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Topic: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes ! (Read 144382 times) previous topic - next topic

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #465
Merci pour l'info. J'avoue que ça a effectivement un côté dissuasif, non pas uniquement pour le DL illégal, mais aussi pour celui qui veut acheter sa musique. Après tout, vu qu'il n'est pas même pas certain qu'il pourra le mettre sur son mp3, franchement... ça donne pas envie  :sweatdrop:

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #466
Ce pave sur le classique etait decousu et sans interet, et ne meritait qu'une seule chose: la poubelle. Il l'a eue.

Et pour rester dans le cadre de la discussion, oui les majors sont aux abois, et veulent faire pleurer sur leur sort, alors qu'elles ne font que recolter le fruit de leur politique passeiste. Donc je suis contre le telechargement a tire-l'arigot (surtout si c'est pour stocker et se dire : ah, j'ai deja, pas besoin d'acheter) mais encore plus contre la politique des grands groupes qui vise a se faire du pognon de maniere ehontee en recyclant les memes cochonneries tout le temps.

Je discutais de cela avec quelques personnes, et la difference en terme d'avis est frappante selon les gens. L'un pensait que telecharger, c'etait bien, et cela permettait d'avoir plus d'argent pour depenser dans des fringues de marque par exemple. Un autre n'achete pas un seul album, ne fait que telecharger, mais va a tous les concerts de ses groupes fetiches. Un autre encore se fiche du support de sa musique, que ce soit MP3 ou CD emprunte et copie, aucune difference, il a la musique archivee quelque part, et ca lui va bien. Un autre telecharge ses CD en attendant de recevoir l'album officiel dans sa boite aux lettres. A titre personnel, j'ai horreur du telechargement (la perte de qualite en MP3 est effroyable, surtout pour de la musique orchestrale), et copier des CD que l'on m'a prete ne m'excite pas forcement, etant comme Urumi attache a l'objet (avec son petit booklet, et une jolie couverture eventuellement). J'ai ete jusqu'a racheter des CD officiels de MP3 que l'on m'avait passe, histoire de connaitre tel ou tel groupe.

J'etais mort de rire en discutant avec un Japonais l'autre jour... Il me demande quel film j'ai vu recemment, et je lui reponds pas grand chose, le cine coute cher. Et il me dit "mais il faut telecharger!". Je lui signale l'illegalite du truc, il s'en fiche. Plus tard, tour dans une boutique de jeux, on regarde le catalogue DS et je lui demande quels jeux il possede, presque aucun me repond-il, ca coute trop cher. Ma reponse, il va sans dire, est : pourquoi ne pas les telecharger alors? Et la, il joue les choques, en disant que c'est illegal, et qu'il ne ferait JAMAIS une chose pareille, sous-entendu c'est bien une idee de gaijin ca, il me demande d'ailleurs si je m'amuse a ca. Je reponds par la negative et lui rappelle que telecharger des films, c'est tout aussi illegal que de telecharger des jeux, et pourtant l'une de ces options lui parait naturelle, l'autre impensable. Il va sans dire que je l'ai un peu vexe, et que je n'ai plus eu de ses nouvelles depuis... :sweatdrop:
永遠に、あなたのモノ・・・

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #467
Un DRM, ça a plusieurs formes.

Ca peut être une sorte de limiteur de copies. Un bout de code lié au fichier qui dit à ce fichier, tu as le droit d'être transféré sur 3 appareils différents par exemple, et qui à chaque copie, passe le compteur à -1, et une fois le compteur à 0 refuse d'être transféré.

Ca peut aussi être sur une vidéo, par exemple, une vidéo lisible pendant 48h, ou bien une vidéo qui ne sera lisible que si le certificat (reçu lors de l'achat) se trouve sur ton PC, et donc qui en sera pas lisible sur un autre PC ou sur un autre matériel multimédia qui pourtant prend bien en compte le format (les wmv par exemple).

Cependant, il y a quelques programmes qui permettent facilement de retirer ces DRM, donc ce n'est pas vraiment un problème (même si je le concois, on ne devrait pas avoir à retirer la protection sur un truc qu'on a acheté et qu'on utilise de façon légale).

Les jeux Virtual Console sur Wii (et le contenu acheté des autres consoles aussi je suppose) ont aussi une sorte de DRM je suppose, vu que d'après ce que j'ai lu, ils ne fonctionnent que sur la console où ils ont été achetés (même si là, ça semble plus que logique).

