pff, mais sur quelle planète ce type vit-il pour ne pas se rendre compte qu'il est FINI et enterré... :lac:
Re: [Politiques] La bande à 2007 : nico, ségo, domi, jack, lolo, phil et les aut
« Réponse #195, le 29 Juin 2006 à 10:14 »
Richard Matthew Stallman (né à Manhattan, le 16 mars 1953), connu aussi sous les initiales RMS, est le fondateur du mouvement pour le logiciel libre. Il est à l'origine du projet GNU et de la licence publique générale GNU, qu'il a rédigée avec l'avocat Eben Moglen. L'invention du terme anglais copyleft (« gauche d'auteur », opposé à copyright, « droit d'auteur » en français) lui est attribuée. Programmeur renommé de la communauté informatique américaine et internationale, il a développé l'éditeur de texte GNU Emacs, le compilateur C de GNU et le débogueur GNU.
«J'assume pleinement la responsabilité de cet échec et j'en tire les conclusions en me retirant de la vie politique après la fin de l'élection présidentielle.»
C?est Nicolas Sarkozy qui assure aux députés que jamais l?Etat ne descendra en dessous du seuil de participation de 70% dans le capital de Gaz de France. Désormais, il soutient la privatisation de l?entreprise publique, préalable à sa fusion avec Suez. Fait significatif : invité hier soir du journal de France 3, Nicolas Sarkozy n?a même pas été confronté à sa promesse antérieure par la journaliste qui l?interrogeait, preuve supplémentaire qu?un engagement pris dans la vie politique française n?a aucune valeur pour personne.
[...]Le journalisme, pour ce qui le concerne, n?a jamais fait de la morale une question importante dans son traitement de l?actualité. Représentatif en cela de la culture dominante, il fait la part belle, avec complaisance, au romantisme de la politique qui survalorise le parcours des acteurs, leurs revirements, leurs interminables courses au pouvoir de leurs interminables carrières, plutôt que la rectitude de leurs propos et de leur pensée.
Ce journalisme-là est une faiblesse. Il ne remplit pas le rôle qui devrait être le sien, aujourd?hui, dans une société gangrénée par le doute et affaiblie par la méfiance.
Arrivé main dans la main avec son épouse Cécilia, le numéro deux du gouvernement a eu droit à un accueil dithyrambique de la part des responsables de l'institution parisienne qui ont justifié son entrée au musée par sa "longue carrière d'homme politique", sa "forte médiatisation" et son "implication passionnée dans la vie" du pays.