Avec Interstellar et la série True Detective je suis devenu plus que conquis par Matthew Mac...!
:yaisse:
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Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o
On se re-fait un cinoche ^^
Battou
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Ah je l'ai pas vu Mud... C'est comment?
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The Lincoln Lawyer !!! The film, le livre était génial et là le film magnifique !!!
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FX
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Killer Joe, je n'ai pas aimé, trop chelou et malsain pour moi.
Kamen
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Plutôt que de dénigrer Interstellar devant un public vendu d'avance à la cause adverse, causons donc de...
Relatos Salvajes (Wild Tales ici)
Ce petit bijou argentin, amplement salué par la critique, est une collection de 6 vignettes sur la gestion de la colère et la vengeance. La violence y est ultra, mais au point qu'elle devient facilement drôle et cartoonesque (la séquence des chauffards !). Souvent dérangeante, malgré tout, car le réalisateur joue énormément sur les limites et les cas de conscience.
Le film peut être vu comme un portrait à charge d'une société malade (l'Argentine), ou une réflexion sur la colère et son effet cathartique. Jusqu'où lâcher la bride ? Quelles sont les conséquences ?
Que dire, sinon que c'était incroyablement maîtrisé et diablemement jouissif. Ma préférence va sans hésitation aux deux volets extrêmes du film (la scène finale de l'avion ou la litanies d'horreurs débitées sur le toit avec l'orage en toile de fond !), mais le reste n'est pas sans charme, à commencer par le segment qui reprend Chute Libre. Et le restaurant, ah, quel grand moment !!!
Bref, courez-y. C'est drôle, c'est trash, c'est superbement filmé, formidablement joué, ce serait un crime de s'en passer. :yaisse:
Relatos Salvajes (Wild Tales ici)
Ce petit bijou argentin, amplement salué par la critique, est une collection de 6 vignettes sur la gestion de la colère et la vengeance. La violence y est ultra, mais au point qu'elle devient facilement drôle et cartoonesque (la séquence des chauffards !). Souvent dérangeante, malgré tout, car le réalisateur joue énormément sur les limites et les cas de conscience.
Le film peut être vu comme un portrait à charge d'une société malade (l'Argentine), ou une réflexion sur la colère et son effet cathartique. Jusqu'où lâcher la bride ? Quelles sont les conséquences ?
Que dire, sinon que c'était incroyablement maîtrisé et diablemement jouissif. Ma préférence va sans hésitation aux deux volets extrêmes du film (la scène finale de l'avion ou la litanies d'horreurs débitées sur le toit avec l'orage en toile de fond !), mais le reste n'est pas sans charme, à commencer par le segment qui reprend Chute Libre. Et le restaurant, ah, quel grand moment !!!
Bref, courez-y. C'est drôle, c'est trash, c'est superbement filmé, formidablement joué, ce serait un crime de s'en passer. :yaisse:
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Donne donc ton avis sur Interstellar ma grande !
Kamen
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Je vais me faire crucifier, mais pourquoi pas, j'assume mon (mauvais ?) gout... C'est un bon film mais je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'extasie dessus en hululant au chef d'oeuvre. La photo est belle mais pas renversante (mettre une camera a l'avant d'un bateau pour donner l'impresssion de vitesse sur la planete aquatique, non), pas une fois je n'ai ete touche par la majeste des environnements, qu'il s'agisse de l'espace ou des planetes. La musique etait cliche au possible dans un tel contexte (mais pas mauvaise au demeurant, au contraire !). Les enjeux de l'histoire m'ont laisse de marbre et le scenario avait trop de bizarreries et d'inchoherences a mon gout (moins que The Dark Knight Rises, heureusement !). La superposition du "drame familial" a celui de l'humanite etait interessante, mais la mayonnaise de prend pas et le pathos m'a souvent agace.
