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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 8 Novembre à 11:02 par Yann Solo »Et encore, The Messenger j'ai passé plusieurs spoilers sous silence, donc tu peux considérer qu'il est encore mieux que ce que j'ai dit :mrgreen:
J'en profite aussi pour en rajouter un que j'ai oublié dans mon post précédent
Pur arcade, pur fun, du drift, du drift et encore du drift ! Les voitures n'ont pour ainsi dire pas de volant (c'est affolant comment ça braque pas du tout), tout se fait aux contrôles spécifiques au jeu : stick gauche pour le volant qui fait quasi rien, stick droit pour drifter. La prise en main est immédiate et est super fun.
Chaque voiture est très différente et se pilote d'une manière spécifique : certaines répondent bien, d'autres obligent à freiner pour lancer un drift, ou à relâcher l'accélérateur, ou les 2... En vrai je trouve la plupart des bagnoles immaniables et je joue qu'avec 2 ou 3 d'entre elles, mais celles qui répondent bien, quel pied !
Le jeu a quand même pas mal de défauts : Le mode histoire t'oblige à jouer tel ou tel pilote, même si t'aimes pas sa voiture, les circuits sont très beaux mais sont peu nombreux (10 circuits dans 5 décors différents), et la musique est franchement pas ouf, alors qu'avec cette ambiance années 90 et des graphismes aussi sympa, le jeu aurait mérité bien mieux.
La difficulté est assez ridicule aussi, là je suis bloqué sur une mission time attack où il t'oblige à faire un temps complètement débile, et faute de pouvoir avancer l'histoire, les bagnoles à débloquer correspondantes restent inaccessibles (j'ai cherché un savegame 100% unlock mais je l'ai jamais trouvé)
En soi, avec tous ces défauts, c'est pas un jeu que j'aurais recommandé... Le truc, c'est qu'il est régulièrement en soldes, et la dernière fois il coûtait littéralement un euro. Même s'il est répétitif, à ce prix là, c'est donné, surtout au vu du fun qu'il procure quand on arrive à bien gérer sa bagnole et son circuit ! Donc n'hésitez pas à le mettre en wishlist et à attendre les prochaines soldes :mrgreen:
J'en profite aussi pour en rajouter un que j'ai oublié dans mon post précédent
Pur arcade, pur fun, du drift, du drift et encore du drift ! Les voitures n'ont pour ainsi dire pas de volant (c'est affolant comment ça braque pas du tout), tout se fait aux contrôles spécifiques au jeu : stick gauche pour le volant qui fait quasi rien, stick droit pour drifter. La prise en main est immédiate et est super fun.
Chaque voiture est très différente et se pilote d'une manière spécifique : certaines répondent bien, d'autres obligent à freiner pour lancer un drift, ou à relâcher l'accélérateur, ou les 2... En vrai je trouve la plupart des bagnoles immaniables et je joue qu'avec 2 ou 3 d'entre elles, mais celles qui répondent bien, quel pied !
Le jeu a quand même pas mal de défauts : Le mode histoire t'oblige à jouer tel ou tel pilote, même si t'aimes pas sa voiture, les circuits sont très beaux mais sont peu nombreux (10 circuits dans 5 décors différents), et la musique est franchement pas ouf, alors qu'avec cette ambiance années 90 et des graphismes aussi sympa, le jeu aurait mérité bien mieux.
La difficulté est assez ridicule aussi, là je suis bloqué sur une mission time attack où il t'oblige à faire un temps complètement débile, et faute de pouvoir avancer l'histoire, les bagnoles à débloquer correspondantes restent inaccessibles (j'ai cherché un savegame 100% unlock mais je l'ai jamais trouvé)
En soi, avec tous ces défauts, c'est pas un jeu que j'aurais recommandé... Le truc, c'est qu'il est régulièrement en soldes, et la dernière fois il coûtait littéralement un euro. Même s'il est répétitif, à ce prix là, c'est donné, surtout au vu du fun qu'il procure quand on arrive à bien gérer sa bagnole et son circuit ! Donc n'hésitez pas à le mettre en wishlist et à attendre les prochaines soldes :mrgreen:
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Novembre à 07:38 par tinou »Merci Yann, tu attises ma curiosité avec ton "Brothers" et ton "Messenger" (seulement 4$ en ce moment en plus), je vais voir de quoi il retourne!
