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Sujet: Captain Tsubasa  (Lu 11357 fois) sujet précédent - sujet suivant

Re: Captain Tsubasa

Répondre #45
En autres les scènes où il y a des scrollings de scores de matchs en Japonais qui défilent sur tout l'écran, et visiblement oui, un ou deux morceaux lorsque Wakabayashi se fracasse la tête dans le poteau, et peut-être des scènes trop mal dessinés, ça avait été le cas sur Nadia par exemple et probablement sur d'autres animes.

Il y a aussi visiblement quelques rares scènes en VOSTF alors qu'elles ont été doublées à l'époque, mais n'était pas présentes dans les bandes VF que l'éditeur à récupérer.


Re: Captain Tsubasa

Répondre #47
Je pique !
" En France, les peines d'argent durent plus longtemps que les peines
de coeur et se transmettent de génération en génération. "

 ( Silhouette du scandale )
Aymé, Marcel

Re: Captain Tsubasa

Répondre #48


On devrait pouvoir bien se marrer avec un film live CT :mdr2:
When you know that your time is close to hand, maybe then you'll begin to understand, Life down here is just a strange illusion. S. Harris

Re: Captain Tsubasa

Répondre #49
Enorme  :mdr2:


... et Omni me fit pourvoyeur en anus fruités :classe:

Re: Captain Tsubasa

Répondre #50
Mon fils qui a dépassé les 3 ans et demis commence à être attiré par la foutritude des DA de foot qui existent en ce moment : Galactic Football, Inazuma Eleven, Foot2Rue... Bref que des daubes. C'est marrant car les bonhommes ont des super pouvoirs, mais honnêtement ça casse pas trois briques sur un canard.

Et moi du coup, je me suis remis à Capitaine Atton -pardon- Captain Tsubasa. C'est marrant, car pour moi Tsubasa c'est vraiment que le nom d'un DA, pas d'un personnage. Olivier Atton, Thomas Praïce (je n'invente rien), Bruce Harper, Ben Becker... Tout ça c'est des noms tellement incrusté dans moi que je n'imagine pas qu'ils puissent d'appeler autrement ailleurs. Bref là j'en suis à la sélection régionale, le premier championnat va bientôt commencer. Olivier et Ben sont potes, Thomas est blessé, on vient de rencontrer Landers, etc.

Franchement, je l'ai regardé un peu pour savoir ce que ça vaut en 2013, pour voir si ça vaut le coup de lui montrer, mais maintenant je sais que c'est vraiment une oeuvre extra-ordinaire. Et je ne parle que du DA car je n'ai jamais lu le manga. Quand je pense que c'était dans les années 80... C'est incroyable la qualité d'un anime de 30 ans comparé à ce qu'il se passe de nos jours. Moi je forcerais tout ceux qui créent des DA actuels à matter ça tellement c'est génial : les dessins, à la main, des vrais dessins, sont très bons ! Alors bien sûr ce sont tous des caricatures, mais il n'y a pas de plans statiques, il n'y a pas de plans réutilisés à outrance, les plans lointains ne sont pas la honte de l'animation (suivez mon regard vers une lettre de l'alphabet grecque)... Alors bien sûr la production n'est pas à la hauteur de ce qu'il se fait maintenant, pas de CGI, pas de super effets chiadés, tout ça... Mais bon sang c'est terrible.

Et puis c'est dingue la qualité du scénar, tous les personnages sont beaux, bien construits... Attention, je sais bien et je ne dirais jamais le contraire que ce n'est pas un DA réaliste, mais ça n'en a jamais été le but. D'un autre côté, ils jouent aux foot de manière beaucoup plus réaliste que les superpouvoirs des animes actuels. Et puis c'est quand même fort creusé, entre Roberto bientôt aveugle (c'est dingue, je n'avais jamais prêté attention à ce détail étant gosse), les rivalités féminines entre les fangirls...

Bon c'est bourré de conneries, mais c'est aussi ça qui fait le plaisir de la chose. C'est une dizaine d'années après avoir rempli l'album panini (le seul à part le roi lion en 1994 :o) que j'ai compris pourquoi il y avait des dessins bizarres sur les T-shirts de la New Pie (pas la New Team, hein), ou pourquoi c'était toujours écrit en français verticalement dans les images. Les incrustations... Les incrustations quoi !!! Vous vous rendez compte, vous ou pas, du recul énorme qu'il y a eu sur ce point ? On avait des dessins animés dont il était impossible de savoir que ce n'était pas des français, quand on était petit ! Maintenant, quand il y a des sous-titres français on peut dire qu'on est chanceux, mais à l'époque... bref.