Les acteurs sont tres bons, a commencer par les roles principaux et Matt Damon, dont le personnage etait aussi surprenant que reussi. Mais non, je n'ai pas aime au point de le recommander a mon entourage. J'ai passe un bon (mais longuet) moment. Et je ne pense pas que seuls mes gouts jouent en l'occurrence, puisque je reconnais volontiers que des films que je deteste sont des chefs d'oeuvre a ne pas rater (Paprika, Birdman). Je le trouve completement surcote, et tres decevant pour un Nolan dont la patte se dilue avec chaque film. Que je prefere ses films des debuts, Memento ou The Following, ou ses budgets colossaux passes (Inception, The Prestique, The Dark Knight).
Kamen, raleur incompris
Les acteurs sont tres bons, a commencer par les roles principaux et Matt Damon, dont le personnage etait aussi surprenant que reussi. Mais non, je n'ai pas aime au point de le recommander a mon entourage. J'ai passe un bon (mais longuet) moment. Et je ne pense pas que seuls mes gouts jouent en l'occurrence, puisque je reconnais volontiers que des films que je deteste sont des chefs d'oeuvre a ne pas rater (Paprika, Birdman). Je le trouve completement surcote, et tres decevant pour un Nolan dont la patte se dilue avec chaque film. Que je prefere ses films des debuts, Memento ou The Following, ou ses budgets colossaux passes (Inception, The Prestique, The Dark Knight).
Kamen, raleur incompris
Mad Max: Fury Road
Chef d'œuvre. Rien que ça.
Le film est une sorte de Fast and Furious survitaminé et intelligent, cascade de deux heures non-stop ou presque aux dialogues minimalistes qui font mouche, avec une photographie à se pâmer, des personnages ahurissants et des références multiples aux trois premiers Mad Max. Les costumes, les couleurs, les décorations, les véhicules, l'univers, tout est fou mais fait complètement sens ! Lorsqu'ils partent en guerre, l'un des camions tient un guitariste suspendu dans les airs à l'avant pour motiver les troupes, avec les tambours juste derrière. C'est bête mais ça en jette tellement !
Un nombre incalculable de détails rendant crédible cet univers nécessitent une attention soutenue (par exemple, le tatouage et le branding au début du film), ce qui, avec le rythme effréné des cascades et courses-poursuites n'est pas mince affaire. Les véhicules sont des monstruosités hybrides customisées de partout, mais sans que cela soit complètement gratuit (le monde étant basé sur les engins motorisés, le camion peut par exemple permettre de conserver l'accélérateur enclenché au maximum). Et certains claquent méchamment, comme le semi-remorque de Furiosa ou le camion-pelleteuse, pour n'en citer que deux.
N'oublions pas les personnages, en particulier féminins : ils sont relativement nombreux et constituent autant l'enjeu que le moteur de l'action. Ces dames ne sont pas relayées au rôle de donzelles en détresse à sauver, elles sont la clé de l'avenir dans un monde en plein dégénérescence et elles se prennent en main. Une telle galerie de femmes à la fois fragiles et fortes, ça m'a bluffé. Car il ne s'agit pas seulement de mettre la main sur la précieuse denrée que constitue l'essence, mais bien d'assurer la survie de l'espèce : l'eau, la terre, la perpétuation de l'espèce. Tout cela peut-il être accaparé par les seigneurs de guerre locaux, et avec quelles conséquences ?
À côté de cela, Max est quasiment un spectateur, ou du moins il est relégué au rang d'adjuvant de l'action, son rôle étant clairement défini dès la scène d'introduction : c'est un survivant, et c'est tout ce qu'il sait faire. Mais il le fait bien.
L'ambiance tribale est renforcée par la B.O. et la mystique de ce monde, où les Warboys se scarifient à tour de bras pour se customiser autant que leurs véhicules et rêvent de mourir au service des immortels pour atteindre le Valhalla, non sans s'être pieusement recueilli juste avant (Shiny and chrome!). Le recyclage des bombes de peinture est d'ailleurs intéressant.