En attendant, je vous partage aussi une pépite :
South of the Circle
Dans l’ombre glaciale de la Guerre froide, “South of the Circle” se dresse comme un bastion roboratif contre le péril rouge. Ce walking simulator enneigé, loin d’être une simple promenade, nous plonge dans une intrigue d'espionnage captivante où chaque pas résonne comme un écho de la lutte idéologique entre l'Est et l’Ouest. Le gameplay, bien que minimaliste, est une véritable odyssée narrative, en ce sens où l'on a vraiment l'impression de lire un livre en y jouant, plus encore que certaines visual novel disponibles à foison sur le PS Store. On incarne Peter, un universitaire pris dans les tourments d’une mission en Antarctique, où chaque décision semble peser sur l’équilibre mondial. Les choix moraux auxquels il est confronté sont cruciaux : défendre la co-signature de son étude avec sa compagne Clara, ou céder à la pression institutionnelle et risquer de perdre son amour. Ce dilemme met en lumière les thèmes du féminisme et de l'émancipation, des sujets brûlants même dans le froid polaire, pour lesquels il faut savoir sortir de sa zone de confort et ne pas simplement exprimer un refus ou une désapprobation, croyant que "ça fera le job". La direction artistique, quant à elle, est un chef-d’œuvre de sobriété et d’élégance. Les paysages enneigés, d’une beauté austère, évoquent la froideur des relations diplomatiques de l’époque. Les personnages, dessinés avec une simplicité désarmante, ajoutent une profondeur émotionnelle qui contraste avec la rigueur du contexte historique. En somme, “South of the Circle” est une expérience ludique et narrative qui, sous des airs de simplicité, cache une richesse et une profondeur digne des plus grands récits de la guerre froide, le tout sur un petit jeu qui vous occupera une soirée tout au plus.
En attendant, je vous partage aussi une pépite :
South of the Circle
Dans l’ombre glaciale de la Guerre froide, “South of the Circle” se dresse comme un bastion roboratif contre le péril rouge. Ce walking simulator enneigé, loin d’être une simple promenade, nous plonge dans une intrigue d'espionnage captivante où chaque pas résonne comme un écho de la lutte idéologique entre l'Est et l’Ouest. Le gameplay, bien que minimaliste, est une véritable odyssée narrative, en ce sens où l'on a vraiment l'impression de lire un livre en y jouant, plus encore que certaines visual novel disponibles à foison sur le PS Store. On incarne Peter, un universitaire pris dans les tourments d’une mission en Antarctique, où chaque décision semble peser sur l’équilibre mondial. Les choix moraux auxquels il est confronté sont cruciaux : défendre la co-signature de son étude avec sa compagne Clara, ou céder à la pression institutionnelle et risquer de perdre son amour. Ce dilemme met en lumière les thèmes du féminisme et de l'émancipation, des sujets brûlants même dans le froid polaire, pour lesquels il faut savoir sortir de sa zone de confort et ne pas simplement exprimer un refus ou une désapprobation, croyant que "ça fera le job". La direction artistique, quant à elle, est un chef-d’œuvre de sobriété et d’élégance. Les paysages enneigés, d’une beauté austère, évoquent la froideur des relations diplomatiques de l’époque. Les personnages, dessinés avec une simplicité désarmante, ajoutent une profondeur émotionnelle qui contraste avec la rigueur du contexte historique. En somme, “South of the Circle” est une expérience ludique et narrative qui, sous des airs de simplicité, cache une richesse et une profondeur digne des plus grands récits de la guerre froide, le tout sur un petit jeu qui vous occupera une soirée tout au plus.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 6 Novembre à 17:25 par Yann Solo »Lui, j'en reviens pas qu'il ait jamais été cité dans ce topic. Le concept est intéressant, puisque c'est un jeu multi qui se joue en solo. Un seul joueur contrôle les 2 frères simultanément avec les 2 sticks de la manette et les 2 gâchettes (qui servent de bouton "agir" générique).
On suit les 2 frangins dans leur quête d'une eau miraculeuse qui peut guérir leur père malade, et qui vont parcourir un monde fantastique peuplé de géants, trolls, ou autres monstres pas toujours hostiles. Le grand frère est plus fort et sait nager, et le petit est plus léger et agile, il faudra donc souvent séparer les 2 pour que l'un ouvre le passage pour l'autre.
L'histoire elle-même est basique mais efficace, et la narration du dernier niveau est absolument incroyable (non pas que les autres soient mauvais). Le jeu se fait en à peu près 4h, c'est pas énorme mais c'est 4h bien dépensées. Il existe un remaster mais je sais pas ce qu'il vaut, sachant que l'original est toujours plutôt beau pour son âge.
On joue un invité dans une fête costumée, où tous les invités finissent assassinés d'ici la fin de la fête. De là, on peut utiliser une boucle temporelle pour revenir en arrière autant qu'on veut, et prendre diverses mesures pour sauver les invités.
Notre masque nous rend invisible, mais nous empêche aussi d'être dans la même pièce qu'un invité ou un membre du staff, donc on doit toujours agir en coulisses, sans jamais directement interagir avec les pnj. Genre, le tuto montre comment remplacer des cartouches de fusil par des munitions à blanc, ce qui permet à l'invité qui se fait tirer dessus plus tard de survivre au 1er coup, et de casser la gueule à son assassin avant qu'il puisse recharger.
