Dans tout ça, faudra quand même souligner la forte présence de Chichi sur la scène internationale, ça au moins c'est quelque chose qu'il aura fait de bien durant ses mandats :troll:
Par contre, au cas où le petit Nicolas serait encensé en mai 2007, faudra s'habituer à un discours et une vision internationale bien différente...
http://altermonde-levillage.nuxit.net/article.php3?id_article=6403
Un texte qui a bien sûr un parti-pris mais qui n'en est pas moins intéressant ^^Citation
Par contre, au cas où le petit Nicolas serait encensé en mai 2007, faudra s'habituer à un discours et une vision internationale bien différente...
http://altermonde-levillage.nuxit.net/article.php3?id_article=6403
Un texte qui a bien sûr un parti-pris mais qui n'en est pas moins intéressant ^^
Dans ses déclarations à la radio ou à la télévision, Sarkozy se contente de singer Bush, et va répétant, à des micros complaisants « qu’Israël a bien le droit de se défendre ». Parfois, le tartarin ajoute qu’Israël « a non seulement le droit, mais le devoir de se défendre ». Mais dans ses conversations privées avec des dirigeants israéliens, Sarkozy va plus loin dans l’abjection.
Témoin, ce récit, par le ministre israélien de l’immigration (un confrère, quoi !) Ze’ev Boïm, de l’entrevue qu’il vient d’avoir, à Paris, avec Sarkozy, et que rapporte Xavier Ternisien dans le journal Le Monde.
Ze’ev Boïm : « J’ai remercié Nicolas Sarkozy pour sa défense d’Israël et lui ai transmis les félicitations d’Ehud Olmert. Sarkozy est revenu sur le fait que le Hezbollah était responsable de l’agression. Il m’a demandé : de combien de temps l’Etat d’Israël a-t-il besoin pour terminer le travail ? Je lui ai répondu : une semaine à dix jours ».
Pour Sarkozy, les bombes, les roquettes, les enfants déchiquetés sur les routes, ou les hommes qui tombent au combat, tout cela c’est « du travail ». Un travail qui rend libre, sans doute, comme la devise ornant l’entrée d’Auschwitz nous l’a appris.
Les dirigeants sionistes jugent souvent qu’il leur est utile de compromettre le maximum de politiciens étrangers, y compris leurs plus fidèles soutiens, en révélant comment ces gens, en privé, leur lèchent les bottes.
Ze’ev Boïm s’exprimait à l’occasion d’un meeting de soutien aux crimes de guerre israéliens organisé ... dans une synagogue. Mais tant qu’on ne s’intéresse qu’aux prêches dans les mosquées, la « laïcité » peut dormir tranquille.