiers sites mondiaux, devant AOL.

Au-delà de cet exemple, c'est bien la photo et la vidéo qui aujourd'hui attirent des internautes souvent davantage en quête de sensations que de véritables réflexions. Le Web s'adresserait ainsi à notre coeur et toucherait ce qu'il y a de plus profond en nous, d'instinctif et de refoulé. Ceci est le principal problème et le principal risque pour toutes les formes d'organisation (entreprises, institutions, ONG, etc.).

Par ailleurs, l'anonymat est une pratique commune sur la Toile. Selon l'institut Gartner, près de 50 % des internautes auraient un avatar, c'est-à-dire un double numérique ayant un nom, voire un sexe, différent de celui de son auteur. Le filtre social qui modère les rapports réels entre les individus disparaît ainsi. Nos systèmes de valeur se retrouvent éprouvés lorsque notre environnement ne permet pas de répondre à l'isolement progressif provoqué par l'addiction.

Dans ces conditions, la conjonction entre un noyau surreprésenté d'internautes et l'anonymat accroît d'abord le danger d'interpréter des données biaisées parce que non représentatives d'une majorité silencieuse d'internautes. On s'appuie sur des propos de particuliers qui n'ont, dans la réalité, que peu de lien avec le public que l'entreprise cherche à conquérir.

Ensuite, la menace est de sous-estimer le caractère radical de ce noyau dans les analyses de risques. A l'image de ce qui est pratiqué avec les ONG dans l'industrie, où l'on invite régulièrement les associations à débattre en préalable au lancement d'un projet impactant pour l'environnement, il convient de s'assurer du soutien de leviers d'opinion sur Internet pour prévenir toutes les situations et amplifier la portée de ses messages.

Les décideurs doivent partir du principe qu'ils peuvent se trouver face à des internautes très engagés qui n'auront pour règle que l'exaltation de leurs propos. Selon nos études, ces internautes sont souvent inactifs (sans emploi, étudiants…) et peuvent consacrer un plein-temps au dénigrement d'une société.

Alors que la téléphonie mobile devient progressivement le premier support de consommation de Web en accompagnant les consommateurs dans tous leurs mouvements quotidiens, la solution consiste probablement à adopter une démarche de veille, voire, osons le mot, de surveillance. Il serait dangereux d'ignorer cette nouvelle réalité sociale. Il convient d'intégrer l'entreprise dans la conversation mondiale en tissant des passerelles dès que possible avec ces nouveaux influenceurs afin d'en faire des alliés dans un contexte où tous les coups sont permis.


Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #992
holala, ces nuisibles peuvent consacrer un plein temps au dénigrement de la société

pitoyable article...  depuis quand est-il interdit de s'exprimer sur le net? j'savais pas qu'il y avait des quotas de parole à respecter... 
si c'est ça, qu'ils les repèrent ces 100.000 gusses, et leur coupent leurs connexions! c'est peut-être la seule solution qu'ils ont trouvé pour lutter contre l'antisarkozisme, l'antibigotisme, l'antihadopisme etc.... sur le net...

j'ai l'impression d'entendre la marionnette de Philippe de Villiers quand je lis ça...   


et maintenant remercions le Seigneur d'avoir inventé le chocolat chô  :o

"Avec beaucoup de patience et de vaseline, l'éléphant encule la fourmi"

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #993
Visiblement, cet article est écrit par un type payé à plein temps pour dire du mal des autres.
Contrairement à ceux qu'il dénonce qui au moins le font gratuitement :roule:

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #994
Bon apparemment, la décision du CC devrait être connue la semaine prochaine, en attendant, un document contenant les observations du gouvernement au CC concernant le recours du PS a fuité...

Pour ceux qui ne veulent pas se taper le PDF, pcinpact a fait un résumé du truc:

Spoiler (click to show/hide)


Toujours le même monceau d'âneries, quoi... :o

: Vendredi 16 Octobre 2009, 12:44:39
Le conseil constitutionnel rendra sa décision sur hadopi jeudi

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Selon le député Lionel Tardy, l'un des rares députés à s'être massivement investi dans le dossier Hadopi, c'est ce jeudi que le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi Hadopi 2. "La décision du conseil constitutionnel sur hadopi 2 tombe jeudi, aux alentours de 17h" indique-t-il sur Twitter, confirmant nos pronostiques émis la semaine dernière.

