Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
Re: Le Japon et les Japonais
« Réponse #105, le 11 Octobre 2005 à 10:54 »
Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
En general, le 3 mai, il y a des manifestations des groupes de droite, pour denoncer la consitution de 1947.Citation de Damien le 11 Octobre 2005 à 10:47 Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
Manif avec le fameux drapeau nationaliste je suppose ?
Et Jun.ichiro, il s'en accommode bien ou compte la faire tomber un de ces quatre printemps ?
D's©
le financement des retraites,
J'ai suivi la crise de l'an dernier de près sur le fait que les grands pontes (dont jun.ichiro) ne payaient pas leurs cotisations retraite depuis bien des années et mentaient effrontément quand ils affirmaient l'avoir fait... c'en est où de cette affaire ?
Manif avec le fameux drapeau nationaliste je suppose ?Citation de Megara le 11 Octobre 2005 à 10:54 En general, le 3 mai, il y a des manifestations des groupes de droite, pour denoncer la consitution de 1947.Citation de Damien le 11 Octobre 2005 à 10:47 Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
Et Jun.ichiro, il s'en accommode bien ou compte la faire tomber un de ces quatre printemps ?
D's©
TOKYO (AFP) - Les députés japonais ont adopté mardi à une écrasante majorité une série de projets de loi qui privatisent la Poste japonaise, la plus large institution financière du monde, enjeu des récentes élections remportées par le Premier ministre libéral Junichiro Koizumi.
Il ne reste plus que l'obstacle du Sénat, qui cette fois devrait être franchi, pour que l'emblématique réforme postale, principale priorité gouvernementale de M. Koizumi, ait force de loi.
Le vote du Sénat est attendu à la fin de la semaine, très probablement vendredi.
La privatisation des services postaux a été adoptée mardi sans la moindre difficulté par la Chambre des députés (338 voix contre 138). M. Koizumi, souriant, a été acclamé par l'assemblée après le passage du texte.
La réforme postale avait été déjà approuvée --mais d'extrême justesse (5 voix)-- par les députés début juillet, mais rejetée par les sénateurs début août, ce qui avait entraîné la dissolution de la Chambre basse et la convocation d'élections législatives anticipées.
M. Koizumi, 63 ans, avait fait du scrutin du 11 septembre un véritable référendum sur la privatisation de la Poste, une consultation qui s'est soldée par un triomphe historique pour son Parti libéral-démocrate (PLD, droite).
Fort de ce soutien populaire à son programme de réformes, le Premier ministre avait aussitôt remis le projet de privatisation de la Poste au menu de la session parlementaire.
Nombre de députés du PLD qui s'étaient rebellés en juillet se sont ralliés mardi à M. Koizumi et ont voté en faveur de la privatisation.
Selon toute vraisemblance, il en sera de même au Sénat, où la coalition gouvernementale dispose d'une majorité moindre.
"Etant donné qu'une majorité d'anciens opposants à la réforme postale ont déjà fait part de leur intention de changer de position, il est certain que les projets de loi seront adoptés par la Chambre haute", a estimé l'économiste Yasuhide Yajima, de l'institut de recherche NIL.
Selon le Premier ministre, cette réforme doit permettre de réorienter vers le secteur productif les quelque 355.000 milliards de yens (2.640 milliards d'euros) d'épargne et d'assurance vie gérés par une bureaucratie postale pléthorique.
Au delà de la privatisation de la Poste, M. Koizumi souhaite procéder à davantage de "réformes structurelles".
Il a notamment l'intention de redistribuer les impôts vers les collectivités locales et de réduire les prêts du gouvernement central, tout en sabrant les coûts de personnel du secteur public.
M. Koizumi, qui détient le record de longévité à la tête d'un gouvernement nippon depuis Yasuhiro Nakasone (1982-87), doit procéder à un très attendu remaniement ministériel le 2 novembre à l'issue de la session parlementaire.
Depuis les élections, il caracole dans les sondages, avec des taux de popularité record.
Certains des clans les plus connus se réclamaient jadis de la bannière surmontée d'un soleil, dont on retrouve men tion dans des chroniques rédigées il y a environ 600 ans. Lors de la levée, après la visite de l'escadre du Commandant Perry en 1853-1854, de l'interdiction de construire des navires de gros tonnage, il fallut songer à identifier les navires de commerce japonais. C'est Lord Nariakira Shimazu, chef du puissant clan Satsuma, dans le Sud du Japon, qui proposa d'adopter l'actuel drapeau du Japon comme pavillon national.
Par une proclamation officielle qui date de 1870, la forme et les dimensions standard du drapeau national ont été fixées à un rectangle aux proportions de 10 pour la longueur et 7 pour la largeur. Le soleil doit avoir un diamètre égal aux trois cinquièmes de la largeur et son centre doit être rapproché de la hampe à une distance à un centième de la longueur.
C'est lors du voyage aux Etats-Unis, en 1860, de la première délégation diplomatique que le Japon ait jamais envoyée à l'étranger, que la bannière revêtue du soleil fit pour la première fois son apparition comme emblème national. A cette occasion, la marine américaine mit un croiseur, le Powhattan, à la disposition du Shogunat. Le croiseur arbora le pavillon américain à la poupe et le pavillon Japonais à l'avant.
Le Hi-no-Maru, la bannière au soleil, parut pour la première fois lors d'une cérémonie nationale en 1872, à l'occasion de l'inauguration du premier chemin de fer par l'Empereur Meiji.