Bon, alors Man of Steel 2 s'appellera en fait :

Citation de PRSK le 10 Juillet 2013 à 22:55

Citation de Matsya le 10 Juillet 2013 à 22:44

Citation de PRSK le 10 Juillet 2013 à 22:32

Réaction typique, tu vas chercher l'étranger quand je parle de mafia.
Non je parlais de José Anigo...

Pousse pas mémé dans les orties bonhomme.
1. Monaco n'est pas l'étranger footballistiquement parlant
2. Je n'ai effectivement pas pensé à l'OM, mais j'ai hésité à citer Nice, Bastia ou Ajaccio
3. Euh... Tu ne me confondrais pas avec quelqu'un d'autre ?...

Citation

Aussi incroyable que tu ça puisse te paraître...des gens louches il y en a aussi en France..

Merci de la leçon, mais je crois être au courant.


Au risque de me répéter, tu me confonds avec quelqu'un d'autre. Arrête d'être sur la défensive à ce point tout le temps. Tu me prends pour un supporter marseillais, alors que je suis parisien. Sans être un fan neuneu comme tu le joues si souvent, j'allais au Parc avant même ta naissance, alors stp, fais-moi plaisir et laisse tomber ces simagrées.

Tu allais au parc avant d'être né?

Au temps pour moi, d'après mes souvenirs, vu ton écriture et ton agressivité dès qu'on parle du PSG et/ou dès qu'on est pas d'accord avec toi, je te pensais (beaucoup) plus jeune que moi.

Citation

En tout cas heureux de savoir que tu n'es pas un lynx, même si tu parles tout comme.

Aucune idée de ce qu'est un "lynx", mais ça semble insultant dans ta bouche. Franchement, ce sont des "supporters" comme toi qui me gonfle et qui participe au discrédit du club parisien.

Anyway... Tu me fatigues. Bonne nuit.

Citation de PRSK le 10 Juillet 2013 à 22:12

T'inquiètes pas, jubile bien monsieur l'objectif qui intervient sur un sujet qui l'arrange. En attendant, c'est pas le psg qui a un escroc qui reconnait de lui même être proche de la mafia en tant que directeur sportif.

Minute papillon. De quoi parles-tu ? o_0 Est-ce que tu fais référence à Monaco ?

Je pense que surtout Leonardo était devenu encombrant. Le président du PSG n'a plus besoin de lui pour négocier quoi que ce soit. Sa suspension rallongée a certainement été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.

Enfin, Leo n'a pas démissionné, mais il a été démissionné.

Pays de looser et à jamais!

J'aime toujours ta retenue quand tu parles du PSG :)

Tout fout le camp là.

Je suis pas hyper fan du style Léo, mais il avait du carnet quand même. Et puis, ça va être tendu de vendre un projet d'où tu te barres.

Carlo n'aurait pas tout fait péter en faisant sa crise d'enfant gâté ?

[Blog] A quand une remise en question du football français ?

Une page se tourne au Paris Saint-Germain. Après l’exil de Carlo Ancelotti au Real Madrid, c’est Leonardo, tête d’affiche du projet qatarien dans la capitale française, qui a décidé d’aller voir ailleurs. Selon nos informations, les raisons qui ont motivé le directeur sportif parisien à quitter un navire qui flotte mais ne sombre pas (Fluctuat nec mergitur) ne viennent pas principalement de problèmes internes au club comme cela pouvait éventuellement être le cas de l’entraineur italien remplacé par Laurent Blanc. Selon une source proche de Leonardo, c’est le traitement médiatique de sa personne, son léger coup d’épaule qui l’a fait passer pour le pire des incontrôlables, le mauvais exemple responsable des violences dans le football amateur (oui, oui !), et le football français en général qui ont eu raison du dirigeant brésilien. Toutes ses déclarations ont été épiées, sorties de leur contexte, transformées, critiquées… On se souvient notamment de ses commentaires sur les méthodes d’entrainement en France, trop légères à son goût (avait-il tort ?), qui avait en fait se révolter le petit monde du football hexagonal comme un seul homme contre le méchant donneur de leçons parisien…

