Topic général sur les films à venir

Jaxom

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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1667, le 16 Juillet 2012 à 02:46 »
Sacré dose ! En revanche, c'est bien qu'Ant-Man soit montré, c'est quand même un fondateur des Avengers ! Pareil pour la Guêpe, il faudrait l'inclure un de ces jours.

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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1668, le 16 Juillet 2012 à 12:57 »
Une indigestion qui court sur plus d'un an, donc ça devrait aller !

Effectivement, en espérant que la qualité reste, ça devrait être sympa.
"Je suis un intoxiqué.
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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1669, le 16 Juillet 2012 à 14:14 »
Citation de iDam le 16 Juillet 2012 à 02:46
Sacré dose ! En revanche, c'est bien qu'Ant-Man soit montré, c'est quand même un fondateur des Avengers ! Pareil pour la Guêpe, il faudrait l'inclure un de ces jours.

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J'espere un coup de redesign sur le costume qui a plus que véçu son temps  :peur:

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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1670, le 30 Juillet 2012 à 21:19 »
Ben voilà, le press release officiel, ça sera donc 3 films... flûte !
https://www.facebook.com/notes/the-hobbit/peter-jacksons-long-awaited-filmed-adaptation-of-the-hobbit-to-be-a-trilogy/413954741973470
Citation
New Line Cinema, Metro-Goldwyn-Mayer Studios, and Warner Bros. Pictures Announce Third Film in The Hobbit Trilogy
 
BURBANK, CA, JULY 30, 2012 — Peter Jackson will make a third film in his upcoming adaptation of J.R.R. Tolkien’s enduringly popular masterpiece The Hobbit, it was jointly announced today by Toby Emmerich, President and Chief Operating Officer, New Line Cinema, Gary Barber and Roger Birnbaum, Co-Chairman and Chief Executive Officers, Metro-Goldwyn-Mayer Studios, and Jeff Robinov, President, Warner Bros. Pictures Group.
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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1672, le 1er Août 2012 à 12:15 »
Citation de Battos le 30 Juillet 2012 à 21:51
D'ailleurs, j'ai eu la même impression en regardant la cérémonie :

(cliquez pour montrer/cacher)
:mdr:
(cliquez pour montrer/cacher)
Le patron du CIO, son surnom c'est bien le « Seigneur des anneaux », non? :hypocrite:

(Bon elle était facile, je vous l'accorde  :harhar:)
Attention à la marche en descendant du tram^^
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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1673, le 23 Août 2012 à 15:23 »
Impayable JCVD ! Tous les détails sur sa vie et The Expendables 2.

http://www.lesinrocks.com/2012/08/22/cinema/jean-claude-van-damme-linterview-fleuve-11288790/

(cliquez pour montrer/cacher)
Citation
Jean-Claude Van Damme : l’interview fleuve
JCVD nous a accordé un long entretien à l’occasion de la sortie d’Expendables 2, où il nous parle de cinéma, rien que de cinéma.

Pourquoi avoir accepté Expendables 2 alors que vous aviez, dit-on, refusé le premier ?
 
Quand Sly m’a appelé pour le premier, j’étais en pleine fièvre de montage, à Hong-Kong, de mon nouveau film qui n’est pas encore fini d’ailleurs. Il a failli s’appeler Soldier, puis Eagle Path, mais finalement je reviens à ma première idée : Full Love. Tu vois, un poster avec des gars qui tirent à la  mitrailleuse et un titre par dessus, là, FULL LOVE, moi je trouve que ça créé un truc. Non ? Donc bref, j’étais occupé, et j’ai refusé, cordialement. Bon, peut-être que je n’aurais pas dû… Quoi qu’il en soit, quand j’ai entendu dire qu’il faisait une suite, je lui ai demandé s’il était possible de revenir dans l’Expendables fever et il m’a dit OK. Mais c’est moi qui ai proposé de jouer un vilain. Comme mon jeu d’acteur s’est pas mal amplifié avec les années, je me suis dit que je pourrais profiter d’une plus grande bipolarité dans mon jeu d’acteur.
 