Le jeu est assez linéaire, on est pas lâché dans le manoir en mode "démerde-toi", on sauve chaque invité 1 par 1 dans un ordre précis, puis on débloque une autre partie du manoir pour sauver le suivant. Ca peut être un bien comme un mal selon à quel point on aime se faire des noeuds au cerveau, perso j'ai bien aimé que le jeu soit pas trop difficile non plus.
Allez, je passe en mode rétro là, un peu de plateforme ! :mrgreen:
Je vais pas m'attarder sur lui... Prenez juste Donkey Kong Country Returns, virez la difficulté complètement débile qui fait vite que jouer au jeu et perdre 30 vies par niveau devient une punition plutôt qu'une joie, rajoutez le Marsupilami, et PAF, ça fait des chocapics !
Les graphismes sont jolis, la difficulté progressive mais faisable (+ dur si on veut tout finir à 100% avec tous les items), les musiques sont agréables sans être des bangers... Le jeu entier est un gros "Bien mais pas top" :mrgreen:, ou du moins "Très bien mais pas incroyable". 1 ou 2 mondes en plus (4 au total dans le jeu) auraient été bienvenus, mais franchement, si vous voulez un plateformer sympa et pas prise de tête, le marsu se défend très bien !
Autre petit bémol/détail : les marsus du jeu ne sont clairement pas celui de la BD... Le marsu de la BD il speedrunnerait le jeu en défonçant tout dans son sillage, ceux du jeu ont été sévèrement nerfés histoire que ce soit pas trop facile non plus.
Une lettre d'amour à Megaman X. 2 robots (un bleu qui tire, un rouge avec un sabre laser), 8 boss qui lâchent leur arme, et 2 niveaux finaux avec vilain boss. Le tout est à la sauce rogue-like : niveaux générés procéduralement (en vrai, plein de sections possibles mises à la suite en random), on peut dropper différentes armes, morceaux d'armure, et bonus divers, et chaque mort remet la progression à zéro. En contrepartie, les pics et tomber dans le vide ne sont pas des one-shot, on perd juste un peu de vie.
Côté innovations, Nina (X) peut équiper plusieurs armes et les combiner (genre tir en fouche + tir arrière + tirs rebondissants), et peut aussi combiner 2 pouvoirs de boss pour en faire un pouvoir fusionné. Ace (Zero) ne peut équiper qu'une arme, mais son énergie (le fuel pour les pouvoirs, pas les points de vie) se regen constamment quand il donne des coups sans en prendre, donc bien maitrisé tu peux enchainer les coups spéciaux de manière trop classe.
Seul bémol, le jeu est atrocement dur, mais les devs ont prévu une option pour ajuster les pv des ennemis et les dégâts qu'ils infligent, donc au pire on peut jouer avec. Un bon point : il est multijoueur, en ligne comme en local, donc on peut jouer à 2.
Une petite pépite qui rend hommage à Ninja Gaiden. Le jeu reprend des graphismes 8 bits façon NES, et on joue un ninja qui parcourt des niveaux en tapant les ennemis et en achetant des upgrades en chemin (meilleure arme, + de shurikens, vol plané, grappin, etc).
A un moment du jeu, on est envoyé dans le futur... Ce qui se traduit par le passage à 16 bits ! Les graphismes et la musique (excellents dans les 2 cas) s'adaptent en conséquence pour atteindre un niveau SNES qui restera jusqu'à la fin du mode histoire.
J'en dis pas plus, il est vraiment bon. Les contrôles sont aux petits oignons, la difficulté est gérable dans les niveaux, les boss sont chiants le temps qu'on trouve le pattern mais après quelques essais on progresse (à part 1 ou 2 qui sont VRAIMENT relous), et le jeu est super marrant. Le mec du magasin qui vend les upgrades, il a tellement pas envie d'être là à te filer tes trucs, c'est un plaisir de le croiser pour écouter ses dialogues :mrgreen:
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 6 Novembre à 11:18 par tinou »J'avais envie de refaire Okami, je me laisserais bien tenté par celui là.
