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Messages - tinou
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 1er Février 2022 à 07:39 »
切支丹扉 a gagné la primaire populaire, quelle surprise! :sweatdrop:

On va certainement assister à une remontada, une fusion des candidatures, une synthèse sous le haut arbitrage du CERES '71 style... tout cela sent très bon!

Valoche et Manu ont qu'a bien se tenir! >:( 
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 30 Janvier 2022 à 02:26 »
Je suis personnellement curieux de voir combien quelqu’un comme Antoine Waechter va obtenir lors de cette « primaire populaire ». Sur l’énergie et les enjeux climatiques, il est un des rares à peu près cohérent à gauche, avec Fabien Roussel.
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Livres & BD / Re : Thorgal
« le 28 Janvier 2022 à 11:49 »
Tres interessante ton analyse, de mon cote je n’ai pas encore pu lire les tomes apres Le Royaume des Sables justement.

Et pour les tomes non ecrits par Van Hamme, tu les as lu? Ca vaut le coup?
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 26 Janvier 2022 à 09:08 »
Citation de FX le 24 Janvier 2022 à 20:26
Non mais en vrai, on fait quoi en avril/mai ?!!!
Pour le coup, c'est avril/avril cette année...

Du coup, ne te découvre pas d'un fil x 2, les Poutou ne sont pas des gestes barrières toussa...

--> dabeul Eric ?
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 20 Janvier 2022 à 23:07 »
En tout cas, Marinette en mode Stéphane Bern au Louvre, j’avoue j’ai eu la gaule :wub: :aubergine:
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 16 Janvier 2022 à 03:20 »
トビラ gets in the ring!

https://www.jiji.com/amp/article?k=2022011600157&g=int

200 personnes à Lyon, c’est autant que la totalité des spectres et des saints d’Athena pour une Holy War Quel effet de blast!
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Télévision / Re : Il y a quoi ce soir a la teloche??
« le 10 Janvier 2022 à 09:17 »
SNL ? Shin Naruto Lippuden?
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Mon fils a eu full set gommettes vertes au premier trimestre, je suis happy.

Je n’arrive jamais a me logguer sur pronote, le mdp n’est jamais enregistré… on dirait que ça a été sous traité à un stagiaire de Cap Gemini avec un cahier des charges en 3 pages…
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Le Comptoir / Re : [Cultures G] Retour sur 2021
« le 7 Janvier 2022 à 10:46 »
J'ai oublié de parler de musique, car j'ai quand même pu découvrir des nouveaux groupes, essentiellement de la scène prog / prog metal que je ne connaissais pas, et certains autres groupes connus ont sorti des albums en 2021 également :

- Karfagen : groupe ukrainien de prog symphonique très prolifique. Il faut aimer les longues séquences instrumentales (c'est souvent des albums sans aucune parole) mais c'est souvent très mélodieux. Je ne connaissais pas du tout et j'essaye de découvrir à petites doses pour ne pas faire un blocage. Je recommenderai les albums Messages from Afar de 2017, et Echoes from Within Dragon de 2019, pour avoir une bonne idée d'ensemble.
- Nebulae : là on est dans le prog metal un peu plus classique, qui rappelle Haken par exemple. Je recommande Venus.
- Talk Talk : je ne connaissais que les hit radios les plus connus, mais moins les autres titres de leur 5 albums en tout produits entre 1982 et 1991. J'ai pu découvrir tout ça tranquillement cet été et j'ai bien apprécié.
- Nektar : groupe anglo-allemand de rock psychédélique des années 70, très chouette. Là aussi, beaucoup d'albums, je recommande Journey to the Center of the eye (1971) ou A tab in the Ocean (1972) pour découvrir.
- Liquid Tension Experiment a sorti un 3ème album après un hiatus de 20 ans : LTE3. Dans la lignée des précédents opus, riche, texturé, fou.
- Transatlantic a sorti un 5ème album très costaud, en deux versions (extended et abridged), lourd a digérer mais de ce que je peux en dire après une poignée d'écoute, c'est que c'est dans la lignée des précédents albums. Cela ne dépasse pas pour moi le sommet que fut Whirlwind (2009), leur troisième album. il a quand même été élu meilleur album de l'année par The Prog Report
- Ovrfwrd (oui c'est impronoçable), groupe de heavy prog américain des années 2010. Assez instru, mais très mélodieux aussi, je recommande l'album Blurring the Lines
- TOOL et l'album Fear Inoculum de 2019 que je n'avais pas écouté. Il est très bon. Squekk en a peut-être parlé dans un autre thread...
- Plini, guitariste australien virtuose, qui a sorti deux petites pépites en 2016 et 2020 : Handmade Cities et Impulse Voice. Je vous recommande.
- J'ai découvert Dixie Dregs, Uriah Deep. Oui je sais, il était temps...
- Them Crooked Vulture, composition dite supergroupe (comme Transatlantic, Asia, LTE,...) composée de gros calibres des années 70-90 : Dave Grohl à la batterie, Josh Homme de Queens of the Stone Age (guitare/chant), et John Paul Jones de Led Zeppelin à la basse. Un unique album éponyme en 2009, très chouette, mais c'est plus du hard rock classique, sans trop de sophistication. Mais très efficace et plaisant à écouter.


