J'avais déjà passé l'info Squek' ! ^^
Angkor est devenue la plus grande cité du M-A.
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Début du rapatriement de Coréens de Sakhaline prévu en septembre
Les plus anciens des membres de l'importante communauté coréenne de l'île de Sakhaline en Extrême-Orient russe commenceront d'être rapatriés mi-septembre en Corée du Sud, a annoncé lundi le président de leur association.
Avant 1945, une quarantaine de milliers de Coréens se sont installés sur cette grande île dont la moitié sud appartenait alors au Japon. Ils ont été forcés, pour leur grande majorité, d'y travailler à partir de 1939 dans les mines de charbon par les Japonais qui colonisaient la Corée depuis 1910.
"D'ici novembre 2007, 610 personnes âgées déménageront et obtiendront plus de 300 appartements. En 2007, le gouvernement japonais a alloué 2,8 millions de dollars au financement des frais de transport de ces personnes âgées et à leur installation (mobilier et équipements électroménagers pour leurs appartements)", a expliqué Nikolaï Pak à l'agence de presse russe Interfax.
Les personnes concernées par ce projet sont les Coréens de la première génération, c'est-à-dire nés avant le 15 août 1945, qui souhaitent retourner vivre sur leur terre d'origine, a précisé le président de l'association.
"Le gouvernement de la Corée du Sud a promis de rapatrier d'ici 2010 tous les Coréens de Sakhaline de la première génération, y compris ceux qui vivent à présent dans d'autres régions de Russie où dans la CEI (ex-URSS moins les trois Etats baltes), a précisé M. Pak.
Il reste à Sakhaline quelque 4.000 Coréens âgés et en tout 30.000 Coréens toutes générations confondues, pour une population totale évaluée en 2006 par l'administration locale à plus de 526.000 personnes, îles Kouriles comprises.
La communauté coréenne de Russie et de la CEI est forte de 400.000 personnes, dont 300.000 en Russie, selon les données de l'association citées par Interfax.
L'Histoire a partagé l'île de Sakhaline entre la Russie et le Japon, dont elle n'est séparée que d'une quarantaine de kilomètres. Sa moitié sud est revenue au Japon après la guerre russo-japonaise en 1905, avant que l'URSS n'en reprenne le contrôle en 1945.
Tourisme – Campagne contre le trafic humain.-
Le Ministère du Tourisme a annoncé le lancement d’une série d’initiatives visant à promouvoir un tourisme propre, et renforcer les actions de lutte contre le trafic des femmes et des enfants. Parmi ces initiatives, la publication d’un plan d’action à destination des différentes autorités et d’un manuel d’instruction, devraient aider les différents acteurs du secteur touristique à coordonner leurs actions dans ce domaine. Il est notamment prévu que les responsables d’hôtels, de guesthouses, et d’autres établissements touristiques informent la police touristique ou les autres autorités de toute situation suspecte. Cette campagne a notamment été conçue avec le soutien technique et financier de l’Organisation Internationale du Travail. Philip Setkao, président de l’Association Hôtelière nationale, et directeur général de l’hôtel Borei Angkor de Siem Reap, a notamment apporté son soutien à cette initiative.
J'espere que les dirigent d'hotel joueront le jeux et que ca aidera à ralentir ce putain de trafic
Nuon Chea, plus haut responsable encore en vie de l'ancien régime des Khmers rouges, écroué et inculpé mercredi au Cambodge de crimes de guerre et crimes contre l'humanité, a contesté les accusations, dans des documents du tribunal spécial publiés vendredi.
"Nuon Chea a contesté les crimes dont il est accusé, indiquant qu'il aurait honte d'avoir commis de tels crimes", selon un document du tribunal spécial parrainé par l'ONU et chargé de juger les crimes commis sous le régime khmer entre 1975 et 1979.
Principal lieutenant du chef des Khmers rouges Pol Pot, Nuon Chea, 82 ans, a été interpellé mercredi à la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande puis inculpé et écroué par le tribunal spécial.
Quelque deux millions de personnes ont trouvé la mort sous ce régime ultra-maoïste, qui a fait régner la terreur au Cambodge entre 1975 et 1979.
Nuon Chea a également assuré qu'il n'avait jamais été en position d'ordonner des exécutions. "Nous n'avions pas de contact direct avec la base et nous ne savions pas ce qui se passait. Tout le pouvoir était entre les mains du comité militaire auquel lui-même n'appartenait pas", a-t-il indiqué aux juges peu après son arrestation.
L'ancien lieutenant de Pol Pot a également indiqué avoir été "membre du pouvoir législatif et à ce titre n'a jamais pris une loi ordonnant d'exécuter des citoyens".
Il a par ailleurs choisi d'être défendu par un avocat cambodgien alors qu'il avait annoncé dans un premier temps vouloir assurer lui-même sa propre défense.
Nuon Chea, 82 ans, numéro deux et idéologue en chef de l'ancien pouvoir ultra-maoïste des Khmers rouges est accusé d'avoir ordonné des exécutions entre 1975 et 1979, période pendant laquelle quelque deux millions de Cambodgiens ont trouvé la mort.
Nuon Chea a par ailleurs contesté devoir être placé en détention, affirmant qu'il vivait depuis 1998 près de la frontière thaïlandaise et n'avait jamais cherché à fuir.
