Idem avec Kuwa-chan. "Mon p'tit Kuwa", c'est tellement plus naturel. A moins d'opter pour un gentil surnom. M'enfin!
Sinon, je rejoins également l'avis général : dans une traduction en langue française, il est dans l'absolu absurde de vouloir garder des mots courants japonais ou des expressions propres au japonais (suffixes, etc..), sauf rares exceptions où un seul mot japonais peut "simplifier" une expression en français, Kamen parlait de lentin de chêne, on peut aussi citer "seiyû" pour "comédien de doublage" (de fait, ça évite l'abus de langage "doubleur" ! :p:).
Pour la traduction elle-même, j'aurais tendance à dire qu'il faut mieux maîtriser la langue "finale" que "l'initiale". Pour les manga, certes il faut un niveau décent de japonais, mais l'important est de maîtriser à la perfection le français. Sans ça, n'importe quelle traduction sera foireuse, même si très fidèle à la VO (le français n'est pas une des langues les plus "chiantes" du monde pour rien). En bref, pour ma part, je privilégie l'adaptation à la traduction littérale, tout en gardant biensûr l'esprit de l'½uvre.