C'est marrant, ça me rappelle un autre bouquin où il est question de société de suicidés... un truc drôle aussi, étranger également... ah, je trouve plus le nom :sweatdrop:
D's©
D's©
le sale happy end de merde, dés le debut on voit le conflit entre les americains et les israeliens qui ne vivent que pour eux. La description de Sharon est tout a fait juste. On voit que le sort de New york ne les derenge point.
Pendant ce temps on comprend le combat palestinien et libanais. Je vais pas dire que je cautionne mais dans cette histoire personne n'est blanc.
La pression de l'état hebreu à l'air vraiment réel laissant les americains se demerdaient. Leurs seul appuit c'est en quand d'explosion ils seront pret à mettre le moyen orient à feux et à sang.
Sur le plateau, Claire [Chazal] et Patrick [Poivre d’Arvor] ont voulu également se joindre à la fête et n’ont pas attendu 20 heures pour déboucher le champagne, sous le nez de dizaines de techniciens éberlués par tant d’indécence
Tentez le coup ! 01 41 41 12 34, Patrick reçoit facilement…
11 h, 11 h 15, 30, 45, toute la rédaction - cinq cents personnes, journalistes, techniciens, administratifs - attend d'être fixée sur la teneur du 20 Heures. Une trentaine de rédacteurs, assistantes, chefs d'édition, graphistes, stylo en main autour d'une table, s'apprêtent à coucher sur le papier ce qu'on appelle le conducteur. 11 h 50, PPDA n'est toujours pas là... Un jour, il faudrait tous se lever et partir ! Il arrive enfin, nonchalant comme d'habitude, son retard n'est jamais excusé, encore moins justifié, un bonjour est déjà signe de bonne humeur, un sourire, c'est le bonheur : la journée s'annonce radieuse.
Souffrance, colère, lassitude : "infantilisation, caporalisme, cadences infernales, pertes de sens", tout y passe… Peu à peu, les journalistes se lèvent […], donnent chair aux accusations. Les témoignages fusent : «On passe d’un reportage en banlieue à un autre sur la sécheresse dans les Deux-Sèvres», «Je ne reconnais plus la rédaction. Lorsque j’entre dans le parking, j’ai mal au ventre», «J’ai un peu honte en ce moment de dire que je travaille à TF1». Seule conséquence du séminaire: l’adjoint de Namias est remplacé.
Ce qui ne passe pas sur TF1 n’existe pas.
Wellington est mort cette nuit. Il a été tué à coup de fourche. Christopher Boone, « quinze ans, trois mois et deux jours » jure qu’il trouvera l’assassin. Même si cela met en danger l’univers qu’il s’est bâti.
Wellington, le grand caniche noir de la voisine, Mme Shears, a été tué pendant la nuit. Le jeune Christopher, souffrant d’une sorte d’autisme, décide de résoudre ce problème, le hic, c’est qu’il n’est jamais allé plus loin que le bout de sa rue…
Il aime les nombres, les mathématiques, les plans et les cartes, tout ce qui est rangé, quantifiable et organisé, et il dit toujours la vérité. Il déteste par-dessus tout les expressions imagées, qu’il ne comprend pas, et tout ce qui n’est pas réel ou qu’il ne peut pas toucher.
Christopher enquête et écrit les résultats de ses investigations dans un cahier pour faire un livre… Lorsque son père tombe accidentellement sur ce livre, il somme Christopher d’arrêter ses rechercher, mais ce dernier persiste, au risque de mettre en péril et de bouleverser tout son univers, tout ce qu’il a toujours cru vrai.
Scott Warden fait sa crise d'adolescence à 30 ans en Thaïlande, avec sa femme et sa fille de 2 ans, quand il va être sans le savoir être le témoin d'un événement radical de l'histoire de l'humanité : l'apparition du premier Chronolithe. Ce monument de près de 100m n'est que le premier d'une longue série qui vont apparaître partout en Asie d'abord, puis dans le monde entier. Ces obélisques indestructibles ne portent qu'une inscription : ils annoncent la victoire d'un dénomé Kuin dans 20 ans et 3 mois dans le futur.
Tout a commencé quand j'ai repéré Dorothée.
Au ciné, je me suis assis dans mon fauteuil habituel, pas très loin de l'écran, au milieu de la rangée, celui qui me donne un super point de vue sur le reste de la salle, et l'impression d'être au centre.
Le mercredi, le jour des enfants.
Là, ils passaient Blanche-Neige.
