Regardez sur la page d'accueil du 7 9h3 0 d'inter :
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/septneuftrente/8H40-8H50 : François Hollande
Premier Secrétaire du Parti socialiste (depuis 10 ans)
Le "depuis 10 ans" est assez... subjectif je trouve. On dirait que l'auteur a voulu dire "ca fait un peu trop longtemps qu'il est la, il est temps de degager"...
Je me fais peut etre des films?
:unsure:Enorme le debut du 7-9h30 : interview des militants : "Oui il va remettre la France au travail, c'est genial, il va tout faire pour aider les gens a s'en sortir"... etc.
:mdr:Je rejoins RL : pourquoi cette liesse lors d'une victoire politique (peut importe le camp) ? Ca n'a rien a voir avec le sport pourtant. Et la vie des gens ne va pas changer du jour au lendemain... Quand j'etais ado a Nice, je me rappelle chaque fois que Peyrat (ex FN reconvertit RPR pour qui il fallait absolument voter pour barrer le FN, et ce bien avant le spectre de 2002) gagnait une election, les gens hurlait dans la rue : "Ouaaaaais, Peyrat a gagneeee"... Euh... ouais lol quoi, je prefere mes cartes Jurassic Park.
Posted on: Monday 07 May, 12:51:59
Toujours sur
Aujourd'hui le Japon, un article qui corrobore ce que je disait plus haut :
Après Chirac le "pro-japonais", Tokyo dans l'expectative avec Sarkozy
le 7/5/2007 à 12h26 par AFP
Le Japon, pays de prédilection du président Jacques Chirac, est dans l'expectative avec l'accession au pouvoir de Nicolas Sarkozy mais se dit prêt à oeuvrer à la contruction d'une "ère nouvelle" dans les relations entre Tokyo et Paris. Le premier ministre a envoyé un message officiel à Paris et toute la presse s'intéresse au nouveau président
"Je veux adresser (à M. Sarkozy) mes félicitations. Je souhaite que nous unissions ensemble nos efforts, avec l'esprit de construire une ère nouvelle dans les relations nippon-françaises", a réagi le Premier ministre conservateur japonais Shinzo Abe.
De droite, nés tous deux après la Seconde Guerre mondiale, symboles d'une nouvelle génération, MM. Abe et Sarkozy ont le même âge: 52 ans.
Ils se sont rencontrés au début de l'année à Paris lors de la première tournée européenne de M. Abe.
"J'ai senti alors sa forte détermination pour améliorer le rang de la France", a ajouté le plus jeune chef de gouvernement japonais de l'après-guerre.
M. Sarkozy avait alors affirmé que le Japon devait "jouer tout son rôle" au Conseil de sécurité" de l'ONU, apportant ainsi son soutien à la grande ambition diplomatique de Tokyo d'obtenir un siège de membre permanent à New York.
Relativement peu connu au Japon, le nouveau président français avait été épinglé en 2004 par la presse japonaise à la suite de propos jugés désobligeants sur la culture nippone et le sport national de l'Archipel, le sumo.
Au cours d'une escale à Hong Kong après un voyage en Chine, M. Sarkozy s'était exclamé devant des journalistes à propos des lutteurs sumotoris: "Comment peut-on être fasciné par ces combats de types obèses aux chignons gominés ? Ce n'est vraiment pas un sport d'intellectuel, le sumo !"
Il avait également critiqué Tokyo, "capitale étouffante", et Kyoto, haut-lieu culturel du Japon dont il aurait trouvé les jardins impériaux "sinistres".
Ces vives piques avaient été interprétées comme un effet de la rivalité qui opposait, en vue de la présidentielle 2007, M. Sarkozy au chef de l'Etat --féru de toute chose nippone-- plutôt que comme une attaque contre le Japon. Mais elles avaient fait froncer des sourcils à Tokyo.
"Le Japon pourrait bien perdre ses liens chaleureux avec la France car il a longtemps bénéficié de l'amitié française grâce à Chirac qui était personnellement passionné par le Japon", souligne Hidekazu Kawai, professeur honoraire de relations internationales à l'Université Gakushuin de Tokyo.
"Le Japon ne peut guère attendre de Sarkozy qu'il soit aussi pro-japonais que Chirac. On va passer à des relations davantage professionnelles", prédit son collègue Chihaya Kokubo, chercheur à l'Institution japonais des affaires internationales.
Le bras droit et porte-parole de Shinzo Abe, Yasuhisa Shiozaki, a toutefois écarté ces craintes de liens bilatéraux moins forts qu'auparavant avec Nicolas Sarkozy.
M. Sarkozy "n'a peut-être pas une réputation d'être un homme politique pro-japonais, mais j'espère qu'il fera autant d'efforts (que son prédécesseur) pour bâtir une relation forte avec le Japon", a plaidé M. Shiozaki.
"Je souhaite que le Japon et la France consolident encore leurs liens bilatéraux sous la nouvelle présidence, et que nous coordonnions nos initiatives pour répondre à un éventail de problèmes touchant la communauté internationale", a-t-il ajouté.
Tokyo s'inquiète vivement du soutien de la France à la levée de l'embargo européen sur les ventes d'armes à la Chine, au nom de la stabilité et de la sécurité régionales et par crainte d'un déséquilibre des forces en faveur de Pékin.
L'élection de Nicolas Sarkozy faisait lundi la une de toute la presse nippone, mais sans les commentaires, réservés aux journaux de mardi matin.