Comme plus de la moitié des PnRiens vont le voir, autant lui consacrer un sujet à part entière.
Etat du Vermont, années 50. Babydoll et sa petit soeur perdent leur mère. Leur ignoble beau-père apprend par la suite que feu sa compagne lègue tous ses biens à ses filles. Il décide donc de les supprimer mais son plan est mis à mal par babydoll qui tente de protéger sa soeur mais la tue par accident. Elle est aussitôt envoyée dans un asile psychiatrique où elle fera connaissance d’autres filles toutes sexy les unes que les autres (Sweet Pea, Rocket, Blondie et Amber) avec lesquelles elle tentera de sortir de ce guépier. Mais il leur faudra tromper la vigilance des maîtres des lieux que sont Blue, un sous-mafieux, et Miss Gorski, une sorte de virago polonaise qui s’occupe des filles pour des spectacles plutôt burlesques à l’attention d’un certain auditoire. Au cours d’une répétition, Babydoll entre en contact avec un mystérieux personnage qui lui indique la démarche à suivre pour concrétiser leur évasion…
Et c’est parti pour un festival de délires protéiformes ! Si le scénario connaît des hauts et des bas, l’aspect visuel est totalement maîtrisé. On trouve tous les hommages possibles à la culture geek, friande d’anachronismes comme un mecha high tech en pleine Première Guerre Mondiale. Steampunk, cyborg, mecha, gunfights, video game, school girl, rôlisme, fantasy, manga, etc… pratiquement tout y est. Une sorte de vade-mecum glissé dans la peau d’un immense video game new generation (ça parle peu, ça bastonne plein pot) où notre sensibilité ne ressort pas indemne.
Physiquement, mon perso préféré est Blondie. Sweet Pea impose avec son statut de grande soeur assez juteuse. Rocket me gonfle pas mal à l’ouvrir sans cesse. Amber m’indiffère malgré ses prestations aériennes. Babydoll est simplement un nouvel avatar d’Alice in Wonderland avec son flingue customisé comme un cellulaire. Cute girl but mute girl. Les lapins et la fumette sont en moins même si on suppute que Zack a dû prendre quelque substances pour sortir tout ce fatras déjanté...
Babydoll
Blondie :classe:
Blondie, raaah... !!
Sweet Pea
Amber
Rocket
Les autres belles affiches rétro comme celle de Blondie sont disponibles ici !
Au niveau des rêves, on y trouve de l’excellent poutrage en règle avec(cliquez pour montrer/cacher) , du doom-like vitaminé (1st World War), du frustrant (cliquez pour montrer/cacher) et du décevant (cliquez pour montrer/cacher) .
Au final, c’est une fracture rétinienne de très bonne facture que j’achèterai à sa sortie DVD !
D’s©
Etat du Vermont, années 50. Babydoll et sa petit soeur perdent leur mère. Leur ignoble beau-père apprend par la suite que feu sa compagne lègue tous ses biens à ses filles. Il décide donc de les supprimer mais son plan est mis à mal par babydoll qui tente de protéger sa soeur mais la tue par accident. Elle est aussitôt envoyée dans un asile psychiatrique où elle fera connaissance d’autres filles toutes sexy les unes que les autres (Sweet Pea, Rocket, Blondie et Amber) avec lesquelles elle tentera de sortir de ce guépier. Mais il leur faudra tromper la vigilance des maîtres des lieux que sont Blue, un sous-mafieux, et Miss Gorski, une sorte de virago polonaise qui s’occupe des filles pour des spectacles plutôt burlesques à l’attention d’un certain auditoire. Au cours d’une répétition, Babydoll entre en contact avec un mystérieux personnage qui lui indique la démarche à suivre pour concrétiser leur évasion…
Et c’est parti pour un festival de délires protéiformes ! Si le scénario connaît des hauts et des bas, l’aspect visuel est totalement maîtrisé. On trouve tous les hommages possibles à la culture geek, friande d’anachronismes comme un mecha high tech en pleine Première Guerre Mondiale. Steampunk, cyborg, mecha, gunfights, video game, school girl, rôlisme, fantasy, manga, etc… pratiquement tout y est. Une sorte de vade-mecum glissé dans la peau d’un immense video game new generation (ça parle peu, ça bastonne plein pot) où notre sensibilité ne ressort pas indemne.
Physiquement, mon perso préféré est Blondie. Sweet Pea impose avec son statut de grande soeur assez juteuse. Rocket me gonfle pas mal à l’ouvrir sans cesse. Amber m’indiffère malgré ses prestations aériennes. Babydoll est simplement un nouvel avatar d’Alice in Wonderland avec son flingue customisé comme un cellulaire. Cute girl but mute girl. Les lapins et la fumette sont en moins même si on suppute que Zack a dû prendre quelque substances pour sortir tout ce fatras déjanté...
Babydoll
Blondie :classe:
Blondie, raaah... !!
Sweet Pea
Amber
Rocket
Les autres belles affiches rétro comme celle de Blondie sont disponibles ici !
Au niveau des rêves, on y trouve de l’excellent poutrage en règle avec
les guerriers nippons et un écho aux combats saint seiyesques et DBZiens
avec Dragon quest car on aurait aimé plus de détails sur les combats entre les filles et les orcs tolkiens
avec les combats contre les robots qui sont trop rapides et expéditifs
Au final, c’est une fracture rétinienne de très bonne facture que j’achèterai à sa sortie DVD !
D’s©