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Le Comptoir / Re : [Cultures G] Retour sur 2020
« le 3 Janvier 2022 à 11:12 »
En 2021 j’ai lu un seul livre en français  : l’archipel français de Jérôme Fourquet. Très intéressant, il permet d’en apprendre un peu plus sur la répartition des populations sur le territoire et certaines spécificités historico-économico-géographiques.

J’ai vu un seul film au cinéma : Dune, que j’ai bien aimé malgré le fait que j’attends beaucoup de la suite. Je n’avais guère que 15 ou 16 ans quand j’avais lu les  premiers tomes… qui d’ailleurs ne m’avaient pas si marqués que ça je veux dire, je ne suis jamais devenu un fan de la licence…

Sur Netflix par contre j’ai vu plein de films, dont dernièrement the power of the dog (booof), et don’t look up (qui m’a bien fait rire par contre, et c’est un peu désespérant).

En série aussi, on a continué et fini 10 pour cent, continué Succession (ma série en 2021), vu une série islandaise, et d’autres encore, mais j’ai déjà du chroniqué ça dans les sujets idoines.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 31 Décembre 2021 à 09:49 »
Et donc, pour conclure en beauté 2021 :

Detroit Become Human

Plus tôt dans l’année, j’avais pu explorer le magnifique Beyond Two Souls que j’avais trouvé extrêmement qualitatif, et je m’étais promis de prendre le Quantic Dream de la PS4 à savoir donc ce Detroit Become Human avant la fin de l’année. Et ce fut un plaisir de tous les instants, une histoire et une narration encore mieux maitrisée, de l’acting (l’acteur Jesse Williams connu pour Grey’s Anatomy est par exemple très bon) au top niveau, et une réalisation technique AAAA de grand luxe, très aboutie et qui en met plein les yeux. Facilement dans le top 10 des plus beaux jeux graphiquement sur PS4. Le scénario est une sorte d’anticipation, on est dans les années 2030, le réchauffement climatique fait son œuvre, et une start up gauchiste a disrupté voilà quelques années le monde de la robotique, en produisant des androids plus vrais que nature pour assister les humains dans leur tâches quotidiennes, ou pour les boulots physiques. Non sans conséquences sociales (taux de chômage à près de 40%) que le jeu n’oublie pas d’aborder. Jusqu’au moment où une sorte de bug fait prendre conscience à certains androids de leur être (on parle de deviant). On contrôle donc 3 androids qui vont évoluer suivant différents embranchements scénaristiques, avec donc un nombre possible de dénouements assez dingue dans l’absolu, même si globalement le scénario se développe autour de quelques grands axes validés lors de quelques moments clés. Voire toutes les fins n’est pas un objectif (par exemple, pas de trophée associé par exemple) d’ailleurs, mais je me suis surpris à revenir essayer d’autres choix. Un des trois personnages peut par exemple mourir très tôt dans l’aventure, un autre aura vraiment plusieurs évolutions possibles suivant qu’il arrive à développer ou non une affinité avec son partenaire d’enquête, enfin un troisième évoluera entre un destin messianique pacifiste, et une autre facette plus impitoyable. Entre autre originalité, on a une simulation de manifestation par exemple, illustrant par ailleurs le caractère français des scénaristes. Vraiment bon, les trophées sont faciles mais peuvent prendre du temps ou plusieurs parties de walkthrough donc je vous recommanderai de suivre un guide pour optimiser. J’ai dû passer peut-être 25 heures sur le titre en tout sans avoir l’impression de perdre mon temps. En mode backseat gamer l’aspect cinématographique peut aussi convaincre votre moitié de regarder.
 