Après JCVD, je voulais absolument savoir quel genre de vilain je pouvais être. Stallone m’a dit : « T’es un vilain, mais t’es comme nous, t’es juste on the other side. Tu as un code d’honneur et tout, mais tu aimes le pouvoir et l’argent, that’s why you’re a vilain ». « I dig it ! », je lui ai dit. A partir de là, j’ai pu inventer au personnage un passé, une vie. Avec le temps j’ai appris que la première impression est la plus importante, au cinéma comme dans la vie réelle. Je m’amène ici avec un froc troué, une gueule défoncée : on va se dire « holalala Van Damme… ». Tandis que si je viens impecc’, c’est autre chose tu vois [il pince sa veste]… Donc, pour définir le caractère d’un personnage, il faut bien se concentrer sur cette première impression sur le public. Il faut des layers. Depuis la naissance jusqu’au présent.
 
[il enchaîne]
 
Ecoute je viens de faire un film qui s’appelle Enemies Closer. Mon personnage est un méchant-méchant, genre vraiment méchant – mais qui est aussi végétarien. Le directeur c’est Peter Hyams, avec qui j’ai fait Time Cop. Donc je vais chez lui je lui dis : « Attends, je suis un méchant, ok, mais pourquoi je suis un méchant ?». Il me regarde, il me dit : « T’es méchant parce que t’es méchant ! ». Je lui dis « Attends, tu deviens pas méchant parce que t’es méchant. Il y a forcément une raison. Pourquoi je suis méchant ? Et puis pourquoi je suis végétarien aussi ? Méchant c’est une chose, mais végétarien putain ? ». Et alors je mets à lui raconter une histoire. Peut-être qu’un jour j’ai été élevé dans une ferme, et que je suis tombé amoureux d’une oie. Wa wa wa [il imite l'oie]. Et peut-être qu’on a tué my goose et que j’ai snapé [en claquant des doigts]. Imagine…
 
[soudain il se lève]
 
Je suis devant un gars en train de mourir, il est au sol, dans une forêt, immobilisé. His guts are coming out : aaargh [il imite le son d'une agonie]. C’est un vieux monsieur, mes hommes sont prêts à le tuer, et là je dis « Stop, stop, stop ! He ‘s a good man ». Je prends une pomme au sol, et je rajoute : « Look, he’s growing organic apple ». Alors je vais vers le gars, bleeding and everything, et je lui dis : « Let me tell you a story ». Quand je vivais à la ferme, avec ma grand-mère, j’avais une belle oie. Une belle oie blanche. Elle s’appelait Edith. Comme Edith Piaf. Tu sais : « moi je vois la vie en rose… » ». Et je commence à danser devant le mec, tu vois. Et puis je continue « Un jour, lors du réveillon de Noël, ma grand-mère me convie à table et me sert du foie gras. Je commence à le manger et là elle me dit « Edith est à ton goût ? » ». Et là beurgh [il fait semblant de vomir devant moi] !!! And I start to puke all over the fucking place ! I come back, et puis je prends mon couteau et je commence à la tuer. Et schlack [il fait comme s'il me plantait un couteau] !!! Sauf que c’est le mec que je poignarde en fait ! Parce qu’à ce moment là, dans le film, on a tué mon diver, à cause d’un paquet à récupérer dans un lac au Canada. Y’a un navy seal qui nous emmerde dans cette île, là, au Canada, et moi je dis « he’s my diver, I need my diver ! » (rires).
 
Bref, cette bipolarité de pouvoir méchant, c’est un truc super. Finalement le directeur [réalisateur] est venu me voir pour me dire qu’il aimait bien mon idée de goose liver. It was a conviction for me. Au final, y’a même pas besoin de mettre la scène dans le film. Tout ce qui compte, c’est que je l’aie dans la tête. Et alors je peux faire mon jeu d’acteur. C’est pour ça que je suis content d’Expendables. J’ai pas vu le film, mais je sais que j’ai fait un bon travail. Parce que j’ai pu créer cette substance. Alors qu’avant je me contentais de faire du karaté. Pa pa pa pa pa !
 
