Allez un petit topic pour faire plez au petit Kgeg :P.
Surtout que là je me suis refait all monsters attack :yes:. Allez petit topo sur la bebete.
Iiiiiiiiiiih !!!!!Ahhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!! Boum !!!! Reboum !!! Voici la situation : d’un coté des cris de gens terrorisés et de l’autre des bruits d’explosion et de destruction. Donc la question que l'on vous pose est la suivante : pourquoi avons nous de tels cris et bruits assourdissants dans ce topic ? La réponse est simple, parce que aujourd’hui nous allons vous parler d’un gros lézard connu sous le petit nom de Godzilla ou Gojira en Japonais.
Tout d’abord qui est Godzilla ? Godzilla est avant tout le monstre le plus connu mondialement. Cet énorme reptile de quarante mètres de haut est le personnage japonais le plus exporté sur Terre. Les causes de son succès proviennent de son extraordinaire panel de films, depuis 1954 Godzilla fut à l’affiche de plus de 28 films. Et le succès est toujours au rendez vous.
Crée en 1954 par Tanaka Tomoyuki dans la studios de la Toho, Godzilla est l'un des premiers films marquants dans l’histoire du cinéma japonais après la période de censure américaine. Le film Godzilla (premier du nom) est un film en réponse aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki mais aussi aux expériences nucléaires américaines. Le lézard géant symbolise alors la peur des japonais face à la montée du nucléaire, mais aussi un appel à la défense de la Terre. C’est sous ces bannières qu’est réalisé ce premier grand film qui marquera à jamais les générations. Malheureusement par la suite ce message sera perdu et on n'assistera plus qu’à de simples mises en situation où Godzilla affrontera divers monstres. Mais avant de s’avancer dans sa cinématographie, analysons le monstre.
Même si Godzilla fut créé par des studios, il possède sa propre histoire, même si fictive, on vous l’accorde. Donc Godzilla est un rescapé de l’ère préhistorique. Vivant dans un profond sommeil dans une grotte sous le Pacifique il est réveillé suite aux différents essais nucléaires qui sévissent prés de son antre. C’est ainsi que toute l’énergie développée va le sortir de sa torpeur. Et inévitablement il va attaquer les terres les plus proches. C’est à dire Tokyo. Ainsi on découvrira sa véritable puissance, car en plus de sa masse musculaire il possède une arme redoutable. De sa gueule il crache des jets de flammes qui peuvent atteindre des températures inimaginables. La cause principale de ce développement de puissance vient de son exposition aux radiations nucléaires qui ont modifié son métabolisme. Il se nourrit désormais d’énergie nucléaire pure. Et avant d’attaquer une ville ou une force armée il se rassasie soit d’une centrale nucléaire soit d’un sous-marin nucléaire, qu’il soit russe ou américain, pour lui ça ne change rien. Voilà comment en plein milieu du XX siècle Godzilla reprend vie et devient alors la némésis de dame Nature.
Pour le coté réel, donc studio, Godzilla est le fruit d’interminables discussions entre Tanaka Tomoyuki son papa et Ishirô Honda le réalisateur du premier film. A eux deux ils ont insufflé la vie à ce gigantesque monstre. Et ainsi ils ont ouvert la porte a plusieurs autres monstres, ou Kaijû eiga, comme Mothra le grand papillon protecteur du sol Nippon ou encore Rodan l’oiseau préhistorique. Mais la concurrence se lance aussi, avec les studios Daei qui nous offre Gamera la tortue géante.
Cependant dans les aventures de Godzilla, on peut discerner plusieurs parties et les rassembler en plusieurs groupes. Au premiers coup d’œil le néophyte remarquera que les aventures du grand lézard sont soit lui contre Tokyo, soit un affrontement avec d’autres monstres dans des duels d’anthologie. Mais si on se consacre un peu plus à ces aventures on peut au final mieux les regrouper. Nous avons tout d’abord le Godzilla représentation des erreurs et des horreurs de l’humanité. Son rôle de némésis est parfait. Il représente alors les principales peurs des japonais. Ce qui était la base de sa création. Et c’est ainsi qu’on le voit dans Godzilla en 1954, dans le retour de Godzilla en 1955 et dans le retour de Godzilla en 1985, ce dernier volet étant là pour relancer la machine et offrir une nouvelle chance au monstre après avoir effectué une traversée du désert de 15 ans. Suit alors la catégorie du grand méchant. Son rôle est toujours de faire peur mais Godzilla trouve sur son chemin d’autres monstres qui sont là pour l’empêcher de nuire, comme dans Godzilla versus Mothra en 1964 et en 1992, et aussi Ghidrah, le monstre à trois têtes en 1964, ou encore en 2002 avec Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack. Puis nous le retrouvons dans un autre rôle, celui de protecteur. C’est ainsi que dans Godzilla contre King Ghidora en 1991, ou dans Godzilla contre Space Godzilla en 1994 le monstre joue le rôle de rempart contre les menaces extérieures. En quelque sorte il défend son territoire. Puis vient la catégorie générique des Godzilla versus. Inaugurée en 1962 avec le très célèbre King Kong versus Godzilla. Notre gros lézard va affronter à travers plusieurs films différents monstres qui sont soit issus des anciennes licences de la Toho, soit imaginés pour le bien du film comme SpaceGodzilla Biollante ou encore Destroyah.