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #468

Cependant, il y a quelques programmes qui permettent facilement de retirer ces DRM, donc ce n'est pas vraiment un problème (même si je le concois, on ne devrait pas avoir à retirer la protection sur un truc qu'on a acheté et qu'on utilise de façon légale).

Sauf que faire ça est totalement illégal depuis les lois DADVSI.
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Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #469
Les jeux Virtual Console sur Wii (et le contenu acheté des autres consoles aussi je suppose) ont aussi une sorte de DRM je suppose, vu que d'après ce que j'ai lu, ils ne fonctionnent que sur la console où ils ont été achetés (même si là, ça semble plus que logique).


Mouais, je vois pas trop la logique, moi... A partir du moment où t'as payé le truc, tu devrais pouvoir le copier sur la Wii d'un pote si ça te chante  :lac:
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #470

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Dailymotion va devoir passer à la caisse. Pour financer la production cinématographique, les députés ont adopté jeudi dernier un amendement à la Loi de finances rectificative pour 2007, qui prévoit d’instaurer une taxe de 2% sur les recettes publicitaires des sites proposant de la vidéo, aussi bien gratuite que payante. Sont concernées les plates-forme de vidéo, comme Dailymotion ou Glowria, mais pas seulement. Dès lors qu’il est établi en France, n’importe quel site internet « qui met à disposition du public […] des œuvres ou documents cinématographiques ou audiovisuels » tombe sous le coup de la loi, précise l’amendement 91 défendu par Marie-Hélène des Esgaulx, députée UMP de Gironde, et Jérôme Chartier, député UMP du Val-d’Oise.


http://www.lexpansion.com/economie/actualite-high-tech/les-fournisseurs-d-acces-redoutent-une-taxe-internet_136201.html

De mieux en mieux...
Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #471
Suite au rapport Olivennes...

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Société 2.0 -

Numerama a eu connaissance de l'avant-projet de loi Olivennes, qui doit mettre en place les nouvelles mesures anti-piratage souhaitées par le gouvernement. Parmi les dispositions de l'avant-projet figure la compétence données à des agents de l'Etat d'obtenir sans passer par le juge des informations d'identification des internautes.

Le projet de loi Olivennes (du nom du président de la FNAC et de son rapport sur la lutte contre le téléchargement illégal) est dans les tuyaux du gouvernement. Il devrait être présenté au début de l'été au Parlement, pour une adoption discrète pendant que les Français baignent au soleil. Tactique connue et éprouvée. La loi doit instaurer la "Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet", qui remplacera l'Autorité de régulation des mesures techniques créée par la loi DADVSI, et qui sera dotée de nouveaux pouvoirs. Elle sera composée d'un collège et d'une commission de protection des droits. Chargée de missions de protection des oeuvres, d'observation de l'offre légale et de l'utilisation illicite des oeuvres, et d'une mission générale de régulation et de veille dans le domaine des mesures techniques (DRM), la Haute Autorité doit notamment mettre en oeuvre la riposte graduée nouvelle formule (voir encadré en fin d'article).

Pour les DRM, il ne faudra pas s'attendre à grand chose. L'avant projet de loi dont Numerama a eu connaissance n'ajoute rien au dispositif en place, et confirme au contraire qu'il sera impossible en pratique de faire respecter l'interopérabilité, ou de faire respecter la libre concurrence entre le logiciel libre et les logiciels propriétaires. Le bénéfice des exceptions (telles que la copie privée) est écarté en matière de services de musique ou de vidéo à la demande, c'est-à-dire pour l'essentiel des accès aux oeuvres en ligne, et pour tous les accès qui porteraient atteinte aux intérêts légitimes des ayant droits. Autant dire que sauf à être expert en analyse économique, personne ne pourra se prévaloir avec certitude d'un droit à la copie privée. De plus, pour les professionnels qui souhaiteraient voir la Haute Autorité agir pour faciliter l'interopérabilité de leurs solutions avec celles des géants du secteur, la tâche sera rude. La Haute Autorité ne pourra pas aller contre "le respect des droits des parties", donc contre les brevets et droits d'auteurs des fabricants de DRM. Rien de neuf sur ce point, on ne s'attendait pas à une révolution. L'interopérabilité viendra de l'abandon volontaire des DRM, qui a commencé avec la musique en ligne, ou ne viendra pas.

