Et c'est quoi son "ordre juste" (à part les militaires dans les salles de classe, le service d'un an etc, qui sont des propositions que même Sarko le fasco n'aurait jamais osé faire)? L'a t'elle expliqué une seule fois ?
Non, ce sont encore des mots creux sans rien de concret derrière,. Avec "l'ordre juste", il ya le "désir d'avenir" aussi... Faut pas l'oublier çui là.
Mériterait de se faire réentartrer tiens
Posted on: Monday 20 November, 11:57:05
:mdr: :roule:
Je demandais dans le post d'avant ce que voulait dire "ordre juste", visiblement Ségo ne le sait pas elle même. :w00t2:
Décidément, cette femme nous prend pour des jambons
Ségolène Royal invite les Français à définir eux-mêmes l'"ordre juste"
Inaccessible, même pour ses proches partisans, depuis sa triomphale désignation, le 16 novembre, par les militants, comme candidate du PS pour 2007, Ségolène Royal est réapparue, lundi 20 novembre sur TF1, pour évoquer, a minima, sa future campagne.
"Maintenant que les socialistes ont beaucoup parlé entre eux, nous allons nous tourner vers les Français", a-t-elle assuré. Pour cette deuxième étape, nul besoin d'être militant : la candidate socialiste s'est adressée aux sympathisants et "citoyens" en les incitant à participer à des forums sur quatre thèmes : l'éducation, la lutte contre la précarité et toutes les formes de violence - "aux Français de me dire ce qu'ils entendent par ordre juste" -, le pouvoir d'achat et l'environnement. Une façon, là encore, de chasser le spectre de 2002 et l'image des "technos" qui avaient entouré Lionel Jospin...
Ségolène Royal s'en remet à l'opinion. Va-t-elle "suivre ce qu'on lui propose ?", l'interroge Patrick Poivre d'Arvor. "Absolument", répond-elle. Son projet pour 2007 sera ainsi "sans doute complété (...), plus concret" que celui du PS. "Un leader doit considérer qu'il ne sait pas tout, tout seul, a poursuivi Mme Royal. En voilà assez des politiques qui assènent sur la tête des autres ce qu'il faut penser, ce qu'il faut dire et ce qu'il faut faire." Ce n'est qu'après cette "phase d'écoute", a-t-elle précisé, qu'un "responsable politique décide", puis "explique les raisons des décisions qu'il va prendre".