Alaiya>>>
Ca va t'étonner (ou pas), mais sur ce que tu as dit, je suis plutôt d'accord avec toi sur pas mal de points :coucou:
Enfin sur les constats, peut-être pas sur les solutions :mdr:
Mon précédent post n'était pas une critique du gouvernement actuel ni d'un parti, mais plutôt une réflexion très générale, sorte de philo de comptoir.
(de toute façon, le PS avec sa cruche du Poitou qui nous sort des trucs que personne ne croit une seule seconde et qui va réussir à planter une seconde fois la gauche aux présidentielles... sans commentaires :whip:)
En gros, on a toujours été vers le progrès.
La question, c'est : "Est-ce que travailler plus, plus longtemps est un progrès ?", "Est-ce que privatiser les énergies, la santé, l'éducation nationale... c'est un progrès ?"
Une nécessité, peut-être.
Un progrès, je ne pense pas.
Je me dis que le but ultime, utopique de l'homme, ça devrait être quand même de se libérer de toutes contraintes quelles qu'elle soient.
Depuis 10-20 ans, j'ai plutôt l'impression que c'est l'inverse qui se produit.
On croit se "libérer" avec les nouvelles technos et Internet, mais au final on en devient prisonnier avec ce monde qui ne s'arrête jamais, où l'instantanéité est reine et du coup l'absence de réflexion et de temps "mort" est impératrice.
Tout va de plus en plus vite, sans cesse toujours plus vite.
Je ne sais pas comment l'exprimer... mais l'idée y est.
L'homme est en train de se faire bouffer par le "progrès".
Ca va t'étonner (ou pas), mais sur ce que tu as dit, je suis plutôt d'accord avec toi sur pas mal de points :coucou:
Enfin sur les constats, peut-être pas sur les solutions :mdr:
Mon précédent post n'était pas une critique du gouvernement actuel ni d'un parti, mais plutôt une réflexion très générale, sorte de philo de comptoir.
(de toute façon, le PS avec sa cruche du Poitou qui nous sort des trucs que personne ne croit une seule seconde et qui va réussir à planter une seconde fois la gauche aux présidentielles... sans commentaires :whip:)
En gros, on a toujours été vers le progrès.
La question, c'est : "Est-ce que travailler plus, plus longtemps est un progrès ?", "Est-ce que privatiser les énergies, la santé, l'éducation nationale... c'est un progrès ?"
Une nécessité, peut-être.
Un progrès, je ne pense pas.
Je me dis que le but ultime, utopique de l'homme, ça devrait être quand même de se libérer de toutes contraintes quelles qu'elle soient.
Depuis 10-20 ans, j'ai plutôt l'impression que c'est l'inverse qui se produit.
On croit se "libérer" avec les nouvelles technos et Internet, mais au final on en devient prisonnier avec ce monde qui ne s'arrête jamais, où l'instantanéité est reine et du coup l'absence de réflexion et de temps "mort" est impératrice.
Tout va de plus en plus vite, sans cesse toujours plus vite.
Je ne sais pas comment l'exprimer... mais l'idée y est.
L'homme est en train de se faire bouffer par le "progrès".