On a cassé PnR avec nos discussions :ptdr:
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Bon, il va quand même falloir nous retrouver cette conversation qui était assez intéressante :p
Pour continuer sur le sujet, un point de vue qui a le mérite de montrer pourquoi, comme je le disais précédemment, l'UE est fondamentalement anti démocratique :Citation Et le programme gravé dans le marbre de l'UE, on le rappelle :Citation http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1311801-syriza-quand-la-grece-s-eveillera-l-europe-tremblera-une-seule-issue-est-possible.html
C'est le programme de Thatcher, de Reagan, de Friedman & cie... pas du tout idéologique bien sûr, puisque "there is no alternative"
(si c'est le cas, autant fournir les cordes) ^^
La démocratie, quand une politique économique est gravée dans le marbre, n'a évidemment pas sa place. On est plus dans un régime autoritaire, oligarchique, mais certainement pas démocratique.
Il redit également que Syriza n'a rien de l'extrême gauche, mais ça, il n'y a que les médias pour nous les vendre rouge. De toute façon, à côté de la Troïka, tout semblera rouge :D
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Bon, il va quand même falloir nous retrouver cette conversation qui était assez intéressante :p
Pour continuer sur le sujet, un point de vue qui a le mérite de montrer pourquoi, comme je le disais précédemment, l'UE est fondamentalement anti démocratique :
Si vous gravez une politique économique dans les traités qui fixent le fonctionnement de l’Europe, mais si parallèlement, des élections démocratiques continuent à se dérouler dans les pays membres, il arrive tôt ou tard qu’un gouvernement soit élu sur un autre programme.
- de déréglementer l’accès aux marchés de l’économie européenne,
- d’éclater au maximum le paysage concurrentiel,
- de confier la vie économique aux marchés plutôt qu’aux États,
- de confier les services publics à des acteurs privés avec réglementation par les États,
- de confier aux États le soin d’investir dans les secteurs de future croissance (le numérique, les nouvelles biotechs, etc.) et dans la formation de cadres supérieurs mobiles et dynamiques,
- de s’interdire (sauf crise extraordinairement grave) la relance par la demande et la relance monétaire,
- de faire parvenir les États à l’équilibre budgétaire et au désendettement.
C'est le programme de Thatcher, de Reagan, de Friedman & cie... pas du tout idéologique bien sûr, puisque "there is no alternative"
(si c'est le cas, autant fournir les cordes) ^^
La démocratie, quand une politique économique est gravée dans le marbre, n'a évidemment pas sa place. On est plus dans un régime autoritaire, oligarchique, mais certainement pas démocratique.
Il redit également que Syriza n'a rien de l'extrême gauche, mais ça, il n'y a que les médias pour nous les vendre rouge. De toute façon, à côté de la Troïka, tout semblera rouge :D