Autre que ces aventures, Godzilla c’est aussi la magie du Cinéma. Les effets spéciaux du premier volet sont devenus la marque de fabrique de la série. Que le film date de 1954 ou de 2004 il garde toujours son cachet. Car aujourd’hui dans la tête de tous les fans mais aussi de tout le monde Godzilla c’est un acteur déguisé, les villes sont de bonnes vieilles maquettes et les plans sont toujours filmés de la même façon. Nous devons ces bases à Ishiro Honda qui signa le tout premier Godzilla. Mais il ne se contenta pas que d’une seule participation, il a réalisé au total sept volets dont le célèbre King Kong versus Godzilla, Mothra contre Godzilla ou encore MechaGodzilla contre attaque.
On ne remerciera jamais assez Ishiro Honda pour ces moments de magie. Certes aujourd’hui on rigole face à de tels clichés mais en 1954 c’était une véritable révolution. Fini les marionnettes, place aux costumes et au réalisme. Tout le savoir faire japonais fut mis à contribution pour retranscrire les idées de Ishiro Honda. Costumes, maquettes et effets spéciaux sont utilisés pour parfaire ce qui par la suite deviendra un monument des films de monstres.
Aujourd’hui plus de cinquante ans ont passé et notre lézard a grandi, il mesure désormais cent mètres de hauts suite à l’expansion urbaine. Car il ne faut pas oublier que Godzilla est né pour détruire, donc si aujourd’hui il se retrouve plus petit que les principaux bâtiments, il n’y a plus de magie. Mais il a aussi voyagé, et après Tokyo et Hong-Kong, c’est New York qui subit ses ravages. En 1998 Roland Emmrich adapte le lézard dans une nouvelle aventure où les responsables de sa mutation sont les français. Mais aussi durant la fin des années quatre-vingt-dix et le début des années deux mille la Toho lance plusieurs films plus ou moins en relation avec les premiers Godzilla, pour les fans. On retrouve alors éternels clichés qui sont le professeur et sa fille qui retournent terre et mer pour contrer et étudier Godzilla. Mais aussi une lutte de survie contre les ravages de ce monstre. C’est en 2004 qu’est sorti le dernier volet, Godzilla Final War, réalisée par Ryuhei Kitamura.
Godzilla a réussi aussi à sortir du Cinéma : tout d’abord des groupes lui ont rendu hommage comme Sépultura avec son terrible Biotech is Godzilla, Lostprophet avec Your are japan, We are Godzilla, ou encore le jeune groupe de Métal Gojira. De part et d’autre Godzilla est respecté est adulé. Depuis plus de cinquante ans il rayonne (ou piétine) sur le Japon, il s’exporte par delà les mers et il se décline sous plusieurs versions : jouets, jeux vidéos et dessin animé.
Mais il reste pour les yeux du public ce grand monstre devastateur, né pour annhiler Tokyo et mettre à mal le génie humain.