En revanche, le volet répressif de l'avant-projet de loi promet de faire débat et de soulever quelques cheveux sur la tête. Il est en effet prévu dans le brouillon gouvernemental que "la commission de protection des droits dispose d'agents publics, désignés par arrêté conjoint des ministres chargés de l'économie et des finances, des communications électroniques et de la culture", qui pourront, "pour les nécessités de la procédure, "se faire communiquer [...] y compris les données conservées et traitées par les opérateurs de télécommunications [...] et en obtenir la copie". En clair, des agents de l'Etat chargés de traiter les dossiers de plainte pourront obtenir l'identité des internautes suspectés de contrefaçon sans passer par la voie judiciaire jusque là obligatoire. Les dérives sont immédiatement imaginables, puisqu'il suffira de déposer une plainte même fumeuse en contrefaçon pour que l'Etat obtienne sans contrôle du juge l'identité d'un internaute, sans d'ailleurs que celui-ci n'en soit informé. Malaise. De plus, la question de la présence ou non d'un membre de la CNIL dans le collège de la Haute Autorité est toujours en débat, signe que sa présence pourrait gêner le travail de la Haute Autorité.

Par ailleurs, le déséquilibre semble criant dans la procédure de la riposte graduée, puisque si les internautes peuvent présenter leurs observations et demander une audition pour se défendre, "la commission n'est pas tenue de satisfaire les demandes d'audition abusives, notamment par leur nombre, leur caractère répétitif ou systématique". C'est une traduction de la présomption de culpabilité. Tout le monde est coupable par défaut, et si tout le monde se dit innocent, on refusera d'entendre. Et qui jugera du caractère ou non abusif des demandes ? Heureusement, l'internaute qui se sent lésé pourra toutefois introduire un recours suspensif devant la juridiction administrative, qui disposera de deux mois pour rendre sa décision, mais sans grande chance de succès. Il devra en effet parvenir à prouver l'improuvable, en démontrant par exemple que son accès à Internet a été piraté (ce qui n'est pas compliqué par le Wifi), ou qu'il avait bien installé les outils de protection fournis par son FAI lorsque l'infraction constatée a eu lieu. En pratique, ce sera impossible.

Enfin, la question largement posée du paiement de l'accès à Internet ou des frais de résiliation en cas de suspension de l'abonnement a été tranchée. L'avant-projet de loi dispose explicitement que "la suspension de l'accès à Internet ne donne pas lieu à la suspension du versement de son prix au fournisseur du service", et que "les frais de résiliation sont supportés par le titulaire de l'accès". Donc pour le bon père de famille ignorant des nouvelles technologies, non seulement son accès sera rompu, non seulement il ne saura ou ne pourra pas se défendre, mais en plus il devra payer. Et avec le sourire, s'il vous plait, pour le tableau de chasse de l'industrie culturelle.

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #472
La suspension d'abonnement Internet devrait être déclarée anticonstitutionnelle au finale non ? Après tout, si un enfant télécharge illégalement et se fait griller, la suspension d'abonnement impacterait sur la famille entière, et je crois que la Constitution, ou au pire la Cours Européenne des Droits de l'Homme ne vont pas du tout autoriser ça, et heureusement.

Sanctionner un foyer entier pour un acte illégal commis par l'un des membres du foyer, ça ne va pas être possible !

Quant aux DRM, ils n'ont AUCUN avenir, et même les majors du disque commencent à le réaliser.
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Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #473
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L'avant-projet de loi dispose explicitement que "la suspension de l'accès à Internet ne donne pas lieu à la suspension du versement de son prix au fournisseur du service", et que "les frais de résiliation sont supportés par le titulaire de l'accès". Donc pour le bon père de famille ignorant des nouvelles technologies, non seulement son accès sera rompu, non seulement il ne saura ou ne pourra pas se défendre, mais en plus il devra payer. Et avec le sourire, s'il vous plait, pour le tableau de chasse de l'industrie culturelle.


:croa:

Mais bien sûr  :ptdr:
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #474
Des soupçons de piratage dans les rayons de la FNAC
:whip:
http://www.pcinpact.com/actu/news/42067-fnac-wow-masterplan-SACEM-canard.htm

Quote
De son côté, la FNAC explique au journal satirique en vente dans les bonnes presses que « nous achetons 262 000 références par an et nous avons plus de 600 fournisseurs. Ils savent ce qu’ils nous vendent, ils sont responsables. C’est à eux d’être honnêtes. On ne va pas, à chaque commande, demander au fournisseur qu’il nous prouve que son produit possède toutes les autorisations. Maintenant, si quelqu’un nous prouve qu’il n’est pas légal, on le retire des rayons ».

