J'ai commence le volume 4, achete la semaine derniere au Kinokuniya.
Du coup je me suis refait les 3 premiers volumes pour me rememorrer l'histoire.
Bon, certains passages sont toujours aussi décousu : déplacements géographiques peu renseignés
- "je vais voir Artemis" --> case suivante (litteralement!) = devant l'entree du temple.
- "je vais voir Cronos" --> case suivante (litteralement!) = devant l'espece de trou informe et diffu qui constitue son antre...
Je sais que c'est des remarques de fanboy a la noix, que "c'est pas ca le plus important", ou quoi. Oui mais c'est pas comme si on avait des choses en contrepartie, genre poesie ou autre...
Les dessins sont particulierement horribles, encore plus maintenant qu'en 86... j'ai l'impression d'etre le seul a tilter la dessus, mais je persiste.
Mais je ne sais pas... il se degage du truc quand meme quelque chose, je ne sais pas... les personnages introduits (?), le decorum. Pourtant tout est tres similaire a la premiere histoire (poisson mechant, pope fou, etc.). Mais au final je prefere ce qu'a fait Kurumada avec ces golds-ci (Cardinal, Shijima, Izou et Ox pour le moment), qui semblent paradoxalement (car ils n'ont tous eu pour l'instant que quelques pages de presences) plus travailles que les clones du Lost Canvas.
Au final, quand je lis Next Dimension, je suis revolte par beaucoup de trucs assez importants (a commencer par la "promo" de Douko et Shion...), mais a chaque page parcourue je ne peux m'empecher penser a "l'autre prequel", de realiser a quel point Lost Canvas est une coquille vide, catalogues de poseurs, avec uniquement un bel emballage graphique.
Lost Canvas, c'est une succession de combats ennuyeux scenaristiquement car aucun rebondissements et finissants tous de la meme maniere par la mort d'un gold-clone. Je n'attendais meme pas les volumes suivants car aucuns cliffhanger, rien...
Il ne faut pas vendre la peau de l'ane qui n'a pas soif, mais pour l'instant, Next m'emballe bien... On verra si ca continue.
J'editerai le message quand j'aurai lu le vol 4.