Somerville
Ce jeu a été développé par Jumpship, et produit par Chris Olsen a qui on doit l'excellent Inside (mais aussi Limbo), de qui il se rapproche par certains aspects. C'est un jeu d'aventure que l'on pourrait qualifier de "cinematic 3D platformer" si l'expression existait. On incarne un père de famille séparé des siens lors d'une invasion extra-terrestre, dans une ambiance "Guerre des Mondes" fort réussie, et des décors et graphismes magnifiques. Point de combat, il s'agit de se déplacer dans les décors et résoudre des puzzles en utilisant (ou non) un pouvoir que le personnage acquiert lors des premiers chapitres. Le tout sans dialogues (comme Inside). On a parfois quelques bugs de déplacements ou de collisions, mais rien de bien grave (c'est moins fignolé qu'Inside). Les lumières, la direction artistique rappelle aussi un peu Another World. J'ai mis 4 heures en tout, la fin est peut-être un peu longuette... Bref, un deuxième excellent "petit" jeu.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 5 Novembre à 11:55 par Battou »J'avais envie de refaire Okami, je me laisserais bien tenté par celui là.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 3 Novembre à 11:40 par tinou »Neva
Le nouveau jeu des créateurs de Gris, à savoir les espagnols de Nomada Studio. On retrouve le même genre de direction artistique, un peu moins sur les crayonnés et un peu plus sur les aplats de couleur cependant. C’est évidemment hyper joli et on peut passer son temps à screenshoter :w00t2:.
Le gameplay est un peu plus etoffé que Gris puisque Neva propose des combats, assez bien dosé (c’est pas le too much for nothing de Trek to Yomi) : une frappe, un dash, une esquive, 3 PV et 1 PV regagné tous les 6 coups bien placés. C’est tout. Ce n’est guère compliqué et au pire si on veut simplement profiter de l’histoire on peut activer une option très simplificatrice.
Niveau inspiration visuelle, ce n’est que peu original : essentiellement Mononoke Hime (les animaux géants, les décors), et le kami/yokai Kaonashi de Chihiro. J’ai du mettre une demi-douzaine d’heure pour tout faire. Un très bon jeu automnal je trouve!
Le nouveau jeu des créateurs de Gris, à savoir les espagnols de Nomada Studio. On retrouve le même genre de direction artistique, un peu moins sur les crayonnés et un peu plus sur les aplats de couleur cependant. C’est évidemment hyper joli et on peut passer son temps à screenshoter :w00t2:.
Le gameplay est un peu plus etoffé que Gris puisque Neva propose des combats, assez bien dosé (c’est pas le too much for nothing de Trek to Yomi) : une frappe, un dash, une esquive, 3 PV et 1 PV regagné tous les 6 coups bien placés. C’est tout. Ce n’est guère compliqué et au pire si on veut simplement profiter de l’histoire on peut activer une option très simplificatrice.
Niveau inspiration visuelle, ce n’est que peu original : essentiellement Mononoke Hime (les animaux géants, les décors), et le kami/yokai Kaonashi de Chihiro. J’ai du mettre une demi-douzaine d’heure pour tout faire. Un très bon jeu automnal je trouve!
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Politique / Re : Emmanuel Macron Président de la République
« le 3 Novembre à 10:57 par MCL80 »Pendant que le ministre de l'intérieur fait des moulinets et des discours pour flatter le RN et son électorat raciste et xénophobe, tout va bien:
https://www.lyonmag.com/article/139160/pres-de-lyon-nouvelles-violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-des-bus-tcl-incendies
Une petite réaction ironique: Il ne peut pas y avoir d'incendies criminels, de vol, de violences à Rillieux la nuit et le week-end. C'est strictement impossible puisque c'est écrit sur une belle plaque métallique à l'entrée du commissariat de police: "Le commissariat est ouvert du lundi au vendredi de 9hà 12h00 et de 14h00 à 17h00" (j'y suis passé il y a quelques mois… en dehors des heures. :shifty:) C'est vrai que la ville ne compte que 30000 habitants, dans une agglomération de plus 1,5 millions d'habitants et qu'elle n'est longée que par le contournement autoroutier de Lyon qui permet d'aller de Nord au Sud de l'Europe (au hasard du sud de l'Espagne à Rotterdam). Dans ces conditions, je ne comprends absolument pas qu'il puisse y avoir un quelconque trafic à cet endroit… hum.
En attendant, les pseudo-journalistes et commentateur divers sans compter les "hommes politiques" s'en donnent à cœur-joie. La réalité à Rillieux, c'est un ou deux quartier gangrenés par les trafics (tiens, il n'y aurait pas besoin d'une police de proximité pour attaquer tout ça sur le long terme? Les débarquements de CRS pendant 48h, ça fait très longtemps, qu'à part faire bander - mou, vu son âge - un ministre de l'intérieur et quelques pseudo-journalistes ou autres commentateurs bien au chaud dans le centre de Paris, tout le monde sait que ça sert à rien) et à côté de ça, il y a des maisons qui valent dans les 500000€ pièce, voir plus à même pas 300 mètres à vol d'oiseau de ces quartiers. On trouve aussi des zones commerciales et d'activités. Bref, une banlieue française tout ce qu'il y a de classique dans sa juxtaposition de richesse, de misère, d'activités légales et illégales.