Cinématographie :
• 1954 : Godzilla (Gojira) , de Ishirô Honda
• 1955 : Le Retour de Godzilla (Gojira no gyakushû) , de Motoyoshi Oda
• 1962 : King Kong vs Gozilla (Kingu Kongu tai Gojira) , de Ishirô Honda
• 1964 : Mothra contre Godzilla (Mosura tai Gojira) , de Ishirô Honda
• 1964 : Ghidrah, le monstre à trois têtes (San daikaijû: Chikyu saidai no kessen) , de Ishirô Honda
• 1965 : Invasion Planète X (Kaijû daisenso) , de Ishirô Honda
• 1966 : Godzilla, Ebirah et Mothra: Duel dans les mers du sud (Gojira, Ebirâ, Mosura: Nankai no daiketto), de Jun Fukuda
• 1967 : Le Fils de Godzilla (Kaijûtô no kessen: Gojira no musuko), de Jun Fukuda
• 1968 : Les Envahisseurs attaquent (Kaijû sôshingeki), de Ishirô Honda
• 1969 : Godzilla's Revenge (Gojira-Minira-Gabara: Oru kaijû daishingeki), de Ishirô Honda
• 1971 : Godzilla vs Hedora (Gojira tai Hedorâ), de Yoshimitsu Banno
• 1972 : Godzilla vs Gigan (Chikyû kogeki meirei: Gojira tai Gaigan), de Jun Fukuda
• 1973 : Godzilla vs Megalon (Gojira tai Megaro), de Jun Fukuda
• 1974 : Godzilla vs Mechagodzilla (Gojira tai Mekagojira), de Jun Fukuda
• 1975 : Mechagodzilla contre-attaque (Mekagojira no gyakushu), de Ishirô Honda
• 1984 : Le Retour de Godzilla (Gojira), de Koji Hashimoto
• 1989 : Godzilla vs Biollante (Gojira tai Biorante), de Kazuki Omori
• 1991 : Godzilla vs King Ghidorah (Gojira tai Kingu Gidorâ), de Kazuki Omori
• 1992 : Godzilla vs Mothra (Gojira tai Mosura), de Takao Okawara
• 1993 : Godzilla vs Mechagodzilla II (Gojira VS Mekagojira), de Takao Okawara
• 1994 : Godzilla vs Space Godzilla (Gojira VS Supesugojira), de Kensho Yamashita
• 1995 : Godzilla vs Destroyah (Gojira VS Desutoroia), de Takao Okawara
• 1999 : Godzilla 2000 (Gojira ni-sen mireniamu), de Takao Okawara
• 2000 : Godzilla X Megaguirus (Gojira tai Megagirasu: Jî shômetsu sakusen), de Masaaki Tezuka
• 2001 : Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack (Gojira, Mosura, Kingu Gidorâ: Daikaijû sôkôgeki), de Shusuke Kaneko
• 2002 : Godzilla X Mechagodzilla (Gojira tai Mekagojira), de Masaaki Tezuka
• 2003 : Godzilla, Mothra, Mechagodzilla: Tokyo S.O.S. (Gojira tai Mosura tai Mekagojira: Tôkyô S.O.S.), de Masaaki Tezuka
• 2004 : Godzilla: Final Wars (Gojira: Fainaru uôzu), de Ryuhei Kitamura
Surtout que là je me suis refait all monsters attack :yes:. Allez petit topo sur la bebete.
Iiiiiiiiiiih !!!!!Ahhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!! Boum !!!! Reboum !!! Voici la situation : d’un coté des cris de gens terrorisés et de l’autre des bruits d’explosion et de destruction. Donc la question que l'on vous pose est la suivante : pourquoi avons nous de tels cris et bruits assourdissants dans ce topic ? La réponse est simple, parce que aujourd’hui nous allons vous parler d’un gros lézard connu sous le petit nom de Godzilla ou Gojira en Japonais.
Tout d’abord qui est Godzilla ? Godzilla est avant tout le monstre le plus connu mondialement. Cet énorme reptile de quarante mètres de haut est le personnage japonais le plus exporté sur Terre. Les causes de son succès proviennent de son extraordinaire panel de films, depuis 1954 Godzilla fut à l’affiche de plus de 28 films. Et le succès est toujours au rendez vous.
Crée en 1954 par Tanaka Tomoyuki dans la studios de la Toho, Godzilla est l'un des premiers films marquants dans l’histoire du cinéma japonais après la période de censure américaine. Le film Godzilla (premier du nom) est un film en réponse aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki mais aussi aux expériences nucléaires américaines. Le lézard géant symbolise alors la peur des japonais face à la montée du nucléaire, mais aussi un appel à la défense de la Terre. C’est sous ces bannières qu’est réalisé ce premier grand film qui marquera à jamais les générations. Malheureusement par la suite ce message sera perdu et on n'assistera plus qu’à de simples mises en situation où Godzilla affrontera divers monstres. Mais avant de s’avancer dans sa cinématographie, analysons le monstre.