Enfin, la photographie est à tomber. Les couleurs sont saturées de jaune et d'orange, pour mieux contraster avec le bleu-gris étouffant des nuits, en particulier dans les zones interdites. Les cascades sont à couper le souffle mais sans que l'action ne perde en lisibilité. Et les costumes sont à la fois fous et tellements... crédibles dans cet univers étrange de parade et démonstration perpétuelle.
Courrez-y ! Par contre, âmes sensibles s'abstenir, il y a un lot de scènes bien gores ou dérangeantes. Mais c'est cohérent avec le reste...
Chef d'œuvre. Rien que ça.
Le film est une sorte de Fast and Furious survitaminé et intelligent, cascade de deux heures non-stop ou presque aux dialogues minimalistes qui font mouche, avec une photographie à se pâmer, des personnages ahurissants et des références multiples aux trois premiers Mad Max. Les costumes, les couleurs, les décorations, les véhicules, l'univers, tout est fou mais fait complètement sens ! Lorsqu'ils partent en guerre, l'un des camions tient un guitariste suspendu dans les airs à l'avant pour motiver les troupes, avec les tambours juste derrière. C'est bête mais ça en jette tellement !
Un nombre incalculable de détails rendant crédible cet univers nécessitent une attention soutenue (par exemple, le tatouage et le branding au début du film), ce qui, avec le rythme effréné des cascades et courses-poursuites n'est pas mince affaire. Les véhicules sont des monstruosités hybrides customisées de partout, mais sans que cela soit complètement gratuit (le monde étant basé sur les engins motorisés, le camion peut par exemple permettre de conserver l'accélérateur enclenché au maximum). Et certains claquent méchamment, comme le semi-remorque de Furiosa ou le camion-pelleteuse, pour n'en citer que deux.
N'oublions pas les personnages, en particulier féminins : ils sont relativement nombreux et constituent autant l'enjeu que le moteur de l'action. Ces dames ne sont pas relayées au rôle de donzelles en détresse à sauver, elles sont la clé de l'avenir dans un monde en plein dégénérescence et elles se prennent en main. Une telle galerie de femmes à la fois fragiles et fortes, ça m'a bluffé. Car il ne s'agit pas seulement de mettre la main sur la précieuse denrée que constitue l'essence, mais bien d'assurer la survie de l'espèce : l'eau, la terre, la perpétuation de l'espèce. Tout cela peut-il être accaparé par les seigneurs de guerre locaux, et avec quelles conséquences ?
À côté de cela, Max est quasiment un spectateur, ou du moins il est relégué au rang d'adjuvant de l'action, son rôle étant clairement défini dès la scène d'introduction : c'est un survivant, et c'est tout ce qu'il sait faire. Mais il le fait bien.
L'ambiance tribale est renforcée par la B.O. et la mystique de ce monde, où les Warboys se scarifient à tour de bras pour se customiser autant que leurs véhicules et rêvent de mourir au service des immortels pour atteindre le Valhalla, non sans s'être pieusement recueilli juste avant (Shiny and chrome!). Le recyclage des bombes de peinture est d'ailleurs intéressant.
Enfin, la photographie est à tomber. Les couleurs sont saturées de jaune et d'orange, pour mieux contraster avec le bleu-gris étouffant des nuits, en particulier dans les zones interdites. Les cascades sont à couper le souffle mais sans que l'action ne perde en lisibilité. Et les costumes sont à la fois fous et tellements... crédibles dans cet univers étrange de parade et démonstration perpétuelle.
Courrez-y ! Par contre, âmes sensibles s'abstenir, il y a un lot de scènes bien gores ou dérangeantes. Mais c'est cohérent avec le reste...
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The WormLord
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Enfin, la photographie est à tomber. Les couleurs sont saturées de jaune et d'orange, pour mieux contraster avec le bleu-gris étouffant des nuits,
Je vous sers un ver ?