En tout cas, c'est le concours lépine des idées les plus à droite, entre le maire:
https://www.lyonmag.com/article/139173/violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-le-maire-menace-de-couper-les-aides-et-casser-les-baux-des-delinquants
et le président de la Métropole:
https://www.lyonmag.com/article/139176/violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-pas-de-bus-dans-le-secteur-jusqu-a-mi-novembre
C'est sûr que priver les habitants du secteur (dans les 150000 au moins) de transports en commun, c'est une bonne idée: il n'y a plus de supermarché digne de ce nom dans ce cœur de ville et les habitants qu'ils soient motorisés ou non doivent en sortir pour faire leurs achats. Hé puis, c'est pas comme si habitait dans la zone privée de transports en commun des salariés comme on disait en 2020 "de première ligne" qui vont nettoyer les bureau du centre de Lyon en horaires décalées, bosser dans les centres commerciaux et les zones d'activité diverses sur les métiers les plus pénibles, s'occuper de torcher les petits vieux à domicile…
Toutes ces gesticulations de politicards ne changeront rien. Le ministre de l'intérieur parle de mexicanisation pour tenter de masquer le fait qu'il ne fera rien, que le gouvernement ne fera rien pour combattre les trafics en profondeur et qu'ils vont laisser la situation pourrir encore plus (tout comme le RN ne fera pas plus, d'ailleurs). Car changer ça réellement et durablement, ça voudrait dire toucher à la répartition des richesses dans la société.
https://www.lyonmag.com/article/139160/pres-de-lyon-nouvelles-violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-des-bus-tcl-incendies
Une petite réaction ironique: Il ne peut pas y avoir d'incendies criminels, de vol, de violences à Rillieux la nuit et le week-end. C'est strictement impossible puisque c'est écrit sur une belle plaque métallique à l'entrée du commissariat de police: "Le commissariat est ouvert du lundi au vendredi de 9hà 12h00 et de 14h00 à 17h00" (j'y suis passé il y a quelques mois… en dehors des heures. :shifty:) C'est vrai que la ville ne compte que 30000 habitants, dans une agglomération de plus 1,5 millions d'habitants et qu'elle n'est longée que par le contournement autoroutier de Lyon qui permet d'aller de Nord au Sud de l'Europe (au hasard du sud de l'Espagne à Rotterdam). Dans ces conditions, je ne comprends absolument pas qu'il puisse y avoir un quelconque trafic à cet endroit… hum.
En attendant, les pseudo-journalistes et commentateur divers sans compter les "hommes politiques" s'en donnent à cœur-joie. La réalité à Rillieux, c'est un ou deux quartier gangrenés par les trafics (tiens, il n'y aurait pas besoin d'une police de proximité pour attaquer tout ça sur le long terme? Les débarquements de CRS pendant 48h, ça fait très longtemps, qu'à part faire bander - mou, vu son âge - un ministre de l'intérieur et quelques pseudo-journalistes ou autres commentateurs bien au chaud dans le centre de Paris, tout le monde sait que ça sert à rien) et à côté de ça, il y a des maisons qui valent dans les 500000€ pièce, voir plus à même pas 300 mètres à vol d'oiseau de ces quartiers. On trouve aussi des zones commerciales et d'activités. Bref, une banlieue française tout ce qu'il y a de classique dans sa juxtaposition de richesse, de misère, d'activités légales et illégales.
En tout cas, c'est le concours lépine des idées les plus à droite, entre le maire:
https://www.lyonmag.com/article/139173/violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-le-maire-menace-de-couper-les-aides-et-casser-les-baux-des-delinquants
et le président de la Métropole:
https://www.lyonmag.com/article/139176/violences-urbaines-a-rillieux-la-pape-pas-de-bus-dans-le-secteur-jusqu-a-mi-novembre
C'est sûr que priver les habitants du secteur (dans les 150000 au moins) de transports en commun, c'est une bonne idée: il n'y a plus de supermarché digne de ce nom dans ce cœur de ville et les habitants qu'ils soient motorisés ou non doivent en sortir pour faire leurs achats. Hé puis, c'est pas comme si habitait dans la zone privée de transports en commun des salariés comme on disait en 2020 "de première ligne" qui vont nettoyer les bureau du centre de Lyon en horaires décalées, bosser dans les centres commerciaux et les zones d'activité diverses sur les métiers les plus pénibles, s'occuper de torcher les petits vieux à domicile…
Toutes ces gesticulations de politicards ne changeront rien. Le ministre de l'intérieur parle de mexicanisation pour tenter de masquer le fait qu'il ne fera rien, que le gouvernement ne fera rien pour combattre les trafics en profondeur et qu'ils vont laisser la situation pourrir encore plus (tout comme le RN ne fera pas plus, d'ailleurs). Car changer ça réellement et durablement, ça voudrait dire toucher à la répartition des richesses dans la société.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Octobre à 23:30 par Yann Solo »Non, j'ai pas testé Fisherman's Tale 2, mais les 2 sont sur steam en tout cas.