Même si Godzilla fut créé par des studios, il possède sa propre histoire, même si fictive, on vous l’accorde. Donc Godzilla est un rescapé de l’ère préhistorique. Vivant dans un profond sommeil dans une grotte sous le Pacifique il est réveillé suite aux différents essais nucléaires qui sévissent prés de son antre. C’est ainsi que toute l’énergie développée va le sortir de sa torpeur. Et inévitablement il va attaquer les terres les plus proches. C’est à dire Tokyo. Ainsi on découvrira sa véritable puissance, car en plus de sa masse musculaire il possède une arme redoutable. De sa gueule il crache des jets de flammes qui peuvent atteindre des températures inimaginables. La cause principale de ce développement de puissance vient de son exposition aux radiations nucléaires qui ont modifié son métabolisme. Il se nourrit désormais d’énergie nucléaire pure. Et avant d’attaquer une ville ou une force armée il se rassasie soit d’une centrale nucléaire soit d’un sous-marin nucléaire, qu’il soit russe ou américain, pour lui ça ne change rien. Voilà comment en plein milieu du XX siècle Godzilla reprend vie et devient alors la némésis de dame Nature.
Pour le coté réel, donc studio, Godzilla est le fruit d’interminables discussions entre Tanaka Tomoyuki son papa et Ishirô Honda le réalisateur du premier film. A eux deux ils ont insufflé la vie à ce gigantesque monstre. Et ainsi ils ont ouvert la porte a plusieurs autres monstres, ou Kaijû eiga, comme Mothra le grand papillon protecteur du sol Nippon ou encore Rodan l’oiseau préhistorique. Mais la concurrence se lance aussi, avec les studios Daei qui nous offre Gamera la tortue géante.
Cependant dans les aventures de Godzilla, on peut discerner plusieurs parties et les rassembler en plusieurs groupes. Au premiers coup d’œil le néophyte remarquera que les aventures du grand lézard sont soit lui contre Tokyo, soit un affrontement avec d’autres monstres dans des duels d’anthologie. Mais si on se consacre un peu plus à ces aventures on peut au final mieux les regrouper. Nous avons tout d’abord le Godzilla représentation des erreurs et des horreurs de l’humanité. Son rôle de némésis est parfait. Il représente alors les principales peurs des japonais. Ce qui était la base de sa création. Et c’est ainsi qu’on le voit dans Godzilla en 1954, dans le retour de Godzilla en 1955 et dans le retour de Godzilla en 1985, ce dernier volet étant là pour relancer la machine et offrir une nouvelle chance au monstre après avoir effectué une traversée du désert de 15 ans. Suit alors la catégorie du grand méchant. Son rôle est toujours de faire peur mais Godzilla trouve sur son chemin d’autres monstres qui sont là pour l’empêcher de nuire, comme dans Godzilla versus Mothra en 1964 et en 1992, et aussi Ghidrah, le monstre à trois têtes en 1964, ou encore en 2002 avec Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack. Puis nous le retrouvons dans un autre rôle, celui de protecteur. C’est ainsi que dans Godzilla contre King Ghidora en 1991, ou dans Godzilla contre Space Godzilla en 1994 le monstre joue le rôle de rempart contre les menaces extérieures. En quelque sorte il défend son territoire. Puis vient la catégorie générique des Godzilla versus. Inaugurée en 1962 avec le très célèbre King Kong versus Godzilla. Notre gros lézard va affronter à travers plusieurs films différents monstres qui sont soit issus des anciennes licences de la Toho, soit imaginés pour le bien du film comme SpaceGodzilla Biollante ou encore Destroyah.
Autre que ces aventures, Godzilla c’est aussi la magie du Cinéma. Les effets spéciaux du premier volet sont devenus la marque de fabrique de la série. Que le film date de 1954 ou de 2004 il garde toujours son cachet. Car aujourd’hui dans la tête de tous les fans mais aussi de tout le monde Godzilla c’est un acteur déguisé, les villes sont de bonnes vieilles maquettes et les plans sont toujours filmés de la même façon. Nous devons ces bases à Ishiro Honda qui signa le tout premier Godzilla. Mais il ne se contenta pas que d’une seule participation, il a réalisé au total sept volets dont le célèbre King Kong versus Godzilla, Mothra contre Godzilla ou encore MechaGodzilla contre attaque.
On ne remerciera jamais assez Ishiro Honda pour ces moments de magie. Certes aujourd’hui on rigole face à de tels clichés mais en 1954 c’était une véritable révolution. Fini les marionnettes, place aux costumes et au réalisme. Tout le savoir faire japonais fut mis à contribution pour retranscrire les idées de Ishiro Honda. Costumes, maquettes et effets spéciaux sont utilisés pour parfaire ce qui par la suite deviendra un monument des films de monstres.
