[Matt]

mais comme acteur, otez moi d'un doute, c'est un peu un gros nul nan ?

[Kianouch]

Citation de RoiLion.com le 21 Mars 2008 à 09:01

Moi je le connais: Il s'est tape (se tape encore?) Kylie Minogue. C'est mon idole, je le venere :P

Je ne connais pas l'acteur mais je comprend bien ton point de vue ^^
: Vendredi 21 Mars 2008, 09:15:18Les députés restaurent le lundi de Pentecôte comme jour férié

 :roule: :roule:



http://www.latribune.fr/info/Les-deputes-restaurent-le-lundi-de-Pentecote-comme-jour-ferie-~-IDFF7E4CFDC4851A70C125741800605D11-$Mail=1

[MCL80]

Oui, sauf qu'en échange, c'est un jour de congé en moins ailleurs. Moi, j'en ai rien à battre du lundi de pentecôte, et depuis que je bosse, on m'oblige à le poser en congés, et ça me gonfle. :scrogneugneu:

Parcequ'à part me branler m'ennuyer, qu'est-ce que vous voulez que je fasse pendant un long WE? :peur:

[FX]

Bah y'a plein de truc à faire  :peur:

[Kianouch]

Le web français secoué par un jugement
http://info.france2.fr/medias/41504504-fr.php
http://www.maitre-eolas.fr/2008/03/28/911-l-ordonnance-de-refere-dans-l-affaire-fuzz-fr

 :thumbdown2:

[Nico]

Ca vire au grand n'importe quoi...

[Kianouch]

Y avait Besancenot dans un sketch du dernier Groland, du 12 Avril, où l'on cause de l'omniprésence de Sarkozy en France :

http://www.canalplus.fr/c-humour/pid1787-c-groland.html
Joli  :yaisse:

[Z666]

Haha ça claque avec le morceau de godspeed you black emperor derrière ^^

[MCL80]

Le retour des émeutes de la faim:

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Emeutes de la faim : la Banque mondiale tire la sonnette d'alarme
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 14.04.08 | 07h18  •  Mis à jour le 14.04.08 | 13h43

La Banque mondiale (BM) a décidé d'octroyer une aide de 10 millions de dollars à Haïti et d'y envoyer des experts pour aider les autorités haïtiennes à répondre à la crise alimentaire, qui a généré de violentes émeutes (5 morts et 200 blessés) et coûté son poste au premier ministre, Jacques Edouard Alexis. L'aide débloquée vise à permettre au gouvernement de "réagir à la hausse des prix de l'alimentation, qui deviennent inabordables pour les familles pauvres", explique la Banque mondiale dans un le communiqué. Samedi le président haïtien René Préval a annoncé une réduction du prix du riz pour éviter une répétition des violences des derniers jours.

Ces événements soulignent encore une fois l'importance de la crise alimentaire qui frappe actuellement les pays pauvres. Les assemblées de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale, qui se sont tenues ce week-end à Washington, ont manifesté leurs préoccupations à cet égard. Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI prévient qu'une poursuite de la flambée des prix aura des "conséquences terribles" : "comme nous l'avons appris dans le passé, ce genre de situation se finit parfois en guerre", a-t-il dit.

ROBERT ZOELLICK : "NOUS NE POUVONS PAS ATTENDRE"

Le monde se dirige "vers une très longue période d'émeutes" et de conflits liés à la hausse des prix et à la pénurie des denrées alimentaires, estime aussi Jean Ziegler, rapporteur spécial des Nations Unies pour le droit à l'alimentation, dans un entretien à Libération publié lundi. "On va vers une très longue période d'émeutes, de conflits, des vagues de déstabilisation régionale incontrôlable", déclare-t-il. "Avant la flambée des prix déjà (...) 854 millions de personnes étaient gravements sous-alimentées. C'est une hécatombe annoncée", met en garde M. Ziegler.