C'est le jeudi que le Conseil tient séance, plus rarement le mercredi. Et les neuf sages mettent généralement trois semaines pour trancher un dossier.

L'épisode Hadopi 2 aura été marqué par une petite bombe consécutive à une fuite: la publication de l'avis du gouvernement avant le prononcé de la sentence constitutionnelle.



Notez-le dans vos tablettes

: Mardi 20 Octobre 2009, 20:06:43
Dans la série "L'Europe c'est supayr-utile

RIP l'amendement 138

Spoiler (click to show/hide)



Sinon à part ça, quand elle ne joue pas à GTA IV, Nadine Morano veut censurer civiliser le net: http://www.pcinpact.com/actu/news/53725-commission-nadine-morano-blocage-filtrage.htm


Et une façon originale de contourner Ado Pie pour les firefox-users: http://www.pcinpact.com/actu/news/53661-imdldb-extension-firefox-contourner-hadopi.htm


: Jeudi 22 Octobre 2009, 10:11:57
Euh...

http://www.pcinpact.com/actu/news/53759-hadopi-conseil-constitutionnel-riposte-graduee.htm

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Le Conseil constitutionnel valide une grosse partie d'HADOPI 2
La fin des clémen... haricots

« C’est pour aujourd’hui c’est sûr » nous confiait l’entourage de Franck Riester vers 16h. Saisi par les députés de l’opposition, le Conseil constitutionnel vient de rendre sa décision Hadopi 2.

Le Conseil constitutionnel a validé une grosse partie du texte, si ce n'est la possibilité pour les ayants droit de demander des dommages et intérêts, possibilités rédigées en des termes trop flous.

Voilà la copie du communiqué de presse. Nous analysons la décision actuellement.



Le 22 octobre 2009, par sa décision n° 2009-590 DC, le Conseil constitutionnel a examiné le recours dont il avait été saisi par plus de soixante députés à l’encontre de la loi relative à la protection pénale de la propriété littéraire et artistique sur internet dite « Loi Hadopi 2 ».

À la suite de la loi du 12 juin 2009 dite « Hadopi 1 », partiellement censurée par le Conseil constitutionnel (n° 2009-580 DC du 12 juin 2009), la loi « Hadopi 2 » poursuit deux orientations principales. D’une part, elle soumet le jugement des délits de contrefaçon commis sur internet à des règles de procédure pénale particulières. D’autre part, elle institue deux peines complémentaires, délictuelle et contraventionnelle, de suspension de l’accès à un service de communication au public en ligne.

Les députés requérants contestaient ces orientations et soulevaient des griefs à l’encontre des articles 1er, 6, 7, 8 et 11. Le Conseil a rejeté l’ensemble de ces griefs à l’exception de celui dirigé contre l’article 6.II de la loi. Il a, sur ce point, censuré la disposition relative au prononcé de dommages et intérêts civils par le juge de l’ordonnance pénale.

I – L’article 1er de la loi porte sur la HADOPI et les pouvoirs de ses membres et de ses agents. Les requérants soutenaient que ces dispositions étaient obscures et ambiguës et demandaient au Conseil constitutionnel de les interpréter. Le Conseil a écarté ce grief au regard des termes clairs de la loi qu’il incombera aux autorités judiciaires d’appliquer.

L’article 6 institue une procédure pénale spécifique applicable aux délits de contrefaçon commis par internet (jugement à juge unique et procédure simplifiée de l’ordonnance pénale). Le Conseil constitutionnel a déjà eu l’occasion de juger cette procédure conforme à la Constitution (Décision n° 2002-461 DC du 29 août 2002). Il a confirmé cette jurisprudence et écarté les griefs des requérants contestant cette procédure pénale.

L’article 7 instaure une peine complémentaire, délictuelle, de suspension de l’accès à internet. Cette instauration ne méconnaît ni le principe de nécessité des peines ni le principe d’égalité devant la loi. Elle n’est notamment pas caractérisée par une disproportion manifeste entre l’infraction et la peine encourue. Son instauration relevait donc du pouvoir général d’appréciation du législateur.