Kamen
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Hum, que des films que je n'ai pas été voir, ça expliquerait pourquoi le concept visuel me semble nouveau.
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Wingman
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Mad Max: Fury Road
Chef d'œuvre. Rien que ça.
Le film est une sorte de Fast and Furious survitaminé et intelligent, cascade de deux heures non-stop ou presque aux dialogues minimalistes qui font mouche, avec une photographie à se pâmer, des personnages ahurissants et des références multiples aux trois premiers Mad Max. Les costumes, les couleurs, les décorations, les véhicules, l'univers, tout est fou mais fait complètement sens ! Lorsqu'ils partent en guerre, l'un des camions tient un guitariste suspendu dans les airs à l'avant pour motiver les troupes, avec les tambours juste derrière. C'est bête mais ça en jette tellement !
Un nombre incalculable de détails rendant crédible cet univers nécessitent une attention soutenue (par exemple, le tatouage et le branding au début du film), ce qui, avec le rythme effréné des cascades et courses-poursuites n'est pas mince affaire. Les véhicules sont des monstruosités hybrides customisées de partout, mais sans que cela soit complètement gratuit (le monde étant basé sur les engins motorisés, le camion peut par exemple permettre de conserver l'accélérateur enclenché au maximum). Et certains claquent méchamment, comme le semi-remorque de Furiosa ou le camion-pelleteuse, pour n'en citer que deux.
N'oublions pas les personnages, en particulier féminins : ils sont relativement nombreux et constituent autant l'enjeu que le moteur de l'action. Ces dames ne sont pas relayées au rôle de donzelles en détresse à sauver, elles sont la clé de l'avenir dans un monde en plein dégénérescence et elles se prennent en main. Une telle galerie de femmes à la fois fragiles et fortes, ça m'a bluffé. Car il ne s'agit pas seulement de mettre la main sur la précieuse denrée que constitue l'essence, mais bien d'assurer la survie de l'espèce : l'eau, la terre, la perpétuation de l'espèce. Tout cela peut-il être accaparé par les seigneurs de guerre locaux, et avec quelles conséquences ?
À côté de cela, Max est quasiment un spectateur, ou du moins il est relégué au rang d'adjuvant de l'action, son rôle étant clairement défini dès la scène d'introduction : c'est un survivant, et c'est tout ce qu'il sait faire. Mais il le fait bien.
L'ambiance tribale est renforcée par la B.O. et la mystique de ce monde, où les Warboys se scarifient à tour de bras pour se customiser autant que leurs véhicules et rêvent de mourir au service des immortels pour atteindre le Valhalla, non sans s'être pieusement recueilli juste avant (Shiny and chrome!). Le recyclage des bombes de peinture est d'ailleurs intéressant.
Enfin, la photographie est à tomber. Les couleurs sont saturées de jaune et d'orange, pour mieux contraster avec le bleu-gris étouffant des nuits, en particulier dans les zones interdites. Les cascades sont à couper le souffle mais sans que l'action ne perde en lisibilité. Et les costumes sont à la fois fous et tellements... crédibles dans cet univers étrange de parade et démonstration perpétuelle.
Courrez-y ! Par contre, âmes sensibles s'abstenir, il y a un lot de scènes bien gores ou dérangeantes. Mais c'est cohérent avec le reste...
Je n'ai Jamais été aussi pris par un film que celui-ci. J'ai transpiré comme un fou, j'ai sursauté à des moments pas flippants mais de peur pour les persos (et ça ne m'arrive jamais d'habitude, même dans les films d'horreur).
Ce film est juste fou.
Si ça vous intéresse et que vous avez vu le film voici un petit behind the scene
[http://www.youtube.com/watch?v=UKY3scPIMd8#ws
Battou
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Quels films ne font plus dans le "Orange vs blue" aujourd'hui ?Citation de Kamen le 18 Mai 2015 à 10:45 Enfin, la photographie est à tomber. Les couleurs sont saturées de jaune et d'orange, pour mieux contraster avec le bleu-gris étouffant des nuits,
Du coup j'ai passé 1h dans l'avion à zapper de film en film pour vérifier ce constat.