Control

Ce nouveau titre de Remedy (le premier depuis Alan Wake) a développé une grosse hype. J’avais justement fait Alan Wake en 2010, que j’avais aimé mais j’y avais trouvé quelques défauts : expressions, synchronisation labiale, réalisation technique parfois très belle, parfois juste très bof voire bancale. Du coup j’ai pris du recul par rapport aux critiques absolument dithyrambiques de l’époque. Remedy reste un petit studio artisanal et il avait laissé une trace indélébile dans la tête des joueurs au début des années 2000 avec la série des Max Payne, auxquels je n’ai jamais joué. Avec le recul je me demande si finalement pour Alan Wake, les critiques ne sont pas restés dans le laudatif absolu, en souvenir de Max Payne justement. Alors qu’en réalité Remedy est un petit studio aux moyens limités (et ça se ressent), et sur ce titre Alan Wake, trop ambitieux par rapport aux moyens, et donc non sans défaut. Je vous la fais courte, mais du coup pour ce Control j’avais un peu peur d’être déçu de la même façon… C’est pour cela que j’ai tant tardé avant de lancer le titre (je l’avais obtenu gratuitement avec les jeux fournis mensuellement par le PS+). Et bien…. Ce fut le cas ! En toute honnêteté, mon impression première après l’avoir fini fut : plus jamais je ne ferai un jeu Remedy, tant j’ai trouvé tout inégal. L’univers et les décors fourmillent de bonnes idées avec cet immense immeuble aux dimensions soviétiques dans lequel on va se perdre 1000 fois… Mais n’évite pas l’écueil de la répétition (il faut aimer les bureaux). L’histoire mélangeant monde presque réel, et fantastique avec plans astrals et notions de dimensions s’intercroisant sont absolument im-bi-tables. Les personnages évidemment raconte ce qu’ils peuvent, mais tout est dans le désordre, suppose que l’on sait plein de chose à priori, et très mélangé, et ce n’est pas les deux centaines et quelques de collectibles qui vont aider à remettre de l’ordre là-dedans. C’est très prétentieux, ça peut évoquer le côté Dharma Initiative de Lost. Certains critiques ont évoqué une ambiance Lynchesque simplement parce qu’ils n’avaient rien compris comme moi je pense… Visuellement les visages sont très uncanny, surtout celui de l’héroïne. C’est peut-être pour cela qu’il y a tant de close up sur les yeux seulement. Visuellement on ne peut pas dire que c’est moche au niveau modélisation et textures mais ce n’est pas non plus dingue, à cause principalement de cet écueil sur les visages j’ai trouvé. Les éclairages et jeux de lumières sont réussis, sans plus, de même que le design sonore.  Les combats sont par contre très dynamiques, c’est là sans doute le point fort du titre. On dispose d’un pouvoir de télékynésie (launch) assez balèse, et les environnements sont tous destructibles, avec un rendu réaliste assez saisissant. Le launch est vraiment GOAT, surtout si on choisit de booster cette capacité en premier. Les armes à feu sont plus quelconques (même s’il s’agit de modifications subastrales d’une seule arme de base en fait). On a un arbre de compétences que l’on acquiert au fil du jeu, et on a un peu de loot à faire pour ajuster certains paramètres. Classique. Le jeu est rempli de missions secondaires très dispensables (je les ai toutes faites pour les trophées obviously), et les DLC permettent de prolonger l’expérience : l’un en offrant un étage supplémentaire à explorer (et il est long) qui permet d’en apprendre un peu plus sur l’histoire (enfin… ce que vous en comprendrez), et l’autre fait des liens très intéressants avec Alan Wake, confirmant ainsi que les deux univers sont connectés (on parle de Remedy Connected Universe), avec quelques cinématiques et idées de mises en scène très réussies. Les tophées sont relativement simple, je n’en garde pas en mémoire de plus compliqués que d’autres (un ou deux sont vraiment longs par contre). Au final : déception. Déception car franchement après avoir fait le dernier Quantic Dream, Tomb Raider, les derniers Uncharted, God of War, Hellblade ou même A Plague Tale, on ne peut que constater que c’est un cran en-dessous techniquement (visages). Est-ce que cela reste fun à jouer : oui, les gunfights sont excellents, et on a un sentiment de liberté incroyable. Mais c’est vite répétitif. Et l’histoire me parait inutilement confuse, même si l’univers n’est pas inintéressant. Il faut aimer les grands intérieurs. Et les temps de chargement sont quand même très longs, à chaque échec… Tout boucler m’a tout de même pris une grosse trentaine d’heure je pense.