D'après un rapport de la Banque mondiale publié la semaine dernière, la hausse des prix du blé atteignait 181% à l'échelle mondiale en février sur 36 mois, et la hausse mondiale des prix alimentaires 83% sur la même période. Cette flambée des prix a entraîné des manifestations violentes en Egypte, au Cameroun, en Côte d'Ivoire, en Mauritanie, en Ethiopie, à Madagascar, aux Philippines, en Indonésie, entre autres. Mais la Banque mondiale considère que ce sont au moins 33 Etats dans le monde qui sont menacés de troubles politiques et de désordres sociaux.

Le dossier sera discuté lors du G8 Finances, en juin au Japon. "Mais, franchement, nous ne pouvons pas attendre jusque là", a estimé Robert Zoellick, le patron de la Banque mondiale. Pour lui, il est temps de proposer une nouvelle matière de politique alimentaire, réellement ambitieuse. Il demande avec vigueur aux pays donateurs de fournir immédiatement au moins 500 millions de dollars dont a besoin le Programme alimentaire mondial pour faire face à la crise. La Banque mondiale prévoit de presque doubler ses prêts agricoles en Afrique en les portant à 800 millions de dollars. M. Zoellick veut aussi que les fonds souverains développent leurs investissements en Afrique, parmi d'autres mesures destinées à apaiser l'impact du ralentissement économique mondial sur les pays les plus pauvres.

Et fatalement, la question qui dès le départ pouvait être posée sur la viabilité des agrocarburants ressurgit avec force:

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Les biocarburants accusés d'exacerber la crise alimentaire
LEMONDE.FR | 14.04.08 | 16h33  •  Mis à jour le 14.04.08 | 17h39

C'est une dénonciation sans appel : "La fabrication de biocarburants est aujourd'hui un crime contre l'humanité." Jean Ziegler, le rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l'alimentation, accuse les pays développés d'être responsables de l'importante inflation qui touche les denrées alimentaires. Une flambée des prix qui a entraîné des "émeutes de la faim" à Haïti et dans plusieurs pays d'Afrique et d'Asie.

Le rapporteur spécial vise plus particulièrement la politique de subventions aux cultures destinées aux biocarburants mise en place par les pays développés. "Quand on lance, aux Etats-Unis, grâce à 6 milliards de subventions, une politique de biocarburant qui draine 138 millions de tonnes de maïs hors du marché alimentaire, on jette les bases d'un crime contre l'humanité pour sa propre soif de carburant", explique-t-il dans une interview au quotidien Libération. Plus rentables parce que subventionnées, les cultures destinées à la fabrication de biocarburants tendent à remplacer les cultures alimentaires, provoquant une raréfaction de produits de base comme le maïs, et donc une augmentation des prix.

Les biocarburants sont élaborés à partir de graisses et de sucres tirés de végétaux comme le blé, le colza, le maïs ou la betterave, qui sont également cultivés pour l'alimentation. Les futures générations de biocarburants devraient utiliser des résidus – fanes ou pailles – de ces aliments, mais ils sont encore loin d'être prêts techniquement.

L'UE DIVISÉE SUR LES SUBVENTIONS AGRICOLES

Plusieurs dirigeants européens, dont le chef du gouvernement italien Romano Prodi, ont dénoncé le fait que les cultures destinées à la fabrication de biocarburants bénéficient d'aides importantes. Une position soutenue par la Grande-Bretagne, qui demande la suppression de ces subventions.

L'Union européenne prévoit de porter à 10 % la part de biocarburants utilisés dans les transports dans le cadre de la réduction des émissions de gaz à effet de serre. L'Agence européenne de l'environnement avait recommandé une suspension de cet objectif vendredi 11 avril ; une éventualité démentie par le Commissariat à l'environnement lundi 14.

La France, qui doit prendre la présidence de l'Union au second semestre, a d'ores et déjà annoncé qu'elle lancerait une discussion sur la place des biocarburants dans la politique agricole commune. Le ministre de l'agriculture Michel Barnier souhaite également renégocier le fonctionnement des aides au développement, dans le cadre d'une "initiative européenne pour la sécurité alimentaire". Les négociations devraient s'avérer complexes, l'Union étant notamment divisée sur le maintien de barrières douanières, contestées par l'Organisation mondiale du commerce mais défendues par plusieurs pays dont la France.