Bref oui, je ne peux pas passer mon temps à tout vous raconter, car là les Mupettes (dixit) viennent réclamer Landers pour affronter la New Team. Quel look pourri quand on y pense, avec son pantalon remonté jusqu'aux genoux (caïra avant l'heure, 20 ans avant l'heure). Et Dani vient d'arriver aussi. Bref faut que je suive un peu.

En tout cas, je conclue en disant que quand je vois ce qu'il se fait aujourd'hui et ce qu'il se faisait avant, ben je comprends pourquoi on me traite de vieux con. Cf. le sujet Robotech !
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Captain Tsubasa

Répondre #51
Moi j'ai surtout le souvenir d'un terrain de foot de 2000 km de long vu que les gardiens ne pouvaient pas se voir l'un l'autre (cf. courbure de la terre) et que donc il fallait 5 épisodes et dribbler 50 adversaires avant de pouvoir tirer au but. Mais tu as ptet raison quand même :p

Moi je fais découvrir les cités d'or à ma grande, elle accroche pas mal (et moi aussi, je me lasserai jamais de cette BO, de cette histoire géniale)
Je vous sers un ver ?

Re: Captain Tsubasa

Répondre #52

Moi j'ai surtout le souvenir d'un terrain de foot de 2000 km de long vu que les gardiens ne pouvaient pas se voir l'un l'autre (cf. courbure de la terre) et que donc il fallait 5 épisodes et dribbler 50 adversaires avant de pouvoir tirer au but. Mais tu as ptet raison quand même :p

Moi je fais découvrir les cités d'or à ma grande, elle accroche pas mal (et moi aussi, je me lasserai jamais de cette BO, de cette histoire géniale)


Je suis retombé sur les premiers épisodes c'est toujours aussi bien !

Sinon j'ai les mêmes souvenirs pour olive et tom ^^
( et le meilleur shonen sportif c'est eyeshield 21 ! )
Vous n'avez aucune passion.

Re : Captain Tsubasa

Répondre #53
Pour la coupe du monde, hulu.jp (service de VOD) a mis en ligne toute l'ancienne série, et j'ai commencé a la visionner. En fait je n'avais pas tout regardé étant petit, mais bigre ce que c'est bon dans le genre dessin animé clairement hétéro et analogique, options plans fixes en crayonnés old school et mise en scène typique des années 80! Les titres transpirent le style viril du manga. Je viens de finir la demi-finale du tournoi des primaires entre Meiwa et Furano, et les épisodes se succèdent avec des titres comme "le 11 ardent du pays du nord", "opposition sanglante", "l"as de verre", "le prince contusionné", etc.

Mais j'aime bien tous les aspects japonais des années 80 dépeints autour :

  • le père capitaine de cargo est une parfaite illustration de la cheville ourvrière en soutien à la forte expansion de l'économie exportatrice nippone de la fin des années 70,

  • le shinkansen pour se rendre au tournoi national et l'étonnement des élèves débarquant à Tokyo. Pour le coup cela rappelle clairement ce que l'on apprenait en cours de géographie à l'école sur le Japon

  • le magasin d'électronique dans la rue de Tokyo où Wakashimazu (mais quelle classe!) surprend des enfants regardant le match de Hanawa,

  • la vie des nobles (Wakabayashi, Misugi) encore vachement occidentalisée (mobilier, architecture) façon vieille aristocratie allemande ou française (on voit aussi cet aspect dans le dernier Miyazaki), en opposition avec la vie tranquille mais qui commence a être dure pour les compatriotes de province (la seule perspective de Ishizaki s'il ne perçe pas dans le football, c'est la reprise des bains familiaux, le lycée technique au mieux, et il en va de même pour un des membres de Nankatsu première époque qui va reprendre le sushiya du père, etc.).

  • la réalité des inégalités territoriales dans un pays qui se perçoit comme égalitaire : Meiwa est un club de Saitama, la banlieue de Tokyo façon Créteil, et Mushashi FC est au contraire un riche club de Tokyo (avec le fan-club de Misugi, rempli de kya-girls!). Pareil pour Toho (avec la recruteuse grande bourgeoise et son acolyte à cravate bleue trop courte qui propose une bourse de 10 ans à Hyuga pour collège-lycée-université!). A cette époque encore, faire partie de la bourgeoisie, c'est s'occidentaliser de façon ostentatoire, et vivre à la capitale (Wakabayashi, dans le genre notable de province, fait ainsi figure d'exception). A l'extrême inverse, l'image dépeinte de Hokkaido (visible par exemple au moment du match entre Meiwa et Furano, mais pas seulement) illustre assez bien la réalite économique de l'ile, avec d'un côté ces constructions de type soviétique (bâtiments parallélépipédique en forme de blocs construits et reproduits à l'identique ou presque, avec des matériaux bons marchés) témoignant de la politique de rattraper le niveau de développement du reste du pays, qui est en train de redevenir une grande puissance mondiale, et de l'autre de vieilles constructions en bois, derniers témoignages de l'époque pionnière de la conquête du pays du nord par les colons japonais. Ainsi quand à l'issue du match Matsuyama évoque de retourner au pays en étant fier de ce que l'équipe à accompli, on comprend que le voyage sera long (en ferry peut-être?) et que Hokkaido est lointaine.