 
The Last of Us part II

Et enfin… Je me l’avais mis de côté, je voulais le faire en tout dernier une fois le catalogue de tous les gros jeux majeurs de la PS4 fini, un peu comme je l’avais fait avec le premier opus sur la PS3. Mais force est de constater que j’ai encore quelques titres à clore (the Last Guardian par exemple) l’an prochain avant de passer à autre chose, et j’ai profiter d’une absence de 1 mois de ma compagne et du plus petit en novembre décembre pour me lancer sur le titre en mode optimal à savoir : grandes sessions de 3h de jeux le soir une fois l’ainé resté avec mois couché, jeu au casque, écran géant. C’était le moment ou jamais si je puis dire. Et alors mes amis, mais quelle claque… Je ne sais vraiment pas par où commencer. Déjà oui c’est le plus beau jeu de la PS4 (je ne pense pas qu’il en sortira d’autres de cette envergure), avec Red Dead Redemption 2. Les visages sont incroyablement expressifs, c’est du très grand art, très réaliste, bluffant. Les décors (Seattle en version Extranimals, le Wyoming en mode Notre-Dame-des-Landes, entre autres) sont éblouissants. Les éclairages, les rayons du soleil, la météo, tout cela est juste incroyable. Les musiques de Santaolalla sont un peu plus en retrait que sur le premier opus, mais toujours là, et la guitare sèche occupe une place centrale dans le jeu d’ailleurs. L’environnement sonore est très efficace, surlignant les moments de tension avec brio. Mais ce jeu va bien au-delà du simple contrôle technique si je puis dire. L’histoire secoue comme jamais, on nous fait faire des choses qui vraiment, interrogent, vont choquer le joueur. Le jeu est en outre gargantuesque dans son mode histoire (évitez de vous spoiler sur le jeu vous n’en serez que plus agréablement surpris comme ce fut le cas pour moi – pour info j’ai dû mettre une grosse trentaine d’heure pour finir le mode histoire, et je n’ai pas eu de difficulté majeure si je puis dire, à part quelques die and retry) et du coup prends le temps de développer un univers cohérent. Plusieurs factions co-existent et interagissent entre elles et avec le joueur et c’est tout con mais du coup quand on tue un autre humain, ce n’est vraiment pas quelque chose d’aussi insignifiant que dans Uncharted (dissonance ludique). Les hurlements de douleur ou autre sont vraiment choquants parfois (c’est un jeu hyper violent, je pense que certaines personnes peuvent vraiment ne pas s’y accommoder). Battou a déjà relevé ça, mais chacun des PNJ ont une identité propre et, quand dans une scène je choisis d’en étrangler un et que plus tard un autre PNJ découvre le cadavre, il va dire un truc du style « fuck, they got XXX » avec un prénom donc, et c’est tout con mais ça change tout, ça personnifie vraiment les autres. Je dis ça aussi car, on est pas du tout obligé de tuer pour avancer, on peut lentement s’échapper en discrétion (c’est parfois compliqué mais c’est possible). En mode Hard (j’ai commencé par ce mode), ce n’est pas si simple, les ressources sont limitées et le jeu fait toujours en sorte que tu dépenses très rapidement les 3 cartouches que tu viens de trouver sur la prochaine vague d’ennemis. Du point de vue gameplay pur effectivement on peut dire que la formule n’a pas beaucoup évolué depuis le premier opus, avec tout de même un changement significatif concernant la liberté conférée pour aborder chaque situation, et le fait que l’on peut vraiment faire des choses de façon très seamless, sans pause “sac à dos”, si on trouve les bons éléments sur le chemin (ça arrive). Je vous recommande de commencer en hard ou en surivor, pour avoir un challenge équilibré (le côté réaliste veut que les ressources soient rares fatalement). Je suis en train de finir le mode grounded avec permadeath by chapter, c’est un peu du masochisme parfois, mais ça se fait, justement parce que le jeu permet cette multitude de choix pour aborder chaque situation.
Cela n’a pas été trop dit mais le jeu a une richesse de menus et de paramètres à régler en tout genre qui fait que chaque joueur va pouvoir s’y retrouver au niveau accessibilité : les déficients visuels, auditifs… c’est la première fois que je vois une telle prise en compte du handicap dans un jeu.

