Coffee Talk
Une petite pépite de jeu narratif, où l’on incarne un barrista en charge de faire toutes sortes de cafés pour les clients. On écoute leur histoire au fil des jours qui passent dans une Seattle pluvieuse. Pixel art, ambiance cosy au rdvs. C’est mignon et fait passer le temps agréablement.
The Pathless
La dernière création de Giant Squid, le studio fondé par les créateurs de Abzû, Journey, Flower, … Visuellement et techniquement plus ambitieux que ses prédécesseurs, The Pathless offre un plongeon dans un monde ouvert superbe, que l’on parcourt en glissant sur les prés en tirant à l’arc, ou alors accroché à son aigle pour des séquences de planeur vertigineuses. C’est un monde ouvert mais vraiment très épuré, sans map ni objectifs indiqués à suivre, ni quêtes fedex. Donc une vraie revisite du genre, avec un design lisse, coloré très chouette. Les séquences avec les boss sont un peu répétitives , mais en une quinzaine d’heures on arrive à compléter le jeu à 100%. Le jeu m’a semblé passer un peu inaperçu en fin d’année dernière, je ne peux que le recommander.
L.A. Cops
Comme je le disais plus haut, si vous aimez les ambiances cartoon, les flics américains dépeints dans les films des années 70 avec grosses lunettes, pattes aux oreilles, les donuts, les gobelets de café, c’est le jeu parfait pour vous. Sur 8 niveaux plus 5 de bonus, on doit en tandem zigouiller tous les truands. Avec une endurance de merde, et des flingues pas terribles au début. Le jeu peut sembler difficile quand on commence, mais très vite on pige que l’IA est très basique, et on arrive à passer. On gagne des points d’XP à répartir sur plusieurs postes pour gagner en compétence. On a le choix du tandem de flics à incarner au début de chaque mission, sachant qu’ils sont tous plus ou moins identiques une fois boostés à fond. Un bon moment, peut-être 5 heures pour tout faire à 100%.
Narita Boy
Que dire que dire… c’est sûr que dans la catégorie pixel art très retro, c’est à tomber, et vaut sans doute le coup juste pour cet aspect si vous le trouvez en promo par exemple. Après, autant l’histoire du créateur du jeu (les « memories » que l’on débloque dans certains lieux secrets - tous ne sont pas trouvables sans un guide je vous préviens) est super intéressante, autant le lore du jeu en lui même est imbitable et roboratif au possible. Je l’ai fini sans m’y intéresser, et c’est peut-être ce qu’il y a de mieux à faire. Un jeu relativement facile à platiner mais certains trophées sont impossibles une fois trop loin dans le jeu. Si vous voulez éviter un playthrough supplémentaire, regardez un guide. Bref, une semi-déception quand même. J’en attendais trop.
Une petite pépite de jeu narratif, où l’on incarne un barrista en charge de faire toutes sortes de cafés pour les clients. On écoute leur histoire au fil des jours qui passent dans une Seattle pluvieuse. Pixel art, ambiance cosy au rdvs. C’est mignon et fait passer le temps agréablement.
The Pathless
La dernière création de Giant Squid, le studio fondé par les créateurs de Abzû, Journey, Flower, … Visuellement et techniquement plus ambitieux que ses prédécesseurs, The Pathless offre un plongeon dans un monde ouvert superbe, que l’on parcourt en glissant sur les prés en tirant à l’arc, ou alors accroché à son aigle pour des séquences de planeur vertigineuses. C’est un monde ouvert mais vraiment très épuré, sans map ni objectifs indiqués à suivre, ni quêtes fedex. Donc une vraie revisite du genre, avec un design lisse, coloré très chouette. Les séquences avec les boss sont un peu répétitives , mais en une quinzaine d’heures on arrive à compléter le jeu à 100%. Le jeu m’a semblé passer un peu inaperçu en fin d’année dernière, je ne peux que le recommander.
L.A. Cops
Comme je le disais plus haut, si vous aimez les ambiances cartoon, les flics américains dépeints dans les films des années 70 avec grosses lunettes, pattes aux oreilles, les donuts, les gobelets de café, c’est le jeu parfait pour vous. Sur 8 niveaux plus 5 de bonus, on doit en tandem zigouiller tous les truands. Avec une endurance de merde, et des flingues pas terribles au début. Le jeu peut sembler difficile quand on commence, mais très vite on pige que l’IA est très basique, et on arrive à passer. On gagne des points d’XP à répartir sur plusieurs postes pour gagner en compétence. On a le choix du tandem de flics à incarner au début de chaque mission, sachant qu’ils sont tous plus ou moins identiques une fois boostés à fond. Un bon moment, peut-être 5 heures pour tout faire à 100%.
Narita Boy
Que dire que dire… c’est sûr que dans la catégorie pixel art très retro, c’est à tomber, et vaut sans doute le coup juste pour cet aspect si vous le trouvez en promo par exemple. Après, autant l’histoire du créateur du jeu (les « memories » que l’on débloque dans certains lieux secrets - tous ne sont pas trouvables sans un guide je vous préviens) est super intéressante, autant le lore du jeu en lui même est imbitable et roboratif au possible. Je l’ai fini sans m’y intéresser, et c’est peut-être ce qu’il y a de mieux à faire. Un jeu relativement facile à platiner mais certains trophées sont impossibles une fois trop loin dans le jeu. Si vous voulez éviter un playthrough supplémentaire, regardez un guide. Bref, une semi-déception quand même. J’en attendais trop.