On n'est pas beaucoup allés au ciné l'année dernière. Flemme, le canapé c'est confortable, sorties pas franchement motivantes, SNL, et pas envie de financer des films réacs / de gauchistes finis / l'oeuvre et l'artiste et toussa... donc pour les films "notables" qui pour moi méritent d'être évoqués.
- Babylon :
Ce film est la réponse pessimiste au The Artist de Michel Hazanivicius sorti 10 ans plus tôt, à savoir comment la révolution du film parlé a impacté l’industrie hollywoodienne, mettant sur le carreau les grosses stars de l’époque qui n’ont pas pu s’adapter au mouvement. Le film est certes long mais j’ai adoré la manière dont les destins croisés des personnages ont été écrits.
- Suzume :
Une nouvelle variation du thème préféré (unique ?) de Makoto Shinkai : un garçon, une fille, une situation fantastique qui va tout secouer. Même s’il n’y a pas beaucoup de surprises la recette marche toujours.
Me demande quand même si ça n’est pas un film de « fin de cycle » car offre pour la première fois, une fin « claire » sans « doux amer » ou interprétation ouverte.
- Oppenheimer :
Il fallait bien Nolan pour transformer une brique de mille pages sur le créateur de la bombe atomique en film qui tient en haleine pendant 3 heures. Mais c’est un film de mecs blancs par un mec blanc, donc ça ne sera pas pour cette fois encore, l’Oscar (à part pour Cillian Murphy).
- Air :
Le film rappelle beaucoup l’oscarisé Argo du même Ben Affleck et est très prenant pour les exactes mêmes raisons. Et dire que Viola Davis crève l’écran est un pléonasme.
- Tàr :
Un oscar pour Cate Blanchett, juste pour la fessée qu’elle donne à l’étudiant woke. Merci.
- Un métier formidable :
La même recette d’Hyppocrate, utilisée ici pour ce quasi-huit clos d’une année scolaire dans un lycée. A nouveau tout fonctionne, en particulier grâce à ses personnages.
- Babylon :
Ce film est la réponse pessimiste au The Artist de Michel Hazanivicius sorti 10 ans plus tôt, à savoir comment la révolution du film parlé a impacté l’industrie hollywoodienne, mettant sur le carreau les grosses stars de l’époque qui n’ont pas pu s’adapter au mouvement. Le film est certes long mais j’ai adoré la manière dont les destins croisés des personnages ont été écrits.
- Suzume :
Une nouvelle variation du thème préféré (unique ?) de Makoto Shinkai : un garçon, une fille, une situation fantastique qui va tout secouer. Même s’il n’y a pas beaucoup de surprises la recette marche toujours.
Me demande quand même si ça n’est pas un film de « fin de cycle » car offre pour la première fois, une fin « claire » sans « doux amer » ou interprétation ouverte.
- Oppenheimer :
Il fallait bien Nolan pour transformer une brique de mille pages sur le créateur de la bombe atomique en film qui tient en haleine pendant 3 heures. Mais c’est un film de mecs blancs par un mec blanc, donc ça ne sera pas pour cette fois encore, l’Oscar (à part pour Cillian Murphy).
- Air :
Le film rappelle beaucoup l’oscarisé Argo du même Ben Affleck et est très prenant pour les exactes mêmes raisons. Et dire que Viola Davis crève l’écran est un pléonasme.
- Tàr :
Un oscar pour Cate Blanchett, juste pour la fessée qu’elle donne à l’étudiant woke. Merci.
- Un métier formidable :
La même recette d’Hyppocrate, utilisée ici pour ce quasi-huit clos d’une année scolaire dans un lycée. A nouveau tout fonctionne, en particulier grâce à ses personnages.