Au final : évidemment que le jeu est à faire, mais il faut pouvoir s’accrocher car le niveau d’intensité de l’histoire et des actions qu’on nous fait faire sont sans équivoque : œil pour œil, dent pour dent. Une spirale dont on ne sort jamais indemne.

(cliquez pour montrer/cacher)
Je n’ai par exemple pas forcément compris pourquoi Ellie repart vers Santa Barbara sur demande de Tommy quand elle est dans sa uber-ferme avec Dina après la confrontation face à Abby à Seattle, surtout que ce même Tommy estimait à la fin du Seattle Day 3 qu’Abby pouvait s’en tirer vu qu’ils avaient liquidé pas mal de ses potos déjà…

Bilan 2021 personnel :
Meilleur jeu indépendant joué : Lonely Mountains: Downhill. J’y retourne d’ailleurs avec plaisir, les développeurs ayant sorti un DLC gratuit pour les fêtes.

Meilleur jeu gros budget joué : The Last of Us part II. Bien sûr je n’oublie pas Detroit: Become Human ou Horizon Zero Dawn, ou bien encore le très chouette Spider-Man, chacun dans leur genre, mais ça ne dépasse pas pour moi ce tour de force de Naughty Dog.

Pour 2022 : finir les quelques trophées restant sur Lonely Mountains, SOR4. Etre beaucoup plus sélectif sur les jeux indés. Je l’ai déjà dit l’an dernier, mais cela devient une vraie urgence maintenant. Donc pour l’instant je ne vois guère que 12 Minutes dans mon viseur, avec peut-être Jett: the Far Shore, Art of Rally (de la même équipe que Absolute Drift), The Forgotten City, Minutes of Island, …  Mais il y aura aussi quelques jeux narratifs je pense : Twin Mirror, : Life is Strange True Colors par exemple suscitent ma curiosité.
Parmi les jeux à gros budget , The Last Guardian est dans le radar immédiat, dans ma to do list depuis bien trop longtemps. Plus tard (et en particulier si les critiques sont bonnes) je me laisserai tenter par Horizon Forbidden West et Elden Ring (on verra si j’ai le temps), et puis peut-être aussi Spider-Man Miles Morales. Si j’ai le temps, je ferai aussi Death Stranding et Ghost of Tsuhima, voire Days Gone.

Enfin je fais une digression mais force est de constater que sur cette génération 512 bits, le nombre de personnages principaux féminins incarnés dans des jeux majeurs /AAA sont en majorité très nette, en tout cas dans ce que j’ai pu jouer : Control, the Last of Us part II, Rise of the Tomb Raider, Shadow of the Tomb Raider, Hellblade, Horizon Zero Dawn, Uncharted Lost Legacy, Beyond Two Soul, A Plague Tale, 1/3 de Detroit Become Human. Même Spider-Man nous fait incarner MJ sur certains chapitres… J’en compte seulement 6 côté masculin dont 3 titres auxquels je n’ai pas joué: God of War, Red Dead Redemption 2, Ghost of Tsuhima, Uncharted 4, Death Stranding, et, peut-être dans une moindre mesure, Days Gone. Evidemment je n’inclus que les gros jeux dits « majeurs », ne sortant pas à un rythme disons annuel (pas de Call Of, de Assassin’s Creed, etc.). Bien sûr qu’au global, les personnages féminins sont sous-représentés, mais tout de même je ne peux que noter un net progrès.

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Anime et manga / Re : Vos découvertes Anime / Manga
« le 28 Décembre 2021 à 23:29 »
Tout cela fait penser à Utena…
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 28 Décembre 2021 à 23:27 »
L’autre stat ou fait “marrant” sur la Vème République est qu’aucun président n’a été “réélu” sur sa majorité, c’est à dire, sans cohabitation au moment de ladite “réélection”.

Pour Macron se faire réélire serait ainsi une vraie toute première fois, toutoute première fois pour la Vème Répu.