J'adore regarder le visage des gosses quand elle croque la grosse pomme toute rouge, leur bouche en cercle, leurs yeux qui s'allument, le feu sur les joues.
D'habitude, je me case au fond de mon fauteuil, et je me mets à l'unission de la salle, et les émotions des gosses me viennent par ondes successives, me pénètrent, me remplissent, une vague de chaleur qui s'insinue dans mon corps, et me submerge, et où je me noie doucement, progressivement. Je suis un mort à qui on donne une nouvelle vie. Une pile qu'on remplit. Voilà comment ça se passe d'habitude. Je suis même pas obligé de regarder; parfois, leur seule présence, l'écho des voix, une odeur, ça me suffit.
Et puis, il y a eu Dorothée...
Attention, si vous lisez ce livre, vous risquez d'être ensorcelé par des sorcières aux mots parfois magiques, souvent énigmatiques. Cachées derrière 24 contes un peu tirés par leurs cheveux pouilleux, ces vieilles Dynosaurcières fichent une pagaille pas possible dans la langue française, qu'elles ont bien pendue (la langue). Sournoisement, elles jouent avec les mots - les petits comme les gros -, les pronoms, les adverbes et se provoquent notamment en duel de calembours, de charades, d'anagrammes, de combles et de liposuccions, euh non, lipogrammes. Si vous vous prenez au jeu (de mots), vous ne verrez plus la gram-MÈRE ni LOTOgraphe du même oeil. Faites vos mots-valises pour cette grande Croisade des Mots Malicieux et Désopilants...
Alphonse Allais n'est pas seulement le conteur et l'humoriste que vous connaissez, c'est aussi un poète. Un poète qui écrit en vers, ce qui n'est plus si fréquent, un poète dont les rimes sont des calembours, et dont les vers riment parfois de la première à la dernière syllabe, inoxydablement. C'est la première fois qu'un livre rassemble ses poésies complètes. Ouvrez ce livre au hasard. Et ne vous retenez pas: riez ou souriez, c'est excellent pour la santé.
J'aurais préféré qu'il tombe plus tard, le canular est révélé trop tôt pour secouer le petit peuple...
Ca donne quoi La voie humide?
Dans sa carrière de profileuse au FBI, Marie Parks a vu beaucoup de tueurs en série, mais rarement d'aussi cruels et méthodiques que Caleb le voyageur. Comme si, venu du fond des âges, il avait été envoyé en mission par Satan lui même... Ou du moins par ses adorateurs, rassemblés dans une organisation qui semble prête à tout pour retrouver un livre perdu depuis des siècles. Un livre maudit dont le contenu pourrait renverser l'Eglise catholique et inaugurer un âge des ténèbres.
Aidée d'un exorciste du Vatican et armée de ses propres dons de médium, Marie Parks est alors la seule à pouvoir contrecarrer les noirs desseins des serviteurs du Très-Bas. D'elle dépend désormais l'issue de cette bataille décisive entre le bien et le mal...
Ceux qui ont tenté de percer l’énigme du treizième apôtre ne sont plus là pour en parler... Assassiné dans le train Rome-Paris, le père Andrei était sur le point de découvrir un secret que l’Église s’acharne, depuis sa fondation, à dissimuler. Avant sa mort, il avait eu le temps de se confier à son ami, le père Nil. À son tour, celui-ci se lance sur les traces d’une mystérieuse épître qui prouverait que Jésus n’est pas le fils de Dieu… Rome va tout faire pour l’en empêcher, Jérusalem et La Mecque aussi : car c’est l’ordre du monde qui est en jeu. Meurtres, mensonges, manipulations… Des coulisses du Vatican aux grottes de Qumran, des mystères esséniens à ceux des Templiers, un fascinant thriller dans la lignée du Nom de la rose.
http://www.best-horror-movies.com/image-files/se7en-horror-movie-poster.jpg
Un cadavre dénudé est découvert dans une friche industrielle, la main droite déchiquetée.Un homme se tire une balle en pleine tête, dans un centre commercial bondé. Un jeune père, dressé comme un chien, est tourmenté sans relâche au fond d’un cachot sans porte ni fenêtre. Aucune piste, aucun lien, aucun mobile… Qui sont ces hommes? Pourquoi ont-ils été choisis? Pour quelle mise à mort aberrante?
Citation Quand les victimes d'un monstre fascinant et obscène se lancent sur les traces du prédateur qui a dévasté leur vie, elles ignorent qu'elle n'auront pour seules issues que la fuite, la mort ou... les voies de l'ombre.