Les deux juges en charge de l'instruction, Marcel Lemonde et You Bunleng, ont estimé pour leur part que Nuon Chea devait être détenu pour assurer l'ordre public, ainsi que pour sa propre sécurité.
"A la lumière des documents et des témoignages impliquant Nuon Chea, il y des raisons fondées de croire qu'il a commis les crimes qui lui sont reprochés", ont estimé les deux juges.
"Ces crimes sont d'une telle gravité que 30 ans après, ils troublent encore profondément l'ordre public", ont ajouté les juges.
Avec l'arrestation de Nuon Chea, au total cinq ex-responsables du régime khmer rouge (1975-79) sont susceptibles d'être jugés par le tribunal du génocide cambodgien à partir de 2008.
La junte militaire en Birmanie avait annoncé jeudi qu'elle organiserait en novembre une nouvelle vente aux enchères de gemmes et de jade en dépit des appels internationaux au boycottage des pierres précieuses en provenance de ce pays. Le quotidien officiel birman New Light of Myanmar a précisé que la vente se déroulerait du 7 au 19 novembre.
D'abord le joaillier Cartier, filiale du groupe suisse Richemont, puis Bulgari, le plus célèbre bijoutier italien, ont demandé après cette annonce à leurs fournisseurs de certifier l'origine de leurs pierres afin d'écarter un achat en provenance de Birmanie.
«Bien que l'entreprise n'ait jamais acquis de pierres directement au Myanmar (ex- Birmanie) mais seulement sur les marchés internationaux, elle a expressément demandé à ses fournisseurs des garanties sur la provenance géographique de leurs pierres précieuses», indique un communiqué de Bulgari.
La «vallée des rubis», c'est-à-dire la région de Mogok (interdite aux touristes), extrait de ses mines depuis 700 ans saphirs et autres gemmes de prix, en particulier les plus beaux rubis du monde. Selon des témoignages de mineurs birmans, l'extraction se fait dans des conditions de travail effroyables.
La décision de Bulgari, troisième joaillier mondial, intervient bien après celle de l'américain Tiffany qui a cessé de s'approvisionner en Birmanie en 2003. Par ailleurs, l'association professionnelle des joailliers d'Amérique a demandé en fin de semaine dernière, dans une lettre au Congrès, d'interdire spécifiquement la vente aux Etats-Unis de gemmes extraites dans ce pays.
Contrebande
L'annonce a été faite deux semaines après la répression brutale par le régime des généraux d'un mouvement de protestation populaire emmené par des bonzes et des opposants, qui a suscité de nombreuses condamnations sur tous les continents. Des nombreuses rumeurs accusent déjà les militaires birmans d'organiser la contrebande d'opium du fameux Triangle d'or (une région à cheval sur la Thaïlande, le Laos et la Birmanie) où la drogue est cultivée. Des observateurs estiment ainsi que Rangoon a déjà l'«expertise» nécessaire pour exporter ces gemmes de la même manière.
Sanctions
Les sanctions américaines destinées à punir le régime birman interdisent en effet les importations provenant directement de Birmanie mais, d'après l'Association des joailliers d'Amérique, les douanes américaines avaient créé en 2004 une échappatoire juridique en statuant que les pierres extraites en Birmanie mais taillées ou polies dans un autre pays pouvaient entrer aux Etats-Unis. Rappelons que le commerce des diamants de «sang», qui provenaient des régions en guerre d'Afrique, avait aussi été boycotté avec plus ou moins de succès. Les enchères en Birmanie attirent en général des centaines d'acheteurs, principalement de Chine, d'Inde et de Thaïlande.
Un pactole annuel de 600 millions
Les ventes aux enchères de pierres précieuses sont devenues pour la dictature birmane l'une des principales sources officielles de devises étrangères, attirant des acheteurs du monde entier qui dépensent ainsi jusqu'à 600 millions de francs par an. La Birmanie, où un foyer sur quatre vit sous le seuil de pauvreté, recèle dans ses entrailles de trésors de pierres précieuses, fournissant près de 90% des rubis du monde et disposant d'importants dépôts de jade, très convoités par la Chine voisine. En dépit de sanctions contre le régime, de nombreuses pierres de Birmanie parviennent sur les marchés occidentaux par l'intermédiaire de la Thaïlande voisine, où elles sont taillées et polies avant d'être vendues aux Etats-Unis ou en Europe. La Thaïlande est ainsi devenue le premier exportateur mondial de rubis en 2006. Lors d'une vente aux enchères de Christie's, un rubis birman de 8,62 carats a atteint un prix record de 3,7 millions de dollars.
De Bangkok à Vientiane en train
Le Ministère thaïlandais des transports a annoncé samedi dernier que la liaison par voie ferrée entre les capitales de Thaïlande et du Laos entrerait en service à la fin du mois d'avril. Le projet, lancé il y a 18 mois, consistait à prolonger des lignes existantes des deux côtés de la frontière pour les faire se rejoindre au milieu du pont de l'amitié Lao-Thaïlandaise. La plus grande partie du chantier se trouve côté laotien avec une extension de 3,5 kilomètres de voie ferrée depuis la gare Tha Na Laeng située dans les faubourgs de Vientiane, la capitale. Les autorités des deux pays se sont félicitées de l'aboutissement de ce projet qui devrait dynamiser le tourisme et les échanges commerciaux dans la région.