Potes'n'Roll

Si et ca ne peut que faire du bien au PSG : leur permettre de repartir à 0 avec des joueurs qui en veulent..

Si et ca ne peut que faire du bien au PSG : leur permettre de repartir à 0 avec des joueurs qui en veulent..

Eliminé de la Ligue des Champions, un match nul hier soir, ce n'est pas non plus la crise et ça ne changera rien pour le podium à priori mais bon, les mauvaises situations s'installent vite (cf l'OM).

Le truc c'est que la relégation c'est comme le doublement à l'école, à la base c'est une chance qu'on t'offre parce que tu n'as plus le niveau pour suivre. Mais en France, c'est considéré comme un échec...

Suite à l'indisponibilité de trois mois de Thierry Henry, Arsène Wenger ne décolère pas et s'en prend à nouveau à l'encadrement de l'équipe de France. Pour l'entraîneur d'Arsenal, les Bleus sont responsables de la saison en demi-teinte et émaillée de blessures de son attaquant, dont la saison est dorénavant terminée.
   
     

«Je ne me sens pas responsable de ça car je pense que Thierry Henry a été mal encadré par l'équipe de France, a déclaré Wenger. Le technicien des Gunners évoque un manque de repos évident après la finale de la Coupe du monde et pointe du doigt le match amical en Bosnie-Herzégovine dès le 16 août. «La finale de la Coupe du monde a eu lieu le 9 juillet et je lui ai donné un congé jusqu'au 4 août. Ensuite, il est revenu et nous l'avons préparé. Je l'ai dispensé du match de qualification pour la Ligue des champions contre le Dinamo Zagreb. Mais ils l'ont rappelé dès le 16 août - moins de 14 jours après son retour d'Allemagne - et il l'ont fait jouer tout le match contre la Bosnie. Après la finale de la Coupe du monde, pourquoi avaient-ils besoin de faire cela ? », s'est interrogé Wenger.

«Ensuite, nous l'avons fait jouer un match entier contre Aston Villa car nous désespérions de nous imposer pour la première fois à l'Emirate Stadium, poursuit l'entraîneur français. Depuis, il a joué tous les matches amicaux, même sur les rotules. C'était peut-être une erreur que de ne pas l'avoir laissé au repos contre Villa, mais quand vous payez un joueur, que vous vous en passez pour un match de Ligue des champions et qu'il va ensuite jouer pour la France, c'est difficile à accepter», a-t-il conclu. (avec AFP)

Wenger, de toute façon, on se demande pourquoi il commente des matchs de l'EDF par exemple, vu que derrière, il n'arrête pas de critiquer l'équipe...  Faux cul pawa !

Foot - Bleus : Domenech : «Wenger me fatigue»
Lors de la conférence de presse qui a suivi la liste des 23 pour les matches contre la Lituanie et l'Autriche, Raymond Domenech a tenu à se défendre des attaques d'Arsène Wenger à propos de la blessure de Thierry Henry. Le coach d'Arsenal avait mis en cause mardi l'encadrement de l'équipe de France. Très agacé, Domenech répond sans détour.

«Je pense qu'une fois pour toutes il faut régler ce problème. Monsieur Wenger commence sérieusement à me fatiguer. Il fatigue d'ailleurs beaucoup de monde. Il n'a pas la science infuse. Il n'y a pas que lui dans le football qui a le droit d'exister et de faire quelque chose. Quand il parle d'une blessure en mars pour un match du mois d'août, il oublie de dire qu'à chaque fois que Thierry henry joue un match de l'équipe de France, trois jours après, il a joué avec Arsenal. Et il n'a jamais été blessé avec les Bleus.»

Exaspéré, le sélectionneur est revenu dans le détail sur les matches de Thierry Henry avec l'équipe de France suivis d'une rencontre avec Arsenal. «Monsieur Wenger avait besoin de Thierry Henry pour jouer contre Aston Villa après le match de la Bosnie alors qu'il était soi-disant fatigué. Après le match des Féroés, monsieur Wenger avait absolument besoin de lui pour jouer contre Watford. Après l'Italie, il avait besoin de lui pour gagner contre Middlesbrough, après l'Argentine pour jouer contre Wigan et, après la Grèce, il l'a fait jouer 45 minutes contre Newcastle. Il était soi-disant blessé et il a joué trois jours plus tard contre Hambourg. Nous, contrairement à lui, nous ne nous permettons pas de donner des leçons aux gens.»

Enfin, Raymond Domench rappelle les antécédents d'Arsène Wenger contre l'équipe de France. Là aussi, il n'y va pas quatre chemins. «Nous ne sous sommes jamais permis de prendre un risque avec un joueur blessé. Je prends pour exemple William Gallas contre l'Ecosse. J'ai pris le risque de modifier la défense au dernier moment. Je suis donc fatigué de ces attaques. Wenger est un habitué. Il a critiqué Roger Lemerre avec l'épisode de l'Australie et même Michel Platini le jour de son élection. Ce n'est pas parce qu'on a des difficultés dans son club qu'il faut aller voir chez les autres où se situent la poutre et la paille... Je n'ai pas de leçons à recevoir. Cette situation pénalise Thierry Henry, l'équipe de France mais surtout lui. Qu'il n'y ait pas une vraie gestion intelligente de son club n'est pas de mon fait. Et je le répète depuis deux ans, il y a un vrai problème de calendrier.»