Et c'est trop vrai... oh noes :peur:
Le guitare-guy.. Le put@@n de guitare-guy !!!! :fou:
Ce personnage incarne toute la folie et la.démesure de ce film.
Ce personnage incarne toute la folie et la.démesure de ce film.
Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o
Alaiya
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Mad Max:
honnêtement, j'étais pas super motivée pour aller le voir, ayant gardé certes un bon souvenir des premiers, mais je me disais que c'était une époque, et que ça risquait bien de ne plus être celle d'aujourd'hui. Et honnêtement, au début, pendant, allez, le premier quart d'heure, je me suis effectivement demandée ce que je foutais dans la salle en train de regarder ce gigantesque portenawak et pourquoi diable je n'avais pas vérifié, avant de venir, la durée de ce film qui risquait d'être... long.
Et puis, Furiosa. Et là, ça change tout. Le film décolle, l'histoire se dévoile, et Charlize Theron est juste magistrale tout du long. C'est ultra méga bourrin, violent, sanglant, amoral mais j'ai trouvé là-dedans une forme de justesse et d'humanité que j'ai vraiment beaucoup aimée. Furiosa est une lumière, elle est sa propre quête initiatique et franchement, je me suis régalée. Niveau combats et courses poursuites, c'est foutrement bien fait, on en prend plein la tronche et les oreilles, c'est un truc de malade. A souligner également les aspects mystiques, comme si finalement, l'être humain était bien incapable de se passer de croyances auxquelles se raccrocher, même qaund il n'y a plus aucune raison de croire en quoi que ce soit.
Bref, c'était bien :o
PS: par contre, les parents qui amènent leur gamine de 9 ou 10 ans voir ce film, c'était du très très grand n'importe quoi.
honnêtement, j'étais pas super motivée pour aller le voir, ayant gardé certes un bon souvenir des premiers, mais je me disais que c'était une époque, et que ça risquait bien de ne plus être celle d'aujourd'hui. Et honnêtement, au début, pendant, allez, le premier quart d'heure, je me suis effectivement demandée ce que je foutais dans la salle en train de regarder ce gigantesque portenawak et pourquoi diable je n'avais pas vérifié, avant de venir, la durée de ce film qui risquait d'être... long.
Et puis, Furiosa. Et là, ça change tout. Le film décolle, l'histoire se dévoile, et Charlize Theron est juste magistrale tout du long. C'est ultra méga bourrin, violent, sanglant, amoral mais j'ai trouvé là-dedans une forme de justesse et d'humanité que j'ai vraiment beaucoup aimée. Furiosa est une lumière, elle est sa propre quête initiatique et franchement, je me suis régalée. Niveau combats et courses poursuites, c'est foutrement bien fait, on en prend plein la tronche et les oreilles, c'est un truc de malade. A souligner également les aspects mystiques, comme si finalement, l'être humain était bien incapable de se passer de croyances auxquelles se raccrocher, même qaund il n'y a plus aucune raison de croire en quoi que ce soit.
Bref, c'était bien :o
PS: par contre, les parents qui amènent leur gamine de 9 ou 10 ans voir ce film, c'était du très très grand n'importe quoi.
iDam
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1 an et demi plus tard, il est là.
J'ai été déçu par cette overdose de WTF et d'actions trop vite expédiées. Je ne parlerai pas des incohérences dont certaines sont évidemment volontaires (ex : un raptor au pays des viking) tandis que d'autres sont risibles (les groupes de nazis nonames en background).
D's©
J'ai été déçu par cette overdose de WTF et d'actions trop vite expédiées. Je ne parlerai pas des incohérences dont certaines sont évidemment volontaires (ex : un raptor au pays des viking) tandis que d'autres sont risibles (les groupes de nazis nonames en background).
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