- Genre : Vaccin contre fanfics yaoi – La minute Blonde
- Auteur : Norihiro Yagi
- Nb de volumes : 12 (en cours de parution)
- Editeur fr : Glénat (4 vols)
- Adaptation animée par : Madhouse
- Nb d’épisodes prévus : 26
Histoire :
Le monde est infesté de vilaine bestioles dévoreuses d'humains nommés "Yoma". Biensur le commun des mortels ne peut rien contre ces créatures maaaaalllééééfiiiiiiiiiques et vit dans la torpeur. Le seul espoir de la populasse réside en un groupe de chasseurs spécialisés dans l'execution de ces sales bêtes : les Claymores. Mi humains, mi Yoma, le regard d'argent de ces chasseurs pétrifie de peur qui le croise et vire au doré quand la fête commence.
Clare, notre héroïne, est l’une de ces « sorcières ». Taciturne, monolithique, elle tranche du yoma de ville en ville. Mais elle n’est pas pour autant insensible car un beau jour, elle prend sous son aile un jeune garçon qu’elle a sauvé lors d’une de ses missions.
C’est Clare et Raki, c’est Raki et Clare… L’une guerrière, l’autre ancre du Titanic. Ainsi commence l’histoire.
Avis :
Rien de révolutionnaire mais une histoire qui, passée une phase d’introduction assez pénible parvient à imposer sa patte et à dévoiler ses qualités.
Un scenar’, certes plutôt linéaire mais dont les péripéties sont intéressantes. Ce dernier monte en puissance au fil des volumes et l’intrigue se densifie. Pas de quoi fouetter un chat mais suffisamment pour qu’on ait, à chaque fin de volume/épisode, envie de voir le suivant. Des persos taillés pour être « classes ». A la Saint Seiya, chacun aura sa préférée mais le débat de « kissé la plus forte » n’a pas lieu d’être vu que la question est réglée dès le départ. Et là on applaudit des d’une main, l’autre tenant la tasse de thé, le génie anticipatoire de Mr Yagi.
Côté anime, l’animation made in Madhouse se situe dans la bonne moyenne avec ses hauts lors des épisodes clés (voire même très haut dans les épisodes 7 et 8 par exemple) et ses bas. Le charadesign part de la version la plus évoluée du manga et a plutôt de la gueule. Pas de gros yeux, pas de nez à 2 traits, l’honneur est sauf. On pourrait regretter quand même une musique pas à la hauteur et une certaine paresse de la part des scénaristes de l’anime qui font trop littéral par rapport au support… sauf quand il faut couper des bouts pour faire tenir l’épisode en 20 minutes.
En résumé donc pas l’œuvre de l’année mais qui se suit sans déplaisir. Ça tranche, ça se tappe sur la gueule à coup de poses et badass attitude et pour une fois, c’est du 100% filles. Que demander de plus ? Une glace, bien entendu.
- Auteur : Norihiro Yagi
- Nb de volumes : 12 (en cours de parution)
- Editeur fr : Glénat (4 vols)
- Adaptation animée par : Madhouse
- Nb d’épisodes prévus : 26
Histoire :
Le monde est infesté de vilaine bestioles dévoreuses d'humains nommés "Yoma". Biensur le commun des mortels ne peut rien contre ces créatures maaaaalllééééfiiiiiiiiiques et vit dans la torpeur. Le seul espoir de la populasse réside en un groupe de chasseurs spécialisés dans l'execution de ces sales bêtes : les Claymores. Mi humains, mi Yoma, le regard d'argent de ces chasseurs pétrifie de peur qui le croise et vire au doré quand la fête commence.
Clare, notre héroïne, est l’une de ces « sorcières ». Taciturne, monolithique, elle tranche du yoma de ville en ville. Mais elle n’est pas pour autant insensible car un beau jour, elle prend sous son aile un jeune garçon qu’elle a sauvé lors d’une de ses missions.
C’est Clare et Raki, c’est Raki et Clare… L’une guerrière, l’autre ancre du Titanic. Ainsi commence l’histoire.
Avis :
Rien de révolutionnaire mais une histoire qui, passée une phase d’introduction assez pénible parvient à imposer sa patte et à dévoiler ses qualités.
Un scenar’, certes plutôt linéaire mais dont les péripéties sont intéressantes. Ce dernier monte en puissance au fil des volumes et l’intrigue se densifie. Pas de quoi fouetter un chat mais suffisamment pour qu’on ait, à chaque fin de volume/épisode, envie de voir le suivant. Des persos taillés pour être « classes ». A la Saint Seiya, chacun aura sa préférée mais le débat de « kissé la plus forte » n’a pas lieu d’être vu que la question est réglée dès le départ. Et là on applaudit des d’une main, l’autre tenant la tasse de thé, le génie anticipatoire de Mr Yagi.
Côté anime, l’animation made in Madhouse se situe dans la bonne moyenne avec ses hauts lors des épisodes clés (voire même très haut dans les épisodes 7 et 8 par exemple) et ses bas. Le charadesign part de la version la plus évoluée du manga et a plutôt de la gueule. Pas de gros yeux, pas de nez à 2 traits, l’honneur est sauf. On pourrait regretter quand même une musique pas à la hauteur et une certaine paresse de la part des scénaristes de l’anime qui font trop littéral par rapport au support… sauf quand il faut couper des bouts pour faire tenir l’épisode en 20 minutes.
En résumé donc pas l’œuvre de l’année mais qui se suit sans déplaisir. Ça tranche, ça se tappe sur la gueule à coup de poses et badass attitude et pour une fois, c’est du 100% filles. Que demander de plus ? Une glace, bien entendu.