  • La mentalité des jeunes est également très tournée vers le monde, l'ouverture : Tsubasa rêve d'aller au Brésil, Wakabayashi ira en Allemagne, etc. Dans les années 2010, le Japon est au contraire complètement refermé sur lui-même. Le nombre d'étudiants partant à l'étranger ne cesse de diminuer après un pic au début des années 2000 (au contraire des voisins chinois et coréens). Les jeunes qui ont grandi dans les années 80 et avant connaissent tous les Beatles, Metallica, Madonna, Michael Jackson, etc. Interrogez un jeune japonais de maintenant et demandez lui s'il connait ne serait-ce que Lady Gaga, vous serez étonnés de constater que rien ne les interesse vraiment sorti des frontières au niveau culturel. Quant aux provinces, elles sont déjà mortes économiquement ou en train d'agoniser sous injection d'argent public du gouvernement central. Je m'y rend parfois pour le travail et le contraste avec Tokyo est de plus en plus saisissant. La province japonaise façon 2010, c'est Pachinko-Pachinko-Pachinko. Rien d'autre. Les stations essences mises au rebus et les bâtiments délabrés (haikyou) façon Hokuto no Ken ne sont pas que l'appanage de la zone d'évacuation autour de Fukushima.

"Honey badger don't care"

Re : Captain Tsubasa

Répondre #54
C'est pas un peu long à revoir ? Y a quand même de sacrés marathons, non ? :D
(Et sinon je connais très peu de noms VO, donc j'ai du mal à suivre tout ce que tu racontes ^^)
Je vous sers un ver ?

Re : Captain Tsubasa

Répondre #55
Quant aux provinces, elles sont déjà mortes économiquement ou en train d'agoniser sous injection d'argent public du gouvernement central. Je m'y rend parfois pour le travail et le contraste avec Tokyo est de plus en plus saisissant. La province japonaise façon 2010, c'est Pachinko-Pachinko-Pachinko. Rien d'autre. Les stations essences mises au rebus et les bâtiments délabrés (haikyou) façon Hokuto no Ken ne sont pas que l'appanage de la zone d'évacuation autour de Fukushima.


Tiens ça me rappelle un autre pays. J'ai eu l'occasion de me balader il y a peu sur la frontière Auvergne Rhône-Alpes-Auvergne / Limousin Centre-Limousin-Poitou-Charentes, et franchement c'est impressionnant: Maisons fermées, boutiques fermés depuis longtemps, supermarchés vivotants, bourgs sinon vides du moins très calmes. On sent que ces coins sont en train de décliner très fortement, et que la diagonale de vide sera bientôt réellement vide.

Après, pour le repli sur le japon des jeunes japonais, je crains qu'on ait bientôt ça ici.

Re : Captain Tsubasa

Répondre #56

C'est pas un peu long à revoir ? Y a quand même de sacrés marathons, non ? :D
(Et sinon je connais très peu de noms VO, donc j'ai du mal à suivre tout ce que tu racontes ^^)


J'ai moi aussi regardé la série depuis le début il y a pas longtemps. Car la nostalgie me faisait dire que mon fils pourrait aimer aussi.
Mais c'est vrai que c'est long, un peu, quand même, même (et surtout) sans tomber dans les clichés lourdingue sur cette série.

Et puis depuis, j'ai découvert Inazuma Eleven. Et ça ça claque ! :mrgreen: C'est la même chose, mais avec des attaques spéciales façon Saint Seiya. Ca poutre !
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Re : Captain Tsubasa

Répondre #57
Sacrément intéressant ton post Tinou :yaisse:
" En France, les peines d'argent durent plus longtemps que les peines
de coeur et se transmettent de génération en génération. "

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Aymé, Marcel


Re : Captain Tsubasa

Répondre #59
J'en suis a l'episode 74 (avec le Skylab Hurricane des freres Tachibana), et avec le recul voila ce que j'ai pu noter:


  • Sur les matchs tres longs : dans le tournoi des primaires, c'est surtout 2 matchs en fait : Nankatsu VS Musashi (l'equipe de Misugi, qui est malade du coeur), qui doit bien durer une huitaine d'episodes, et la finale contre Meiwa, qui dure 16-17 episodes. Le reste des matchs dure 1, 2 ou 3 episodes au maximum, en tout cas dans cette premiere partie.

  • Sur les clichés de la série et l'absence de réalisme : vrai. Les courses sont interminables, le terrain fait plusieurs centaines de mètres, etc. C'est sûr, c'est présent. Pour autant moi cela ne me dérange pas tellement. Evidemment le délire avec les acrobaties est à prendre avec du recul, on a quitté le domaine du réalisme depuis longtemps. Enfin, moi je me souvenais / j'avais le cliché que l'arbitre ne sifflait jamais faute, mais en fait, si, et uniquement lorsqu'il y a vraiment faute. Les tacles rugueux de Meiwa ou par exemple de Makoto Soda (équipe de Azuma, premier match de Nankatsu dans le tournoi des collèges) sont le plus souvent réguliers : ils jouent la balle en priorité

  • Le tournoi des primaires se passe au Yomiuri Land. Alors que celui des colleges se passe dans plusieurs stades d'une meme prefecture : Saitama. Intéressant.

  • Techniquement parlant la série saute un vrai cran entre les deux périodes. C'est un peu mieux animé dans la seconde partie de la série, et les épisodes moches niveau chara design sont moins nombreux.

  • La finale des primaires (Nankatsu VS Meiwa donc) est longue en episodes, mais passionante, avec le recul. Rappel: dans le tournoi des primaires, les matches durent 40 minutes (2 x 20 minutes). Donc sur 15 episodes evidemment... ca fait long. Mais on a tout de meme dans cette finale une bonne gestion du rythme et de l'intensite : une premiere mi-temps intense et assez epique, avec des actions incroyables (duel de gardien, twin shoot, etc.). La deuxieme mi-temps est psychologique, avec les flashbacks sur plusieurs persos, qui donne beaucoup de fond et de developpement aux personnages. C'est tres bien fait surtout pour Hyuga je trouve. On comprend mieux la hargne avec laquelle il revient au score sur sa tete plongeante contree a bout portant par deux defenseurs. Le flashback sur sa famille et la perte de son pere, gerant d'une feraillerie ayant emprunte de l'argent a des gens peu scrupuleux voir un peu louches, illustre une certaine realite assez crue de la vie reelle des petites gens, qui va a l'encontre du dream model que constitue Tsubasa et sa famille (petit pavillon sympa dans ville calme, ne semblant pas vraiment dans le manque, etc.), mais egalement la solidarite de quelques amis fideles du pere : le gerant du petit udon-ya roulant qui l'embauche pour ranger les caisses de bouteilles de bieres, etc. C'est assez bien chiade. On a aussi des developpements sur le personnage de Misaki, pour moi le meilleur personnage de la série, le plus abouti et le plus développé / intéressant. Ensuite on a la premiere prolongation (2x5 min) ou on revient au physique et a la fatigue des joueurs sous le brulant soleil d'ete. Et puis la deuxieme prolongation, illustrant encore une belle opposition (Wakashimazu fait encore quelques arrets) et la determination de Tsubasa.

  • L'episode ou chacun part de son cote apres la finale est assez touchant je trouve : Roberto bien sur, et surtout pour Misaki qui part avec son pere a Kyushu. Mais avec le ballon signe de ses copains! C'est vraiment bon je trouve. Wakabayashi en fait part en Allemagne suivre Mikami-san (son coach et ancien gardien de l'equipe nationale) qui va faire un stage de 3 ans en Bundesliga pour observer le foot europeen, a la demande de la JFA. En fait on apprend que les parents de Wakabayashi vivent deja a Londres depuis le debut de la serie (c'est pour ca qu'on les voit jamais), et donc negocier de partir en Allemagne est plutot facile puisque ca le rapprochera d'eux.)

  • La dizaine d'episodes de transition entre les deux tournois est ainsi assez bienvenue. Un episode sort vraiment du lot : celui ou on revoit Misaki rencontrer Wakabayashi en Allemagne, et ou on comprend pourquoi Misaki vit en France : le flashback avec son pere a Kyushu, sa mere remariee et le refus de Taro de la revoir, et de suivre son pere. Assez emouvant. Surtout le pere de Taro est bien developpe aussi : le peintre qui a contraint son enfant a le suivre, etc. C'est de plus un episode tres bien dessine, vraiment pas mal. Et puis il y a toujours le cote illustrant le cote social et intrinsequement bon de Misaki quand il joue avec les jeunes de Kyushu, ou il fait rentrer le gros nerd qui est completement nul au foot, mais passionne, malgre sa mere qui vient le chercher pour aller au juku ou faire ses devoirs. Misaki le fait marquer d'une tete plongeante, et sa mere le redecouvre, ses copains l'apprecient, etc. C'est juste genial. Je sais pas trop si les anime actuels ont des passages avec des messages simples et biens comme ca sur le sport, pour les plus jeunes.



"Honey badger don't care"