Also, Forgotten City, je confirme, il est très bon ! Il se finit full en moins de 10h, mais pour un truc qui a commencé en tant que mod pour skyrim (on reconnait la patte dans les dialogues et autres), c'est pas mal...
Also, Forgotten City, je confirme, il est très bon ! Il se finit full en moins de 10h, mais pour un truc qui a commencé en tant que mod pour skyrim (on reconnait la patte dans les dialogues et autres), c'est pas mal...
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Octobre à 11:53 par tinou »Deguchi 8 – Exit 8
Jeu assez court, très original où l’on doit parcourir en first person un couloir de sortie du métro de Tokyo (qui ressemble à la station de Kiyosumi-Shirakawa sur la Hanzomon-sen pour les connaisseurs) tout blanc, impersonnel. Des panneaux indicateurs, des posters, trois couloirs perpendiculaires à parcourir invariablement à la recherche de cette fameuse « sortie numéro 8 », en se dépêchant (bouton R2) pour aller, on l’imagine aisément, vite dépiler ses emails nocturnes afin d'être frais et dispo sur les coups de 9h pour une nouvelle journée passée au service du capitalisme nippon à cravacher pour augmenter le PIB de la patrie.
On croise également un autre de ces salarymen, pantalon noir & chemise blanche, curieusement occidental… et… je n’en dis pas plus. C’est une sorte de jeu des 7 erreurs en version quelque peu claustrophobique. On met 1h ou 2 pour le faire. Un titre vraiment original mais qui pourrait être une séquence d’un jeu plus ambitieux. Pour Yann Solo, une version VR semble exister!
Planet of Lana
Un cinematic platformer qui n’égale pas Inside (même s’ils sont très différents), mais qui vaut le détour par son polish très Ghibli chatoyant qui vous fera prendre screenshots sur screenshots parfois. Le gameplay est assez classique, avec des mécaniques toutes simples puisqu’on progresse à deux avec un animal de compagnie qui peut réaliser un certain nombre d’actions. L’histoire est cependant très peu originale : on a affaire à une sorte de War of the Worlds meets Miyazaki (et encore, plutôt Gorô qu’Hayao), où des machines matrixiennes viennent capturer des humains en sarouel mangeurs de houmos intersectionnel perdus sur leurs ilôts pour les mettre au service d’un capitalisme productiviste roboratif option logement social unicellulaire orbital en alvéoles de béton qui auraient très bien pu s’inscrire dans le décorum des places Youri Gagarine des municipalités de la ceinture rouge parisienne de 1975. Certaines séquences sont sensationnelles manette en main, misant sur un effet d’échelle entre le personnage petit, et le décor immense où évoluent parfois d’improbables pieuvres mécaniques gigantesques. Je pense 5-6 heures pour en venir à bout (et on peut tout faire en un seul playthrough en termes de trophées). C’est bien mieux que Hoa, dont j’avais parlé il y a quelques mois (années) par exemple. Mais en termes de cinematic platformer pur, je reste sur Inside en référence du genre.
The Forgotten City
Dans ce sympathique jeu d’enquête se déroulant en Rome antique, construit comme un mod de Skyrim, on incarne un esclave/guerrier/voleur (on choisit sa classe au début, ce qui impacte les aptitudes initiales) devant mener une enquête dans une ville régie par un magistrat et sous la malédiction d’un dieu transformant tous les habitants en statue dorée et détruisant la ville dès que l’un d’eux brise la ‘Golden rule’. Bien sûr, il est impossible de résoudre toute l’enquête en une seule fois et donc, dès que cette Golden rule est brisée, tout s’effondre, on se fait pourchasser et il faut courir vers le vortex temporel par lequel nous sommes arrivés pour réinitialiser la partie. Enfin, pas complètement puisqu’on conserve certains savoirs, et objets, permettant d’aller plus vite le coup suivant. Il faut donc parler avec plusieurs personnages peuplant la ville, tous bien écrits, et aux dialogues bien joués. Bien sûr, il n’évite pas certains poncifs (le soldat gay ne s’acceptant pas, etc.), mais les réponses à choix multiples permettent d’apporter de la richesse d’interaction, et donc, maintenir cette volonté à chaque boucle de vouloir aller plus loin en faisant autrement à chaque fois. C’est très bavard mais quali, surtout à la fin face « au boss » final, et pas mal philosophique. Comptez une 15 aine d’heures pour tout faire/tout voir.