Aujourd’hui plus de cinquante ans ont passé et notre lézard a grandi, il mesure désormais cent mètres de hauts suite à l’expansion urbaine. Car il ne faut pas oublier que Godzilla est né pour détruire, donc si aujourd’hui il se retrouve plus petit que les principaux bâtiments, il n’y a plus de magie. Mais il a aussi voyagé, et après Tokyo et Hong-Kong, c’est New York qui subit ses ravages. En 1998 Roland Emmrich adapte le lézard dans une nouvelle aventure où les responsables de sa mutation sont les français. Mais aussi durant la fin des années quatre-vingt-dix et le début des années deux mille la Toho lance plusieurs films plus ou moins en relation avec les premiers Godzilla, pour les fans. On retrouve alors éternels clichés qui sont le professeur et sa fille qui retournent terre et mer pour contrer et étudier Godzilla. Mais aussi une lutte de survie contre les ravages de ce monstre. C’est en 2004 qu’est sorti le dernier volet, Godzilla Final War, réalisée par Ryuhei Kitamura.
Godzilla a réussi aussi à sortir du Cinéma : tout d’abord des groupes lui ont rendu hommage comme Sépultura avec son terrible Biotech is Godzilla, Lostprophet avec Your are japan, We are Godzilla, ou encore le jeune groupe de Métal Gojira. De part et d’autre Godzilla est respecté est adulé. Depuis plus de cinquante ans il rayonne (ou piétine) sur le Japon, il s’exporte par delà les mers et il se décline sous plusieurs versions : jouets, jeux vidéos et dessin animé.
Mais il reste pour les yeux du public ce grand monstre devastateur, né pour annhiler Tokyo et mettre à mal le génie humain.
Cinématographie :
• 1954 : Godzilla (Gojira) , de Ishirô Honda
• 1955 : Le Retour de Godzilla (Gojira no gyakushû) , de Motoyoshi Oda
• 1962 : King Kong vs Gozilla (Kingu Kongu tai Gojira) , de Ishirô Honda
• 1964 : Mothra contre Godzilla (Mosura tai Gojira) , de Ishirô Honda
• 1964 : Ghidrah, le monstre à trois têtes (San daikaijû: Chikyu saidai no kessen) , de Ishirô Honda
• 1965 : Invasion Planète X (Kaijû daisenso) , de Ishirô Honda
• 1966 : Godzilla, Ebirah et Mothra: Duel dans les mers du sud (Gojira, Ebirâ, Mosura: Nankai no daiketto), de Jun Fukuda
• 1967 : Le Fils de Godzilla (Kaijûtô no kessen: Gojira no musuko), de Jun Fukuda
• 1968 : Les Envahisseurs attaquent (Kaijû sôshingeki), de Ishirô Honda
• 1969 : Godzilla's Revenge (Gojira-Minira-Gabara: Oru kaijû daishingeki), de Ishirô Honda
• 1971 : Godzilla vs Hedora (Gojira tai Hedorâ), de Yoshimitsu Banno
• 1972 : Godzilla vs Gigan (Chikyû kogeki meirei: Gojira tai Gaigan), de Jun Fukuda
• 1973 : Godzilla vs Megalon (Gojira tai Megaro), de Jun Fukuda
• 1974 : Godzilla vs Mechagodzilla (Gojira tai Mekagojira), de Jun Fukuda
• 1975 : Mechagodzilla contre-attaque (Mekagojira no gyakushu), de Ishirô Honda
• 1984 : Le Retour de Godzilla (Gojira), de Koji Hashimoto
• 1989 : Godzilla vs Biollante (Gojira tai Biorante), de Kazuki Omori
• 1991 : Godzilla vs King Ghidorah (Gojira tai Kingu Gidorâ), de Kazuki Omori
• 1992 : Godzilla vs Mothra (Gojira tai Mosura), de Takao Okawara
• 1993 : Godzilla vs Mechagodzilla II (Gojira VS Mekagojira), de Takao Okawara
• 1994 : Godzilla vs Space Godzilla (Gojira VS Supesugojira), de Kensho Yamashita
• 1995 : Godzilla vs Destroyah (Gojira VS Desutoroia), de Takao Okawara
• 1999 : Godzilla 2000 (Gojira ni-sen mireniamu), de Takao Okawara
• 2000 : Godzilla X Megaguirus (Gojira tai Megagirasu: Jî shômetsu sakusen), de Masaaki Tezuka
• 2001 : Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack (Gojira, Mosura, Kingu Gidorâ: Daikaijû sôkôgeki), de Shusuke Kaneko
• 2002 : Godzilla X Mechagodzilla (Gojira tai Mekagojira), de Masaaki Tezuka
• 2003 : Godzilla, Mothra, Mechagodzilla: Tokyo S.O.S. (Gojira tai Mosura tai Mekagojira: Tôkyô S.O.S.), de Masaaki Tezuka
• 2004 : Godzilla: Final Wars (Gojira: Fainaru uôzu), de Ryuhei Kitamura