Proposons donc aux P2Pistes de faire de cette réponse leur argument de défense lorsque ces cohortes d’agents publics préconisées par Denis Olivennes viendront couper leur abonnement, ciseaux à la main : « prouvez-moi que ce titre est illicite, et j’effacerai le fichier ! ». Après la riposte graduée, la riposte contrariée ?


Connard  :roule:
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Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #475
Et c'est pas la première fois, ils avaient pas mis en vente des coffrets HK du 12Kyû pendant un moment? :mouais:

Pis j'adore la façon qu'ils ont de se dédouaner sur les fournisseurs:

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nous achetons 262 000 références par an et nous avons plus de 600 fournisseurs. Ils savent ce qu’ils nous vendent, ils sont responsables. C’est à eux d’être honnêtes. On ne va pas, à chaque commande, demander au fournisseur qu’il nous prouve que son produit possède toutes les autorisations. Maintenant, si quelqu’un nous prouve qu’il n’est pas légal, on le retire des rayons


Et après ça ose traiter les ceusses qui téléchargent comme des criminels de la pire espèce  :yaisse:
Si ça ne marche pas comme vous voulez, plaignez-vous jusqu'à ce que vous obteniez satisfaction :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #476

Des soupçons de piratage dans les rayons de la FNAC
:whip:
http://www.pcinpact.com/actu/news/42067-fnac-wow-masterplan-SACEM-canard.htm

Quote
De son côté, la FNAC explique au journal satirique en vente dans les bonnes presses que « nous achetons 262 000 références par an et nous avons plus de 600 fournisseurs. Ils savent ce qu’ils nous vendent, ils sont responsables. C’est à eux d’être honnêtes. On ne va pas, à chaque commande, demander au fournisseur qu’il nous prouve que son produit possède toutes les autorisations. Maintenant, si quelqu’un nous prouve qu’il n’est pas légal, on le retire des rayons ».

Proposons donc aux P2Pistes de faire de cette réponse leur argument de défense lorsque ces cohortes d’agents publics préconisées par Denis Olivennes viendront couper leur abonnement, ciseaux à la main : « prouvez-moi que ce titre est illicite, et j’effacerai le fichier ! ». Après la riposte graduée, la riposte contrariée ?


Connard  :roule:
Complètement d'accord , c'est du foutage de gueule la..

Sinon, concernant les ventes liées OS / PC, pour se faire remboruser la license : http://www.racketiciel.info/guide/index et un arret de justice qui peut faire du bruit : http://www.pcinpact.com/actu/news/42079-vente-liee-PC-OS-ASUS.htm?vc=1&ca=1&p=13#c1537163
  • Une personne qui n'a jamais commis d'erreurs n'a jamais tenté d'innover. - Albert Einstein
  • La terre n'est pas un don de nos parents, ce sont nos enfants qui nous la prêtent...

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #477


Sinon, concernant les ventes liées OS / PC, pour se faire remboruser la license : http://www.racketiciel.info/guide/index et un arret de justice qui peut faire du bruit : http://www.pcinpact.com/actu/news/42079-vente-liee-PC-OS-ASUS.htm?vc=1&ca=1&p=13#c1537163

Qu'est ce qu'on est censé lire ? Ton commentaire ou l'article en question ?  :harhar:
Sinon question tout bete : la dite cliente a t'elle tout simplement demandé si il lui était possible d'avoir le portable sans OS avant d'acheter ?
Parceque mon premier portable (ASUS, également), je l'ai demandé (et on me l'avait proposé) sans XP que j'avais déja, et l'ai donc payé moins cher.
Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #478


Cependant, il y a quelques programmes qui permettent facilement de retirer ces DRM, donc ce n'est pas vraiment un problème (même si je le concois, on ne devrait pas avoir à retirer la protection sur un truc qu'on a acheté et qu'on utilise de façon légale).

Sauf que faire ça est totalement illégal depuis les lois DADVSI.


J'avais zappé cette réponse tiens, je viens de voir en relisant un peu.

Evidemment, c'est illégal, mais bon, personnellement, ce n'est pas ça qui m'arrête (surtout quand t'as payé le fichier).

(Comme le rip (qui outre-passe la protection des DVDS) qui est, ou était en tout cas, interdit).

Re: Re: DADVSI, HADOPI, Big Brother, censure : non au pillage des artistes !

Reply #479
la loi Olivennes sera présentée en urgence au parlement au mois d'avril...

C'est sûr que d'empêcher les vilains pirates de télécharger la Star Ac et compagnie, c'est d'une urgence absolue et ça mérite un tel branle-bas de combat, oulalaaaaaaa :o
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