Trek to Yomi
Forcément, avec un branding aussi spécifique, ce titre ne pouvait que me taper dans l’oeil. C’est un beat them up / slasher entrecoupé de très légère exploration qui a pour caractéristique unique son esthétique de films de sabre japonais des années 50, avec donc la pellicule en 16/9 craquelée, du noir et blanc magnifique (mais qui cache on s’en rend compte in fine sur certains gros plans des visuels 3D très datés) et des mouvements félins d’acteurs exécutant quelques jolis mouvements simples au katana. La caméra n’est pas (ou alors très peu dans les tableaux où l’on doit explorer un peu) ajustable et donc on progresse dans une succession de plans de cinéma que vraiment Kurosawa n’aurait pas reniés. On incarne Hiroki, jeune deshi du sensei Sanjuro dans une ville du Japon médiéval assiégée par des bandits… exactement comme dans un film de Kurosawa. Après quelques péripéties, on se retrouve à plonger aux enfers (Yomi) à la moitié du jeu, pour tenter d’en revenir et exercer une vengeance. Le gameplay est cependant très moyen, en ce qu’on apprend plusieurs coups, mais on ne se sert véritablement que de quelques-uns. Il y a plusieurs niveaux de difficulté, obligeant à plusieurs playthroughs. J’ai commencé en mode Rônin (difficile), et ce le fut assez sur certaines séquences odieuses avec plusieurs vagues d’ennemis entre deux checkpoints… Une fois ceci accompli, on débloque le mode Kensei, qui est un mode one hit, pour soi mais aussi les ennemis (sauf les boss), ce qui fait qu’il est en fait plus facile que l’incrément inférieur de difficulté. On sent que le jeu veut en faire un peu trop (trop de coups, trop de type de projectiles), et aurait gagné à rester sur la simplicité. Bref, ce n’est pas un titre parfait loin de là. Au total il m’a fallut 19h pour compléter à 100% et faire tous les trophées. Vraiment le premier walkthrough en Ronin est assez punitif quand même, je me suis surpris à vraiment prendre le pli du parry, étudier les pattern de tous les types d’ennemis… Mais quel voyage esthétique tout de même, avec des doublages japonais très bons, bien qu’un peu trop moderne dans le parler parfois qui génère un certain décalage ou effet "uncanny valley", mais c’est uniquement au tout début. Les fins sont un peu expéditives, mais bon on ne va pas s’en plaindre vraiment, l’essentiel des objectifs était atteint bien avant avec ces superbes plans composés.
Jeu assez court, très original où l’on doit parcourir en first person un couloir de sortie du métro de Tokyo (qui ressemble à la station de Kiyosumi-Shirakawa sur la Hanzomon-sen pour les connaisseurs) tout blanc, impersonnel. Des panneaux indicateurs, des posters, trois couloirs perpendiculaires à parcourir invariablement à la recherche de cette fameuse « sortie numéro 8 », en se dépêchant (bouton R2) pour aller, on l’imagine aisément, vite dépiler ses emails nocturnes afin d'être frais et dispo sur les coups de 9h pour une nouvelle journée passée au service du capitalisme nippon à cravacher pour augmenter le PIB de la patrie.
On croise également un autre de ces salarymen, pantalon noir & chemise blanche, curieusement occidental… et… je n’en dis pas plus. C’est une sorte de jeu des 7 erreurs en version quelque peu claustrophobique. On met 1h ou 2 pour le faire. Un titre vraiment original mais qui pourrait être une séquence d’un jeu plus ambitieux. Pour Yann Solo, une version VR semble exister!
Planet of Lana
Un cinematic platformer qui n’égale pas Inside (même s’ils sont très différents), mais qui vaut le détour par son polish très Ghibli chatoyant qui vous fera prendre screenshots sur screenshots parfois. Le gameplay est assez classique, avec des mécaniques toutes simples puisqu’on progresse à deux avec un animal de compagnie qui peut réaliser un certain nombre d’actions. L’histoire est cependant très peu originale : on a affaire à une sorte de War of the Worlds meets Miyazaki (et encore, plutôt Gorô qu’Hayao), où des machines matrixiennes viennent capturer des humains en sarouel mangeurs de houmos intersectionnel perdus sur leurs ilôts pour les mettre au service d’un capitalisme productiviste roboratif option logement social unicellulaire orbital en alvéoles de béton qui auraient très bien pu s’inscrire dans le décorum des places Youri Gagarine des municipalités de la ceinture rouge parisienne de 1975. Certaines séquences sont sensationnelles manette en main, misant sur un effet d’échelle entre le personnage petit, et le décor immense où évoluent parfois d’improbables pieuvres mécaniques gigantesques. Je pense 5-6 heures pour en venir à bout (et on peut tout faire en un seul playthrough en termes de trophées). C’est bien mieux que Hoa, dont j’avais parlé il y a quelques mois (années) par exemple. Mais en termes de cinematic platformer pur, je reste sur Inside en référence du genre.