Je me demande si ce genre de fun fact peut amener le doute…
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Politique / Re : Élections présidentielles 2022
« le 28 Décembre 2021 à 00:21 »
On finit l’année avec :
- Pécresse winneuse ascendant snowboardeuse de l’UMP
- Taubira en potentiel black savior de la gauche, la candidature du PS ne décollant pas… Taubira a semble t-il une plus grande côte à cet instant précis qu’Anne Hidalgo.
- Non pas 4, ni 5 mais bien 7 voire 8 candidats à gauche : Jadot, Roussel, Mélenchon, Arthaud, Poutou, Montebourg, Hidalgo, Taubira. On a vraiment l’embarras du choix… auront-ils tous 500 signatures par contre? Et quand bien même, je ne vois pas comment l’un d’eux pourrait se qualifier sans retrait des autres (et encore… même pas sûr)

Bref, on sent que la campagne va plutôt se jouer sur la droite, l’impact de l’obtention ou la non-obtention des 500 signatures de Zemmour par exemple aura un impact certain.

Je mets une pièce sur Macron pour le moment. Mais si Pécresse passe devant le Pen, ce ne sera pas si simple…

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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 27 Décembre 2021 à 04:56 »
Voici deux dernières salves de review pour clore 2021.

La première concerne les 4 derniers jeux indie / low key / Libé / zadistes auxquels j'ai pu jouer dans l'année 2021.

Alvéole

Une... expérience? Le jeu est très conceptuel, il consiste à courir tel un hamster dans une roue, en sautant de temps à autre un obstacle. Suivant nos choix de sauter ou non suivant une combinaison à trouver à l'aide des indices visuels autour, on débloque différents clichés photographiques sensés raconter un bout d'histoire... Le prix est très modique, et vraiment le gameplay est très limité mais pas inintéressant.

Kona

Un polar fantastique prenant place dans le nord du Québec, en 1970, développé par le studio canadien Parabole. L'immersion est totale et l'ambiance très réussie. Le jeu n'a pas un budget dément mais on sent tout de même un certain soin apporté à la réalisation, au visual design, au lore. Une très bonne surprise pour moi, qui rappelle par moment The Vanishing of Ethan Carter. Je n'en dit pas plus et vous laisse l'image du titre très énigmatique pour vous allécher. Les trophées ne sont pas bien compliqués, mais demandent une exploration poussée des endroits visités. On se perd parfois dans le blizzard, c'est un peu obligatoire. La musique lugubre fait alors son effet pour vous glacer littéralement, avec des jump scares lupins en option.

Dear Esther

Encore une expérience "jeu d'auteur" d'envergure, ce walking simulator construit initialement comme un mode de Half Life 2 me semble t-il, propose ici une exploration en profondeur d'une des îles Hebrides. Au cours du cheminement, on découvre au travers de quelques dizaines de dialogues intérieurs très bien joués le pourquoi du comment on se retrouve ici. Sans qu’on ne sache vraiment si c’est bien la réalité que l’on vit, ou bien une allégorie du Purgatoire. Le jeu était je crois sorti initialement sur la génération précédente de console, et ici la version PS4 Pro a tous les curseurs poussés au max, et c'est assez saisissant. Je recommande un deuxième walkthrough avec la director's cut et les commentaires du staff : les deux développeurs, et la compositrice, vraiment intéressants. Les trophées sont simples, une dizaine en tout. Ils s'obtiennent dans le prolongement de l'expérience de jeu, le plus compliqué consistant à trouver 5 urnes funéraires...

Burly Men at Sea

Dernière expérience indie de l'année, ce petit jeu narratif est un conte, une sorte d'Odyssée à embranchement multiples (une dizaine de fins possibles de mémoire). On incarne trois marins très barbus et très costauds. Peu de moyen, et donc la réalisation va au plus simple visuellement, ce n'est pas déplaisant pour autant. Pour un prix modique on peut s'y amuser une ou deux soirées, au-delà par contre... Le jeu a eu des récompenses je crois. Ça reste quand même d’un intérêt limité je trouve.

Voilà pour ces derniers jeux indépendo-zadisto-gauchistes.

Je reviendrai d’ici le 31 décembre, avec cette fois-ci ce que vous attendez tous j’en suis certain, à savoir les derniers gros jeux AAA voire AAAA / budgets de hipsters rentiers Apple ProMax Huarache Turbo / Bourgeois dubaïote en string Balenciaga / LREM / Premiers de Cordée / le Figaro Mag testés par bibi.