[squekky]

Il y a aussi une explosion dans le prix du riz et cette hausse alimentaire risque de mettre en peril pas mal d'état

Citation

La criminalité n'avait jamais été un problème au village de Banglane (centre de la Thaïlande), jusqu'à la flambée du riz.

Le prix du riz thaïlandais a bondi de 50% le mois dernier, atteignant des sommets et transformant la production des champs de M. Takham Uthao en une denrée de base aussi précieuse que l'or alors que la récolte commençait.

Maintenant, tenir les voleurs à l'écart fait partie de la routine quotidienne de ce paysan de 48 ans. «Je dois toujours écouter attentivement et agir rapidement si mon chien aboie».

Pourtant, M. Takham n'est pas trop en colère si on lui vole un peu de sa récolte alors que l'envolée mondiale des prix du riz a des effets inflationnistes en Thaïlande même et que le porc, le poulet et les légumes coûtent aussi plus cher.

Mais le riz est le principal problème, parce que «le riz c'est la vie» et que sans cela les Thaïlandais ont l'impression de ne pas avoir eu un vrai repas, ajoute M. Takham.

Le riz est la denrée de base de plus de la moitié de la population mondiale et, au delà de ses aspects culturels et religieux, tous les pays asiatiques s'intéressent de près aux récoltes des paysans thaïlandais parce qu'elles auront un impact sur ce que les gens de la région auront dans leur assiette et surtout sur ce qu'ils paieront.

Des inondations au Bangladesh, des maladies au Vietnam et des intempéries en Chine ont réduit l'offre de riz à un moment où les stocks nationaux en Asie étaient déjà à un niveau assez bas, explique Concepcion Calpe, économiste à l'Organisation des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO).

«Les exportateurs ont répondu (à cette situation) en limitant les exportations, ce qui a poussé les prix à la hausse», précise-t-elle.

La Thaïlande est le premier exportateur mondial de riz (9,5 tonnes expédiées à l'étranger en 2007) mais, contrairement aux autres grands exportateurs --Inde et Vietnam--, elle n'a pas restreint ses exportations, affirmant qu'il y avait assez de riz pour la consommation intérieure, malgré des rumeurs de pénurie.

Une variété de référence, le riz parfumé Pathumthani, était estimée à 930 dollars la tonne mercredi dernier, soit 52% de plus qu'un mois auparavant, a indiqué l'Association thaïlandaise des exportateurs de riz.

D'autres pays asiatiques qui importent du riz, comme les Philippines et le Sri Lanka, affrontent eux des difficultés pour garantir leurs propres livraisons.

Vendredi dernier, les Philippines ont annoncé des investissements majeurs pour stimuler la production agricole mais, pour faire face au problème immédiat, des responsables locaux ont demandé aux restaurants de ne servir que des demi-portions de riz afin d'éviter le gâchis. La plus grande chaîne de restauration rapide, Jollibee, a accepté.

Au Bangladesh, l'administrateur militaire du pays aurait demandé aux villageois de délaisser le riz au profit de la pomme de terre, et un groupe paramilitaire a reçu l'ordre de surveiller attentivement les prix sur les marchés pour empêcher des détaillants de manipuler la situation.

La flambée des prix contribue certainement à la constitution de stocks. «Les intermédiaires et les minotiers, ainsi que certains riziculteurs, suivent les information. Ils savent qu'ils doivent attendre de meilleurs prix avant de vendre», explique un exportateur thaïlandais, sous couvert de l'anonymat.

Des fermiers déshérités en Thaïlande disent qu'ils ne profitent pas de la flambée des prix. Rares sont ceux qui peuvent se permettre une mise en réserve dans des silos. Ils vendent donc le riz dès qu'il est récolté.

Kratae Najan, rizicultrice de 38 ans, souligne que l'inflation affecte aussi les coûts pour cultiver le riz. «Tout est plus cher: les graines, les fertilisants, l'essence. Je n'ai pas plus d'argent dans mes poches, même si les prix flambent».