The Forgotten City
Dans ce sympathique jeu d’enquête se déroulant en Rome antique, construit comme un mod de Skyrim, on incarne un esclave/guerrier/voleur (on choisit sa classe au début, ce qui impacte les aptitudes initiales) devant mener une enquête dans une ville régie par un magistrat et sous la malédiction d’un dieu transformant tous les habitants en statue dorée et détruisant la ville dès que l’un d’eux brise la ‘Golden rule’. Bien sûr, il est impossible de résoudre toute l’enquête en une seule fois et donc, dès que cette Golden rule est brisée, tout s’effondre, on se fait pourchasser et il faut courir vers le vortex temporel par lequel nous sommes arrivés pour réinitialiser la partie. Enfin, pas complètement puisqu’on conserve certains savoirs, et objets, permettant d’aller plus vite le coup suivant. Il faut donc parler avec plusieurs personnages peuplant la ville, tous bien écrits, et aux dialogues bien joués. Bien sûr, il n’évite pas certains poncifs (le soldat gay ne s’acceptant pas, etc.), mais les réponses à choix multiples permettent d’apporter de la richesse d’interaction, et donc, maintenir cette volonté à chaque boucle de vouloir aller plus loin en faisant autrement à chaque fois. C’est très bavard mais quali, surtout à la fin face « au boss » final, et pas mal philosophique. Comptez une 15 aine d’heures pour tout faire/tout voir.
Trek to Yomi
Forcément, avec un branding aussi spécifique, ce titre ne pouvait que me taper dans l’oeil. C’est un beat them up / slasher entrecoupé de très légère exploration qui a pour caractéristique unique son esthétique de films de sabre japonais des années 50, avec donc la pellicule en 16/9 craquelée, du noir et blanc magnifique (mais qui cache on s’en rend compte in fine sur certains gros plans des visuels 3D très datés) et des mouvements félins d’acteurs exécutant quelques jolis mouvements simples au katana. La caméra n’est pas (ou alors très peu dans les tableaux où l’on doit explorer un peu) ajustable et donc on progresse dans une succession de plans de cinéma que vraiment Kurosawa n’aurait pas reniés. On incarne Hiroki, jeune deshi du sensei Sanjuro dans une ville du Japon médiéval assiégée par des bandits… exactement comme dans un film de Kurosawa. Après quelques péripéties, on se retrouve à plonger aux enfers (Yomi) à la moitié du jeu, pour tenter d’en revenir et exercer une vengeance. Le gameplay est cependant très moyen, en ce qu’on apprend plusieurs coups, mais on ne se sert véritablement que de quelques-uns. Il y a plusieurs niveaux de difficulté, obligeant à plusieurs playthroughs. J’ai commencé en mode Rônin (difficile), et ce le fut assez sur certaines séquences odieuses avec plusieurs vagues d’ennemis entre deux checkpoints… Une fois ceci accompli, on débloque le mode Kensei, qui est un mode one hit, pour soi mais aussi les ennemis (sauf les boss), ce qui fait qu’il est en fait plus facile que l’incrément inférieur de difficulté. On sent que le jeu veut en faire un peu trop (trop de coups, trop de type de projectiles), et aurait gagné à rester sur la simplicité. Bref, ce n’est pas un titre parfait loin de là. Au total il m’a fallut 19h pour compléter à 100% et faire tous les trophées. Vraiment le premier walkthrough en Ronin est assez punitif quand même, je me suis surpris à vraiment prendre le pli du parry, étudier les pattern de tous les types d’ennemis… Mais quel voyage esthétique tout de même, avec des doublages japonais très bons, bien qu’un peu trop moderne dans le parler parfois qui génère un certain décalage ou effet "uncanny valley", mais c’est uniquement au tout début. Les fins sont un peu expéditives, mais bon on ne va pas s’en plaindre vraiment, l’essentiel des objectifs était atteint bien avant avec ces superbes plans composés.
10
Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Octobre à 11:04 par tinou »
Un jeu d'enigmes où on joue un petit pêcheur dans son phare, qui a une maquette du phare en question dans sa chambre... sauf que la maquette et le phare sont une seule et même entité façon TARDIS. En gros, tu te vois toi-même dans la maquette, et si tu prends une allumette et la donne au mec dans la maquette, tu vas voir un pêcheur géant en dehors de ta piaule te donner une allumette, qui pour toi pourra servir de poutre pour réparer un truc. Un concept sympa, raconté façon histoire pour enfants.
PS : Pour des intéressés éventuels, j'ai aussi Doom (1993, pas 2016) et Duck Hunt en VR. C'est + pour la curiosité parce qu'on se lasse vite, mais c'est rigolo !