Le premier vrai faux-pas de l’homme fort de l’aspect sportif est survenu le début mai, lorsqu’il a légèrement bousculé Alexandre Castro dans les couloirs du Parc des Princes en marge de PSG / Valenciennes, quelques minutes après que Thiago Silva, grandement coupable d’avoir posé ses mains sur le torse de l’intouchable Castro durant la rencontre eut été expulsé. Ce geste survenu à l’entrée du vestiaire des arbitres et dont les images ont tourné en boucle sur toutes les chaînes d’information ont valu à son auteur neuf mois de suspension, et trois points de retrait avec sursis pour le Paris Saint-Germain.

Le coup de grâce est arrivé le matin du 4 juillet, lorsqu’en appel, la Fédération Française de Football décide d’alourdir cette sanction en passant à quatorze le nombre de mois de suspension (alors que les textes du règlement n’en prévoient que douze, qui plus est). “La commission n’aime pas qu’on fasse appel de ses décisions”, entendait-on ici et là. En cours de saison, Cyril Jeunechamp, coupable d’avoir frappé un journaliste au point de provoquer une interruption temporaire de travail, une circonstance aggravante non négligeable, avait vu son année de suspension ramenée à six mois par cette même instance d’appel.

Il nous a été décrit que Leonardo était lassé de voir son image autant salie, épuisé d’entendre et de constater avec impuissance les agissements des intouchables responsables du football français. C’est pourquoi il a présenté une nouvelle fois sa démission à Nasser Al-Khelaïfi, un mois après sa première, refusée par le président du PSG, et cette fois acceptée.

Leonardo a-t-il eu raison de craquer ? La question n’est pas là. La question est plutôt de savoir si, enfin, un jour, les instances du football français se remettront au moins en question. Taper sur le Paris Saint-Germain et sur l’AS Monaco, dans un litige économique de part ses avantage fiscaux, et sanctionné d’un match à huis clos et de points de suspension pour la prochaine saison après des faits reprochés à l’un de leurs supporters, nous force à constater que le football français ne veut pas évoluer. Il a aujourd’hui la chance inespérée d’avoir deux puissances capables d’attirer les meilleurs joueurs du monde. Mais non, il faut leur mettre des bâtons dans les roues, leur mettre des handicaps, les sanctionner à tort et à travers, parfois à raison, souvent à tort. Combien de fois le Paris Saint-Germain a-t-il servi d’exemple pour de nouvelles sanctions dont aucune autre équipe n’a été victime ? Le football français a l’opportunité depuis deux ans d’enfin développer un championnat grandissant, tant décrié et décrit inférieur aux championnats espagnol, anglais, italien et allemand. Mais pendant que des journalistes creusent un trou pour enterrer le football hexagonal, la Ligue et la Fédération le remplissent de terre. Plutôt que de pousser les dix-huit autres clubs de Ligue 1 à renforcer ce championnat, on préfère niveler par le bas le monde du ballon rond en montant les clubs les uns contre les autres où presque tous critiquent quotidiennement l’AS Monaco qui jouit d’avantages qui ne dérangeaient personne il y a encore un an.

Vaut-il mieux aider deux clubs a écrire une nouvelle page du sport français, ou leur couper les ailes pour que tout le monde reste mauvais ? Il semble que les instances ont fait leur choix. Au Paris Saint-Germain et à Monaco de poursuivre leur envie de devenir des grands d’Europe. S’il paraissait improbable il y a 5 ans qu’on puisse attirer en France des stars comme Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva, David Beckham ou Radamel Falcao, il semble encore plus impossible qu’un jour les dirigeants du football français se remettent en question. Qu’on ne s’étonne pas de voir le sport français ne remporter aucune grande compétition, ne récolter que trop peu de médailles. Bref, d’être aussi mal représenté à l’échelle internationale. Tant qu’il n’y aura pas de remise en question, la France s’enfoncera dans sa petitesse. Ce qui n’empêchera pas le Paris Saint-Germain de me, de vous, de nous faire rêver. Car ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.