[Jaxom]

Et s'il n'y avait que les denrées alimentaires.... Les vols dus aux récupérateurs de métaux de grande consommation (ex : cuivre) grimpent en flèchent depuis 2~3 ans... en France. Et ça a dépassé le cas du simple chapardage dans une décharge ou dans une casse automobile. Non, il s'agit bien de gens qui arrachent les cablages dans les lieux publics ou la plomberie apparente sur les batiments pour la fondre et la revendre à des férailleurs, parfois dans les pays émmergeant justement. Les gens n'en sont pas encore à démonter les lignes téléphoniques et cables electriques à haute tension durant la nuit, mais ça devient préoccupant.

Souce : C dans l'air 2006.

[squekky]

Pour les lignes telecoms aucun souci ce n'est pas rentables surtout que maintenant c'est la fibre meme dans les pays dits emmergeant.

Pour les lignes HT c'est de l'Alu et on pose de moins en moins de cuivre pour ces sections là depuis que l'argentine a stoppé son exportation de cuivre. Apres le vol existera toujours pour ce precieux metal qui offre au ouvrier un 13eme moi voir un 14eme. Et encore là c'est une infamie car ce n'est pas du vol mais de la vente de chute.
Le vol c'est comme tu le dis les assauts sur des installations pour recuperer des câbles comme par exemple il y a deux ans sur la ligne TGV lyon marseille ou plus de 3 km de câble ont été volé ou alors des entrepôts de tôlerie pillé à Aubagne.
Et ce n'est pas pret de s'arreter le cours du cuivre est affolant ><.

[RoiLion.Thom]

Citation de Jaxom le 16 Avril 2008 à 02:13

Et s'il n'y avait que les denrées alimentaires.... Les vols dus aux récupérateurs de métaux de grande consommation (ex : cuivre) grimpent en flèchent depuis 2~3 ans... en France. Et ça a dépassé le cas du simple chapardage dans une décharge ou dans une casse automobile. Non, il s'agit bien de gens qui arrachent les cablages dans les lieux publics ou la plomberie apparente sur les batiments pour la fondre et la revendre à des férailleurs, parfois dans les pays émmergeant justement. Les gens n'en sont pas encore à démonter les lignes téléphoniques et cables electriques à haute tension durant la nuit, mais ça devient préoccupant.

Souce : C dans l'air 2006.

En 2007, sur un chantier, les gars se sont pointes un matin et on decouvert que le cable de la grue s'etait fait la malle pendant la nuit...

Oui oui, le gros cable qui monte a la fleche !

[Jaxom]

http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/04/16/s-initier-a-l-art-du-sushi_1035022_3238.html  :wub:

[Kamen]

Citation

En quelques années, la mode du sushi a envahi Paris. Cet engouement enrage Toshiro Kuroda. Sa passion culinaire l'a conduit, depuis 1971, à ouvrir plusieurs restaurants (Bizan, Issé) et une épicerie (Workshop Issé) dans le quartier de l'Opéra. Pour lui, la cuisine japonaise est une cuisine des usages, où le geste précis signifie une façon d'être et induit une esthétique. Aussi raffiné et délicat soit-il, l'art du sushi ne saurait cacher la réelle variété de la cuisine japonaise.

Ben ils n'ont qu'a ouvrir autre chose que des restaus de sushis dans ce cas, au lieu de jouer les pleureuses! Comme les restaurants francais, une honte. Hors de prix, quantites ridicules, gout fadasse. :sleeping:

Citation

"De moins d'une centaine dans les années 1990, le nombre des restaurants japonais est passé à près de 600 à Paris et plus de 300 en province", précise Toshiro Kuroda. Sont-ils tous véritablement japonais ? Rien n'est moins sûr, car Chinois et Coréens se sont ingéniés, ces dernières années, à multiplier les enseignes. Le Japon est vendeur, au point de susciter la création, en 2006, d'un Comité d'évaluation de la cuisine japonaise, qui publie une liste restrictive de restaurants japonais réputés authentiques (publiée sur www.cecj.fr). Toshiro Kuroda regrette cette attitude malthusienne. "Il existe, dit-il, des Japonais qui font une excellente cuisine française, à Paris comme à Tokyo."

Si restaurateur japonais=gage de qualite... Ca me fait toujours rire ces bouffees de nationalisme mal place! :mrgreen: