Potes'n'Roll

Suisse 2-0 Turquie

Bon bah pour les suisses c'est quasiment fait (amn va pouvoir se mettre une bonne cuite).

Si Coupet se casse les deux bras (on sait jamais, contre la Suède ou certains joueurs Suédois du Bayern)

Oui mais Thomas Praice a trouvé la parade contre ce genre de shoot. Si Coupet lit bien ses manga ça devrait aller. En parlant il devait pas nous ressortir Tsubasa et ses copains pour la Cup 2006 le Takahashi

On parle pas de foot mais de l'Equipe de France, nuance.

Et pendant ce temps Rossi tâte du volant.

Je n'étais pas reveillé c'est pour ca !

Barthez a perdu sa place de n°1 en EDF hier soir, c'est une certitude !

Ca y est j'ai lu les premiers chapitres de go for 2006. Je crois que l'auteur a choisi de ne pas se lancer dans une longue serie et que celle ci sera tres courte.

L'arrivée des footballeurs suisses en Turquie ne s'est pas déroulée sans mal.

Koebi Kuhn et les siens ont dû faire face à un excès de zèle des douaniers et aux insultes des supporteurs.
Sur ce sujet:
L'équipe de Suisse chahutée lors de son arrivée à Istanbul - 14 novembre, Le 19:30 (01:46 min.) Interview de Michel Pont, entraîneur assistant de l'équipe de Suisse après la victoire de samedi - 13 novembre, Dimanche Sport (01:04 min.) La Suisse en route pour les Mondiaux 2006 - 13 novembre

Les Turcs ont annoncé la couleur d'entrée. La guerre psychologique avant le match retour du barrage a commencé dès l'arrivée de la délégation suisse à Istanbul: les joueurs ont dû attendre deux heures pour passer le contrôle de la douane et récupérer leurs bagages. L'équipe n'a bénéficié d'aucun passe-droit à son arrivée.

Excès de zèle 

Les joueurs ont dû faire la queue à la douane comme les autres usagers de l'aéroport. Le problème est venu de l'êxtrême lenteur des douaniers turcs. Ils ont étudié à la loupe chaque passeport suisse pour faire durer le plaisir. Le record de la journée a sans doute été établi par l'entraîneur-assistant Michel Pont, retenu dix bonnes minutes au guichet. Les Suisses ont gardé leur calme malgré les provocations de supporters turcs sur le tapis des bagages. Le plus énervé fut toutefois un joueur qui ne foulera la pelouse mercredi.

Magnin remonté 

Ludovic Magnin, qui sera suspendu, ne masquait pas son courroux au fil des minutes. Le Vaudois se souvenait que lors de son dernier déplacement à Istanbul, le car du Werder Brême avait accueilli les joueurs dès leur descente de l'avion... Sans passer par une douane qui n'avait rien à envier à celle de l'ex-URSS du temps de la guerre froide.

La FIFA alertée 

Les Suisses ont gardé leur calme malgré les provocations de supporters turcs dès leur sortie de l'avion et sur le tapis des bagages. «La clé de notre succès sera d'approcher de la manière la plus sereine possible le match de mercredi», répétait Köbi Kuhn dans la file d'attente. A ses côtés, le secrétaire général de l'ASF Peter Gilliéron alertait tout de suite les bureaux de la FIFA à Zurich pour dénoncer cette situation.

Entraînement annulé 

En début de soirée, Köbi Kuhn décidait de supprimer l'entraînement qui était prévu à 19 heures dans le centre sportif du Fenerbahce. Le retard pris à l'aéroport, l'arrivée tardive des bagages à l'hôtel et la crainte de remonter dans un bus pris pour cible par certains imbéciles ont dicté cette décision. A l'hôtel, où leur sécurité semble assurée, les joueurs ont pu toutefois effectuer un petit décrassage dans le fitness ou sur la plage. La délégation suisse a pris une première mesure pour assurer le bon déroulement de la prochaine journée. Les quatre policiers venus de Berne pour encadrer avant tout les supporters seront désormais beaucoup plus proches de l'équipe. Ils bénéficient de l'appui de la police turque. Par ailleurs, les deux commissaires de la FIFA désignés pour la rencontre de mercredi ont reçu le récit détaillé de l'arrivée de l'équipe de Suisse à Istanbul. «Nous restons tout de même confiants quant à la bonne tenue de la rencontre de mercredi, précise Pierre Benoit. A aucun moment aujourd'hui, l'éventualité de ne pas disputer ce match a surgi». Selon Pierre Benoit, le moral des joueurs n'est pas atteint. Ils ont tout de même eu une petite montée d'adrénaline lorsque le périmètre de sécurité autour d'eux à la sortie de l'aéroport sur le chemin du car s'est curieusement retréci. «C'est le seul instant de la journée où ils ont eu peur», précise Pierre Benoit.

Que les supporters soient des acharnés abrutis, ça peut passer... Disons que c'est "banal". Mais qu'il y ait collusion de l'Etat (du moins de ses représentants) c'est assez malsain.