Je savais pas ou le mettre : http://www.pcinpact.com/actu/news/Windows_XP_edition_speciale_20_ans_cetait_vrai_.htm
Meg si tu me lis :D
Jeudi prochain je le trouverai a 0,70 euros sur un marché de Shanghai...
Je savais pas ou le mettre : http://www.pcinpact.com/actu/news/Windows_XP_edition_speciale_20_ans_cetait_vrai_.htm
Meg si tu me lis :D
1. il possède un client bittorent intégré qui est furieusement pratique après quelques temps (azureus est bien, mais pour les petites config' c'est dur dur ^^ ).
2. Son seul défaut : il est pas un logiciel libre.
1. tu veux dire qu'il n'y a plus besoin de passer par BT ou Azureus (ou autre) pour DL ? Opera le fait tout seul ?
2. Combien ?
OpenOffice.org est plus dangereuse que sa concurrente MS Office.
«Nous pouvons affirmer qu'OpenOffice nous apparaît comme plus dangereux que son équivalent commercial édité par Microsoft», déclare Eric Filiol. Mais ce n'est pas en terme de nombre de failles que la suite est dangereuse aux yeux de l'ESAT, mais bien au niveau de la conception générale du produit.
En effet, l'ESAT a développé un certain nombre de virii et de chevaux de Troie se servant d'OpenOffice.org pour se reproduire ou pour s'exécuter, et ce, avec succès. Le point noir de la suite serait en fait la gestion des macros, comme MS Office en son temps. Il apparaîtrait que les macros sont souvent considérées comme des éléments de confiance par OOo et sont donc parfois exécutées sans aucun avertissement.
De plus, lors du cryptage d'un fichier, les macros sont les seuls éléments à ne pas l'être, gardant donc leur caractère exécutable. Le compte rendu de cette étude, ainsi que les codes sources de tout l'attirail viral de l'ESAT sera transmis aux différents organismes de l'Etat sous la forme d'un rapport classifié.
Une suite qui n'est pourtant pas à bannir
« Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain: c'est un produit qui est jeune et il n'a jamais été pensé en terme de sécurité. Jusqu'à présent, la priorité a été de proposer autant de fonctionnalités que Microsoft Office.»
Plusieurs rencontres entre les experts du ministère de la défense et les développeurs européens sont prévues dont notamment une à Hambourg avec l'équipe allemande.
Une participation de l'Etat français au code d'OOo n'est donc pas à exclure car l'aspect libre d'OOo, non seulement le permet, mais permet aussi à l'Etat une certaine indépendance technologique.
Avec ces « nouvelles versions de démonstration », les utilisateurs pourront toujours acheter, à un tarif préférentiel, le logiciel complet, même si la période d'essai est terminée. Une fois les 60 jours d'utilisation gratuits dépassés, l'utilisateurs pourra également continuer d'ouvrir, de sauvegarder et de modifier des documents créés pendant la période d'essai. La création de nouveau document, sera elle, logiquement bloquée.
question con : si on crée un nouveau doc vide, et qu'ensuite à chaque fois on le copie colle, n'est-ce pas le crack le plus idiot du monde ?
question con : si on crée un nouveau doc vide, et qu'ensuite à chaque fois on le copie colle, n'est-ce pas le crack le plus idiot du monde ?
Certains termes sont utilisés à tort pour faire référence à Internet, par exemple : « la Toile », « le web » ou « le Web » (the Web en anglais), mais cela désigne la Toile et non pas Internet. Cette confusion entre web et net existe aussi en anglais. !
Il y a quinze ans, naissait le Web
Par Christophe ABRIC
Le 6 août 1991, le chercheur Tim Berners Lee mettait en place le premier serveur web. Quinze ans plus tard, grâce à son invention, internet s'est démocratisé et est devenu un outil essentiel.
Le 6 août 1991, Tim Berners-Lee, chercheur au CERN (Centre européen pour la recherche nucléaire), envoie un mail à un groupe Usenet, dans lequel il décrit l'innovation qu'il a mise en place. "Le projet World Wide Web (WWW) permettra de faire des liens vers des informations, où qu'elles se trouvent (...)". Dans le même courrier, il indique avoir placé des documents du CERN sur un serveur accessible grâce à une adresse HTTP.
Relier des îlots d'information
A l'adresse http://info.cern.ch fut donc créée la première "toile" de l'histoire. Le 6 août 1991 est aujourd'hui considéré comme le jour de naissance du "web", soit l'internet tel que nous le connaissons et le pratiquons aujourd'hui. Il a fêté dimanche ses 15 ans.
Internet existait depuis déjà de nombreuses années. Avec le World Wide Web, Tim Berners-Lee l'a pour ainsi dire "maillé", a permis la connexion entre eux des différents points d'accès qui n'étaient jusque là que des îlots d'information. Il a surtout simplifié l'accès aux données. Selon Jeff Groff, l'un de ses collègues de l'époque, "sa vision était simple : les gens ne devraient pas avoir à se soucier de la technologie".
L'importance du navigateur
Il faudra encore quelques temps avant que le World Wide Web ne prenne son envol. En décembre 1991, le professeur Paul Kunz présente à Stanford le premier serveur web basé aux Etats-Unis. Les physiciens du CERN, en Suisse, peuvent accéder aux données de Stanford, le réseau devient international. Mais c'est l'apparition du premier navigateur web, en décembre 1993, qui permet au Web de s'imposer : Mosaic affiche les images et interprète graphiquement du code HTML, faisant des pages web autre choses que des listes de liens.
Fin 1993, on compte 623 sites web. Ils sont 2738 en juin 1994, plus de dix mille en décembre de la même année. En 1998, ils sont 2 millions. On en compte 90 millions aujourd'hui. Le web sert à toutes nos tâches, des plus futiles au plus sérieuses.
Alors qu'il a fallu 70 ans au téléphone et 30 ans à la télé pour s'imposer dans les foyers, le web a rendu l'internet populaire en quinze ans à peine. Tim Berners-Lee reste discret : il est chercheur au Massachusetts Institue of Technology, et a ouvert son blog à la fin 2005. Il y écrit peu.
et grâce à laquelle nous pouvons aujourd'hui tous ensemble échanger sur PnR
MOUNTAIN VIEW (AFP) - Le géant de l'internet Google a conclu lundi un accord pour acheter le site de clips vidéos YouTube pour 1,65 milliard de dollars, réussissant à mettre la main sur un site au succès phénoménal, devenu le plus convoité du secteur.
Il s'agit de la plus grosse acquisition jamais réalisée par Google, qui paiera avec de nouvelles actions. Le montant du rachat n'affectera guère un groupe qui vaut 128 milliards de dollars en Bourse.
YouTube, lancé fin 2005, s'est hissé en quelques mois à la 14e place des sites les plus visités du monde, selon le cabinet ComScore, avec 72 millions de visiteurs en août dernier et 100 millions de vidéos regardées par jour.