Cette bipolarité, c’est quelque chose que vous avez toujours plus ou moins exploité, non ? Je pense par exemple à Replicant de Ringo Lam, un de vos meilleurs films à mes yeux. Vous pouvez me parler de la relation que vous aviez avec lui, de ce qu’il a représenté pour vous ?
 
Ringo, c’est lui qui m’a appris à ne pas être un acteur. C’est-à-dire à dire la vérité. Dans In Hell par exemple, il me disait « Rappelle toi qu’il y a une semaine tu as pris une claque dans la gueule, tu ne peux pas jouer la scène comme ça ». Il faut montrer la continuité, c’est super important. Alors ce que je fais, j’ai un truc super, un truc incroyable que m’a donné un directeur… Comment il s’appelle déjà, celui qui a fait le 7e ciel ? Le directeur belge qui prend tous les awards ? Pas les frères… l’autre…
 
Jako Von Dormael ?
 
Oui, c’est ça. Ben lui quand il fait un film, il accroche tout son script sur le mur de la chambre avec des cordes à linges [il se lève et va près du mur]. Parce que les scènes tu les tournes jamais dans l’ordre tu sais, à part si t’as un pognon dingue et que tu peux tenir les locations. Alors quand j’ai fait les scènes 1, 5, 8 et 35, le jour où je fais la 34, la 36 et la 3, je vais regarder sur mon mur, dans ma chambre d’hôtel, et je lis ces pages là. Et j’écris dessus « Emotion. Sat. Up. Down. Logical. Anger. Envie. Jalousie. Peur. Fort ». Je lis pas les pages comme un con, comme une Bible [il se retourne vers l'assistance]. Excusez-moi, hein, j’ai rien contre la Bible, la religion d’ailleurs j’y crois… à ma manière à moi. Mais si tu fais pas ça, tu vois pas ton film, tu vois juste les pages qui tournent. Moi j’ai besoin de voir le film. Tu vois ce que je veux dire ? Et quand je fais la scène le jour même, je sais quelles émotions je dois présenter, parce que je sais quelles scènes j’ai déjà crossing, effectué, tourné. ET CA C’EST L’ACTING ! [il tape dans ses mains, surexcité] ! Et ça je l’ai compris il y a quelques années seulement. C’est pour ça que je regarde plus mes films. Un ami m’a dit que c’était de la frime mais pas du tout. Denzel Washington ne regarde pas ses films non plus. Rien à foutre. Il a fait son jeu d’acteur, il sait qu’il est bon, qu’il a fait un travail vrai. En plus la vérité tu ne peux pas la répéter. Si je te dis une ligne du style « j’aime bien le café » [neutre], c’est pas comme si je dis « pfff, je suis fatigué, j’aime bien le café ». Tu ne peux pas dire deux fois la même chose : « j’aime bien le café » « j’aime bien le café » « j’aime bien le café ». Donc il faut toujours donner les dialogues de différentes manières.
 
Des acteurs vous ont servi de modèle ?
 
Wouuuf ! Des grands acteurs comme Daniel Day Lewis : la Rolex de l’acting. Y’a De Niro aussi, mais il a fait des mauvais films qui l’ont un peu desservi… Johnny Depp : incroyable. Di Caprio : t’as envie de le protéger tout le temps. Brad Pitt… Y’a plein de bons acteurs. Mais moi je sais que j’en suis devenu un depuis le JCVD. Depuis c’est dur de faire des mauvais films qui partent straight to DVD. C’est horrible, parce qu’il y a des gens qui m’arrêtent dans la rue et me disent : « Jean-Claude, c’est quand que tu fais un nouveau film ? On t’a pas vu depuis longtemps… » Alors qu’en fait j’en ai sorti 5 en DVD… C’est dur. Ca fait mal tu vois.
 
