allez montrer cette étude à Sarkozy, je suis sûr que sa déchiquetteuse est déjà allumée et prête à tourner :)
Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !
« Réponse #915, le 20 Août 2009 à 15:58 »
Après Hadopi 1, 2 maintenant Hadopi 3 ? Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, va créer « une mission pour améliorer l'offre légale en musique ou films sur internet ». Cet énième volet sera présidé par le PDG de Naïve, Patrick Zelnik, « maison d'artistes éclectique et non conformiste » comme Carla Bruni.
Pour le lancement de son réseau social, lescreateursdepossibles.com, l'UMP a prévu un petit film explicatif. Mais l'un des textes montrés comme exemple de participation d'internaute est... une pétition anti-Hadopi.
faire élire Valérie Pécresse en Ile de France
Les forfaits "à la carte" vont de 6,90 euros à 99,90 euros, pour un nombre de téléchargement par forfait qui varie en fonction des titres téléchargés. Le forfait le moins cher permet de télécharger entre 5 et 10 titres, tandis que celui à 99,90 euros permet de télécharger entre 77 et 144 titres. Ce qui reste très (trop) proche du prix standard à 99 centimes le titre.
Pour 9,90 euros par mois, l'utilisateur peut aussi s'abonner à une offre de téléchargement illimité, cette fois sous DRM. Les fichiers téléchargés sont alors au format WMA DRM Subscription, lisibles uniquement sous Windows Media 10 ou supérieur. Ils ne peuvent pas être gravés sur CD ni transférés sur des baladeurs non compatibles avec le format de Microsoft. Et enfin, ils deviennent illisibles une fois l'abonnement interrompu. Ce qui en fait une offre de location, tandis que les forfaits "à la carte" sont bien des offres de vente.
les drm ne sont pas "crackables" maintenant? :peur:
C'est le PDG de Sony Music France qui le dit. Pour lui, les militants anti Hadopi sont des "voleurs à la petite semaine".
Mercredi 9 septembre, lors de la conférence de presse du Snep sur les chiffres du marché du disque, Christophe Lameignère, PDG de Sony Music France, n'a pas mâché ses mots contre les "donneurs de leçon" anti-Hadopi. "Ce sont des voleurs à la petite semaine planqués derrière leur ordinateur qui n'ont jamais rien fait pour la création", affirme-t-il, allant jusqu'à parler de "totalitarisme".