Blablabla mais vous allez arrêter de prendre la tête au monde avec votre Araki et gnagnagna ? Je persiste et signe, si adaptation animée il y'a, j'espère que ça ne sera pas dans ce style.
Il y'a moyen de conserver les grandes lignes Okadiennes tout en les rendant plus fluides et agréables à l'oeil, suffit qu'on tombe sur un charadesign suffisemment doué et faisant un minimum travailler ses méninges et son doigt pour le faire. Y'a qu'à voir ce que Minako Shiba a fait sur Meine Liebe, à partir de dessins de Kaori Yuki.
L'Hyperion d'Albiero est "joli" sans plus, inexpressif. La majesté et la puissance de l'original n'y sont pas.
Ce que je repproche à Okada dans ses dessins c'est son inconstance... plus dans la forme déja, car il arrive à faire de magnifiques planches avec ses persos impeccables (en général les planches de Shaka en particulier dans le volume 6) et à côté d'autres assez voire très laides (toujours Shaka mais la couverture du 2). Dans le fond parcequ'il lui arrive de moduler un peu le charadesign de ses perso selon ses envies voire besoin. D'un volume à l'autre il est un peu difficile de trouver un Aiolia qui soit constant... à la longue c'est un peu agaçant (voire Aiolia du premier chapitre et Aiolia du volume 2...déja on a une belle différence).
Maintenant il y'a de la recherche dans les constructions de ses planches et les plans qu'il utilise, rendant la lecture moins monotone... mais revers de la médaille, dès fois il cherche trop et c'est assez prise de tête pour déchiffrer.
Concernant les dialogues... j'avoue que c'est ce qui m'a en premier lieu insité à passer outre le design... à l'époque où Luther traduisait les chapitres sur son site. La traductrice de GC par contre ne me semble pas passer trop de temps sur l'adaptation hélas... ce qui fait que le tout est assez lourd avec des répétitions à foissons.
Le coup des crocs du Lion... j'aime bien dans l'idée... de plus déja présent aussi dans Kurumanga (on a rugissement quelque part aussi).
Autre chose que j'aime bien la naration. Contrairement à Kurumada, est moins linéaire. On passe de "gentils faut sauver Saori et accessoirement le monde du méchant qu'on sait qui sait depuis l'épisode 1 de l'aventure avec un peu vers la fin une petite révélation" (la seule exception qui apportait une once d'originalité à tout ça étant la première partie d'Hades... mais copiée-collée du scenario d'Abel) à un scenario qui n'a encore pas tout dévoilé avec quelques personnages ambigus dont on ne sait pas encore toutes les motivations et sujets à apporter à cette histoire un ou plusieurs nouveaux tournants.
Au final l'intrigue se résume bien à un "qu'est ce qui va se passer" plutôt qu'un "comment vont ils sauver la princesse".
Il y'a moyen de conserver les grandes lignes Okadiennes tout en les rendant plus fluides et agréables à l'oeil, suffit qu'on tombe sur un charadesign suffisemment doué et faisant un minimum travailler ses méninges et son doigt pour le faire. Y'a qu'à voir ce que Minako Shiba a fait sur Meine Liebe, à partir de dessins de Kaori Yuki.
L'Hyperion d'Albiero est "joli" sans plus, inexpressif. La majesté et la puissance de l'original n'y sont pas.
Ce que je repproche à Okada dans ses dessins c'est son inconstance... plus dans la forme déja, car il arrive à faire de magnifiques planches avec ses persos impeccables (en général les planches de Shaka en particulier dans le volume 6) et à côté d'autres assez voire très laides (toujours Shaka mais la couverture du 2). Dans le fond parcequ'il lui arrive de moduler un peu le charadesign de ses perso selon ses envies voire besoin. D'un volume à l'autre il est un peu difficile de trouver un Aiolia qui soit constant... à la longue c'est un peu agaçant (voire Aiolia du premier chapitre et Aiolia du volume 2...déja on a une belle différence).
Maintenant il y'a de la recherche dans les constructions de ses planches et les plans qu'il utilise, rendant la lecture moins monotone... mais revers de la médaille, dès fois il cherche trop et c'est assez prise de tête pour déchiffrer.
Concernant les dialogues... j'avoue que c'est ce qui m'a en premier lieu insité à passer outre le design... à l'époque où Luther traduisait les chapitres sur son site. La traductrice de GC par contre ne me semble pas passer trop de temps sur l'adaptation hélas... ce qui fait que le tout est assez lourd avec des répétitions à foissons.
Le coup des crocs du Lion... j'aime bien dans l'idée... de plus déja présent aussi dans Kurumanga (on a rugissement quelque part aussi).
Autre chose que j'aime bien la naration. Contrairement à Kurumada, est moins linéaire. On passe de "gentils faut sauver Saori et accessoirement le monde du méchant qu'on sait qui sait depuis l'épisode 1 de l'aventure avec un peu vers la fin une petite révélation" (la seule exception qui apportait une once d'originalité à tout ça étant la première partie d'Hades... mais copiée-collée du scenario d'Abel) à un scenario qui n'a encore pas tout dévoilé avec quelques personnages ambigus dont on ne sait pas encore toutes les motivations et sujets à apporter à cette histoire un ou plusieurs nouveaux tournants.
Au final l'intrigue se résume bien à un "qu'est ce qui va se passer" plutôt qu'un "comment vont ils sauver la princesse".