Quand t’es dans Expendables, tu joues sur grand écran, qui va du mur ici au mur là-bas. Mais quand tu fais un film en DVD, tu peux pas jouer pareil. Je le sais, je suis un pro maintenant. T’es obligé d’exagérer les mouvements du visage. Parce que l’écran de ta télé, il est comme ça. Un mouvement d’oeil ou un mouvement internal, comme on dit, tu verras rien sur petit écran. Donc il faut le grossir [il a un visage surexpressif en disant cela]… Maintenant quand je vois les budgets et qu’on essaie de me faire croire que ça va sortir au cinéma, je me fais plus avoir. Les producteurs te mentent. Alors moi je leur demande direct : « qu’est-ce qu’on a pour la musique ? » Et quand je vois un budget de 25 000$ pour un musical score, je sais déjà que ça va être DVD…
 
Et ça vous frustre de ne pas jouer davantage avec des auteurs ? Avec qui vous révériez de tourner ?
 
Bah, j’ai déconné aussi [soupir]. J’ai eu ma vie. Je ne regrette rien. Absolument rien. Maintenant est-ce que je vais revenir au top, je ne sais pas. Un réalisateur avec qui je rêverais de tourner ? Scorsese. Je plonge. Parce que quand tu sors de cette école, tu peux rajouter une sacrée croix à ton acting. Avec Spielberg, tu sais que tu pars en catapulte, c’est très très bon, mais Scorsese, pfiou, c’est encore meilleur….
 
Qu’avez-vous appris en réalisant vous même deux films ?
 
J’ai eu envie de faire des films quand je me suis rendu à quel point certains des films dans lesquels je jouais était mal edited. En tant que karateka, quand tu vois que tes mouvements sont coupés en plein milieu of the move, c’est… c’est de la boucherie.
 
J’aimerais que vous me parliez de votre collaboration avec Tsui Hark et John Woo. C’est grâce à vous qu’ils sont arrivés à Hollywood…
 
 Ohlalala… [souriant] Ben ouais, mais j’étais à Hong-Kong, j’ai choisi tous ces mecs quand j’ai vu des films comme Once upon a time in China, The Killer. Je les ai ramené à Hollywood, on a tenté tout ce qu’on pouvait mais les studios nous ont un peu… saqué, quoi. A l’époque quand j’amenais ces mecs avec moi pour faire des films, ils n’avaient pas leurs équipements, pas leur crew members… Donc ils se retrouvaient loin de chez eux, avec des crew américains qui n’étaient pas habitués à leurs méthodes. John Woo a fait Hard Target sans son équipe par exemple.
 
Comment est-ce que vous jugez l’évolution du cinéma d’action, qui a beaucoup changé depuis vingt ans ?
 
Moi, j’ai appris en regardant The Great Escape avec Steve McQueen. Ou Hard Times avec Charles Bronson. Ou Opération Dragon avec Bruce Lee. Maintenant quand je vois des films avec toutes ces choses techniques inside, tous ces effets spéciaux… C’est super, hein, c’est pas vilain, I enjoy  The Avengers, c’est d’une beauté inimaginable. Mais bon… Il ne faut pas en vouloir aux acteurs, ils sont nés dans cette période. Ils s’entrainent autant, ils sont baraqués comme nous on l’était. Mais nous on savait qu’il y avait une caméra qui était là, et qu’on devait montrer de l’action pour mériter l’admiration des gens, pour gagner notre box office. On est d’une école différente : on roule pas en automatique, on utilise le stick shift. On avait pas la petite caméra à l’arrière, avec le bip-bip, pour garer la voiture ; il fallait se tourner et vroum [il fait comme s'il allait se garer, en imitant le bruit du moteur]. C’est différent. But it’s good.
 
A la fin d’Expendables 2, Stallone se demande s’il n’est bon pour le musée… Vous avez parfois cette mélancolie ?
 
Stallone est un mec très intelligent. Il a encore faim. Comme un mec qui vient de débuter. Est-ce que moi je suis mélancolique ? Tu sais les films sont éternels, donc ils sont déjà au musée. Mais moi je me sens très jeune encore, très jeune dans l’âme… Mes enfants n’arrêtent pas de me dire « papa, calme-toi ». [il se lève, fou de joie] Je fais des couteaux en papier avec eux, et on joue dans le salon [il imite le geste] « I’m gonna poke you like a pig ». Ah ah, j’adore faire ça avec eux !

