Potes'n'Roll

Les parents rêvaient d'un remake local des Choristes, peut-être de Fame. Ils ont été déçus. Dans le cadre d'une chorale, deux enseignantes de l'école primaire de Hambye dans la Manche ont voulu enseigner fin mai la chanson La Boulette de la rappeuse Diam's à  leurs élèves âgés de 7 à 10 ans. "Alors ouais, j'me la raconte, ouais, ouais, je déconne. Nan, nan, c'est pas l'école qui m'a dicté mes codes", ou bien "Y a comme un goût d'Afrique dans les caisses de la France. Y a comme un goût de démé-démago dans la bouche de Sarko", dit la chanson.

Ah le rap aux enfants de moins de 10ans....L'éducation nationale est un ramassis de socialos gauchistes droit de l'hommiste. De mon temps les textes c'était l'humanité.Pour l'avenir de vos enfants le privé et oui c'est la selection par l'argent je sais.Mais le niveau est catastrophique dans l'école publique...Déjà de mon temps en banlieue parisienne au lycée c'était la drogue et la prostitution, maintenant il y a des morts......( mais pas la police hein!!!!!)Il faut remettre le goût de l'effort et le mérite à l'honneur et remonter le niveau.Messieurs les politiques qui va s'attaquer à ce chantier et faire front à ses diafoirus? Quelle gabegie dans le budget de la nation pour obtenir un impétrant(80 % DOIVENT AVOIR LE BAC......) qui aurait été recalé à la dictée du brevet de 1978 voire au certificat d'études.Il faut aussi revaloriser les métiers manuels.. bouffy
Bouffy, Paris

Concernant l'histoire du straving, on en revient toujours à la question: le retour de l'uniforme à l'école?

"Alors ouais, j'me la raconte, ouais, ouais, je déconne. Nan, nan, c'est pas l'école qui m'a dicté mes codes", ou bien "Y a comme un goût d'Afrique dans les caisses de la France. Y a comme un goût de démé-démago dans la bouche de Sarko", dit la chanson.

Quant au monsieur "Demontemps", on dirait un senior reclus dans sa villa depuis 10 ans...

D's©

On n'a pas à enseigner à des gamins des chansons trop versées dans des domaines où il n'ont rien à y faire comme la politique et l'insulte gratuite...

D's©

On n'a pas à enseigner à des gamins des chansons trop versées dans des domaines où il n'ont rien à y faire comme la politique et l'insulte gratuite...

D's©

Bientôt aux gniards ils leur feront chanter "la bite à Dudule"  ( Vous me direz, ça serait certainement pas pire que Diam's )

On n'a pas à enseigner à des gamins des chansons trop versées dans des domaines où il n'ont rien à y faire comme la politique et l'insulte gratuite...

D's©

encore plus simple : On n'a pas à enseigner à des gamins des chansons dans lesquelles on ne parle pas un français d'un niveau correct. J'ai rien contre l'argot, le verlan ou une quelconque langue de rue que ce soit, mais ils auront largement le temps de l'apprendre durant leur crise d'adolescence, au contraire de la langue de Molière (la vraie)

encore plus simple : On n'a pas à enseigner à des gamins des chansons dans lesquelles on ne parle pas un français d'un niveau correct. J'ai rien contre l'argot, le verlan ou une quelconque langue de rue que ce soit, mais ils auront largement le temps de l'apprendre durant leur crise d'adolescence, au contraire de la langue de Molière (la vraie)

Un employé de l'administration des impôts américaine a involontairement fourni l'identité de 2200 administrés après l'infection de son ordinateur par un cheval de Troie, tout droit venu d'un site pornographique.

L'homme en question se livrait à une séance de cybertourisme sexuel sur son ordinateur de travail, au bureau, lorsqu'il a été victime d'un keylogger caché, qui a enregistré les données personnelles de 2200 administrés. Avant que l'administration ne prenne conscience de l'infection, le keylogger a pu envoyer toutes les informations volées au pirate qui le contrôlait.

Les données en fuites sont pour le moins sensibles : numéro de sécurité sociale, noms, et adresses. Seules les informations financières des 2200 victimes ont échappé au keylogger. Le Department of Revenue (DOR) de l'Oregon n'a découvert le virus que plus tard, et s'excuse désormais bien bas dans un communiqué officiel.