L’article 8 instaure la même peine complémentaire de suspension de l’accès à internet en matière contraventionnelle. Il reviendra au pouvoir réglementaire de définir les éléments constitutifs de cette infraction, dont le Conseil constitutionnel n’est pas saisi. Dès lors, le grief ne pouvait qu’être écarté.

II – Le Conseil constitutionnel a censuré les dispositions de l’article 6.II de la loi permettant au juge de statuer par ordonnance pénale sur la demande de dommages et intérêts. Il a jugé que rien ne s’opposait à cette orientation mais qu’il incombait alors au législateur de fixer dans la loi les règles applicables et non de les renvoyer au décret. L’article 34 de la Constitution réserve en effet à la loi le soin de fixer les règles de procédure pénale. En l’espèce, le législateur a méconnu sa compétence ne fixant pas lui-même les précisions nécessaires à l’application de la loi. En conséquence, le Conseil constitutionnel a censuré, pour incompétence négative, à l’article 6.II de la loi, le deuxième alinéa de l’article 495-6-1 du code de procédure pénale.


Excusez-moi, faut que j'aille vomir...
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #995
t'espérais quoi? 


sérieusement...    y'a déjà longtemps que je l'ai dit, mais les internautes en france ne retrouveront la liberté que lorsque ce sera un gouvernement de gauche...
"Avec beaucoup de patience et de vaseline, l'éléphant encule la fourmi"

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #996


Bah naïvement, j'espérais que le CC ferait son boulot honnêtement et censurerait cette merde de long en large... Là franchement je suis écoeuré, république bananière de mes couilles tiens :kaola:



Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o


Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #998
Pour une fois qu'elle sert un tant soit peu à quelque chose... :o
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #999
Du lourd en perspective pour 2010:

Vous avez aimé Hadopi ? Vous allez adorer l'ACTA

J'adore déjà ce passage:

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Des douanes très curieuses

Selon les plus récentes informations qui nous parviennent d’outre-Atlantique, l’ACTA créerait une sorte de régulateur international aidé des services des douanes. Ceux-ci auraient ainsi la possibilité de vérifier sans barrière les contenus enregistrés dans les ordinateurs, iPods, téléphones, etc., et traquer ceux qui portent atteinte au droit d’auteur. Les douanes seraient qualifiées en outre pour déterminer si le contenu a été ou non copié en légalité.


:bye:
Pourquoi faire simple, alors qu'on peut faire compliqué ?

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #1000
Ah ça....le "libre échange" qu'ils appellent le commerce. Va falloir changer de nom...
On est tous le con de quelqu'un d'autre

Un appendice ne sert pas forcément à rien. Chez moi, TOUS les appendices servent  :classe:


Mise a jour du blog le 27/12/06

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #1001
Mais pffff  :rolleyes:

Sinon, concernant Hadopi, j'en ai une bien bonne:

Le ministère de la culture oublie de renouveler jaimelesartistes.fr

Mais sinon à part ça, Hadopi c'est vraiment une loi créée avant tout pour les artistes
: Lundi 09 Novembre 2009, 13:40:31
Concernant le gouffre à pognon que constitue Hadopi et particulièrement les locaux du truc:

http://www.pcinpact.com/actu/news/54255-hadopi-locaux-texel-richard-mallie.htm

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Par ailleurs, nous avons interrogé Frédéric Mitterrand en marge du forum sur la Culture à Avignon samedi matin, pas loin de la rue du portail Boquier. À la simple évocation du thème « Hadopi », le ministre nous a répondu sans détour : « laissez-tomber, vous voulez bien ? » avant de nous tourner le dos.


Hé non!
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #1002
fermez vos gueules et subissez, vous voulez bien?   :whip:
"Avec beaucoup de patience et de vaseline, l'éléphant encule la fourmi"

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #1003
Oui, c'est exactement ça, c'est vraiment "on a aucun compte à vous rendre, alors fermez voggle" :peur:

Bah alors, on déclare la guerre et après on dit "pitié"? Moi je dis "allez au diable" :o

Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #1004
continuons dans le sens  "vous êtes tous des criminels potentiels"...  

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/11/25/l-assemblee-examinera-un-projet-de-filtrage-du-web-debut-2009_1272123_651865.html#xtor=RSS-3208


"Avec beaucoup de patience et de vaseline, l'éléphant encule la fourmi"