On a parfois ironisé sur votre attitude en interview. C’est quelque chose qui vous agace ?
 
Je suis tranquille avec ça. C’est comme une voie pavée : d’abord ils mettent le ciment et après les pavés. Avant je marchais directement sur le ciment. Maintenant je prends mon temps, je recule un peu, j’observe comme la chaussée se fait, comment elle sèche, puis j’avance doucement. J’écoute, je suis relax, je laisse parler en premier.  It’s just business.Mais quand le film commence, c’est fini. No more business. Là j’envoie tout. Parce que c’est là que ça se passe. Le pognon ? J’en ai plus rien à foutre, j’en ai assez. Maintenant je veux faire des films. Avec des bonnes histoires, des  personnages intéressants. Des gens qui souffrent. Là je viens de diriger un film, Full Love. J’ai aussi fait une comédie, Welcome to the Jungle. Et Universal Soldier 4, en 3D. Et aussi Ennemies Closer. Et un autre qui s’appelle The Butcher. J’ai fait cinq films cette année. Je t’enverrai les photos si tu veux.
 
De quel film êtes-vous le plus fier ?
 
JCVD. J’étais au top sur ce film. Mais sur le fameux monologue, ils ont utilisé de la pellicule. Alors j’avais seulement 4 minutes avant que la bobine se termine. T’as une petite lumière rouge qui te dit « 3 minutes ». Et puis « 30 secondes ». Et puis la caméra descend et c’est fini. Mais moi, j’étais parti pour faire un monologue de 15 minutes ! J’étais parti pour te faire craquer la baraque ! Mabrouk El Mechri, c’est un petit gars de Paris qu’a grandi avec un poster de Bloodsport dans sa chambre. C’est grâce à lui que j’ai pu me remettre. Il m’a traité comme une star à un moment où j’étais un peu triste, un moment de descente. Il m’a dit : « mais tu sais JC on a grandi avec toi » Moi j’avais tout le temps peur de pas aller assez vite, de cramer tout le budget, mais lui il m’a dit : « T’inquiètes pas, c’est la Gaumont qui paye. Prend une heure, prends deux heures. Tu veux pas tourner aujourd’hui ? Eh ben on tournera demain, c’est pas grave ». Il m’a mis à l’aise, il m’a relaxé. Et boum j’ai fait mon dialogue. Merci Mabrouk. Maintenant téléphone moi pour un autre film, saloperie (rires) !
 
Propos recueillis à Paris par Jacky Goldberg, le 12 août 2012.
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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1677, le 23 Août 2012 à 20:09 »
Citation de Battou le 23 Août 2012 à 19:19
:roule:
Je vais aller le voir ce we, mais j'ai un peu peur d'être déçu comme le premier qui était trop dans la vanne et pas assez dans la mitraille.

Par contre y'a un espèce de projet fou de faire la même, mais avec des filles.
http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Bientot-un-Expendables-au-feminin-3463474

Sa mère, Cyndia Rothrock et ses high kicks de fou fuckyeah  :w00t2:
La mère de vandamme ?  :sweatdrop:
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Re: Topic général sur les films à venir
« Réponse #1679, le 25 Août 2012 à 19:07 »
Schwarzenegger, je l'ai vu dans The Expendables 2 ce matin et ça m'a fait un drôle d'effet car il n'avait pas l'air d'y être du tout, il semblait ahuri et perdu. Alors bien sûr, sa présence relevait une nouvelle fois plus du caméo qu'autre chose (avec force clins d’œil à Terminator...parfois gâchés par des traducteurs qui n'ont en fait juste jamais dû le voir) et s'il avait bien plus de temps à l'écran que dans le 1 ses scènes d'action n'avaient guère d'intérêt, mais je ne sais pas...comme si c'était plus son métier. :unsure:

Et en voyant le trailer de The Last Stand, je réalise qu'il a juste plus mal vieilli que Stallone (d'où l'intérêt de jouer là-dessus). Il a l'air tellement mal à l'aise à courir avec un fusil dans les mains, les yeux écarquillés.
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