"J'ai de l'amour pour mes chiens d'attaque. Certains il a fallu les tabasser, d'autres pas. il n'y a pas de règles. C'est ça l'extraordinaire chimie de la nature humaine. C'est passionnant. Approche-toi, ami voyeur. Et n'aie pas honte de ton vice. Viens pénétrer le monde d'un artiste du crime. Il est temps que je me présente et que j'offre ma réflexion à la multitude. Kurtz"
Lors de la soirée de vernissage au Metropolitan de New York, où sont présentés pour la première fois les fabuleux trésors du Vatican, quatre cavaliers revêtus du costume des Templiers volent une étrange machine. Tess, une archéologue, et Sean Reilly, un agent du FBI, ont quelques jours pour parcourir les deux mille ans de l'histoire du christianisme et retrouver le secret des Templiers.
Gretchen Lowell est une beauté fatale. Au sens littéral. L'inspecteur Archie Sheridan a traqué pendant dix ans cette redoutable tueuse qui a fait plus de 200 victimes. Il connaît bien ses méthodes, gravées en lui pour toujours - sa poitrine porte la cicatrice en forme de coeur que Gretchen a dessinée avant de lui administrer une injection mortelle. Personne ne sait pourquoi elle l'a ranimé. Ni pourquoi elle a appelé les secours, et les a attendus calmement, provoquant ainsi sa propre arrestation. Deux ans plus tard, Gretchen est en prison mais Archie n'est pas libre pour autant. Seules ses pilules lui permettent de tenir, rien ne sera plus jamais comme avant. Et la relation malsaine qu'il entretient avec son ancienne tortionnaire le trouble bien plus qu'il ne veut se l'avouer... Quand un nouveau serial killer survient, l'inspecteur est rappelé sur le devant de la scène. Mais cette fois pas de tête-à-tête entre Archie et le tueur, car une jeune journaliste passionnée est de la partie - tout comme Gretchen, qui, tapie dans l'ombre de sa cellule, est plus dangereuse que jamais...
Détenir une vérité que le monde entier refuse, une vérité dont la portée pourrait pourtant bouleverser l’avenir de l’humanité… Tel est le Syndrome Copernic.
Vigo Ravel est-il atteint d’une schizophrénie paranoïde aiguë, ou détient-il, justement, cette vérité ? Les voix qu’il entend dans sa tête sont-elles des hallucinations auditives dues à ses troubles psychiques, ou entend-il les pensées des gens ? Après les attentats qui ont détruit presque entièrement le quartier de La Défense, Vigo ne doute plus. Il est le possesseur d’un secret qui pourrait changer la face du monde. Mais il ne suffit pas de connaître un secret, aussi grand soit-il. Encore faut-il en comprendre l’origine. Et certaines forces, dans l’ombre, semblent vouloir empêcher à tout prix que Vigo Ravel y parvienne.
Il y a des mystères qui valent tous les sacrifices. Même celui de l’âme.
Avec l’Allemand Georg Gerster et le Français Yann Arthus-Bertrand, Alex MacLean est l’autre figure mondiale de la photographie aérienne à valeur scientifique et démonstrative.
Urbaniste et architecte de formation, MacLean travaille presque exclusivement sur la description du paysage nord-américain qu’il « laboure » seul, année après année, du haut de son avion, pour en montrer de façon critique les évolutions et les atteintes quelquefois fatales.
Dans la lignée des géographes humanistes du début du XXème siècle, il décrypte et donne à voir les conséquences d’un mode de vie non raisonné – le fameux American Way of Life – sur notre environnement.
Son travail, d’abord axé sur les États-Unis, a bien sûr une réelle valeur métaphorique quant à l’avenir environnemental de nos pays européens, tant on connaît la puissance exportatrice, à la fois culturelle et sociale, des États-Unis.
La critique que MacLean donne de « son » territoire est dès lors loin de nous être étrangère, au moment où les pratiques que montre ce livre – dont quelques-unes peuvent nous faire justement sourire ou pleurer – sont en pleine expansion chez nous.
Que l’on regarde l’urbanisation à l’échelle des subprimes américains autour du complexe Walt Disney à Marne-la-Vallée ; que l’on regarde plus au sud, sur la Côte d’Azur par exemple, l’implantation des gatted communities, ces cités fermées réservées à des classes sociales uniques ; que l’on regarde l’usage généralisé de l’agriculture extensive ou l’urbanisation sauvages des rivages côtiers, et plus généralement les atteintes globales portées aux paysages.