Skip to main content
Topic: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité (Read 18095 times) previous topic - next topic

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #105
Mais les Romains sont classe ! :classe:

Sinon épisode 3 :

AGRIPPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!  :w00t2:  :w00t2:  :w00t2:
Bon sinon, Cicéron Spoiler (click to show/hide)

Et le "Giton", il me fait trop marrer, parfait pour le rôle du petit minet.


Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #107
mais ouais, la fin de la saison 2 est au niveau de la 1, et en plus y a Cléopâtre, donc c'est le bien. Sauf que tu ne peux pas te permettre de rater un épisode, vu la quantité d'informations qu'il y a dedans...

Steph c'est qui le Giton ? :mouais: Mécène ? Je le déteste ce petit con... :humpf:

Et Agippa je le trouve moche. En plus il se tape Octavia et ça c'est un sacrilège :hypocrite:

Quant à Cicéron, au final, j'ai bien aimé son personnage. Enfin LE personnage, vu qu'il a existé. Complètement humain : lâche, couard, arriviste, opportuniste, mais qui veut se racheter bonne conscience... Rien que de très normal, en fait.
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #108
J'ai été quant à moi un peu surpris par le traitement du personnage de Scipion.... Qu'est-ce que vous en pensez (avant que je spoil) ?

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #109
Difficile à dire, vu qu'on ne le voit presque pas. Il est vraiment traité comme un personnage secondaire. En tout cas à mon avis. D'un autre côté, c'est vrai qu'on s'en foutait un peu de lui ^^
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #110

Il est vraiment traité comme un personnage secondaire.


C'est bien ce que je trouvais, oué. Je déplore ce traitement, personnellement. :P

 

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #111

Steph c'est qui le Giton ? :mouais: Mécène ? Je le déteste ce petit con... :humpf:

Non je n'ai pas encore vu Mécène. Le "Giton", c'est Duro son nom je crois. Spoiler (click to show/hide)
Je l'ai appelé Giton en référence au personnage du Satiricon de Pétrone. C'est le petit amant des deux autres personnages.

Quote
Et Agippa je le trouve moche. En plus il se tape Octavia et ça c'est un sacrilège :hypocrite:

En même temps il n'y a pas que lui.  :whistling2:
Moi je l'ai trouvé trop classe. Surtout que je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il arrive comme ça. Il a quand même son nom sur le Panthéon quoi !  :wub:

Quote
Quant à Cicéron, au final, j'ai bien aimé son personnage. Enfin LE personnage, vu qu'il a existé. Complètement humain : lâche, couard, arriviste, opportuniste, mais qui veut se racheter bonne conscience... Rien que de très normal, en fait.
Lis le tome I de ses correspondances ou son Brutus et tu verras si tu le trouves toujours sympathique. "J'ai sauvé la République, je suis l'orateur parfait, je veux mon triomphe, blablabla".  :sleeping: Plus lourd que ça, tu meurs.

Pour Scipion, je m'en fiche un peu personnellement. :bah:
: Jeudi 05 Avril, 10:23:55
Tiens, Si ça vous intéresse (et je n'en doute pas  :whistling2: ), j'ai retrouvé la chanson que l'esclave chante dans l'épisode 4 et qu'ils appellent "Crown of Sappho". C'est du grec (bien sûr) et il s'agit du fragment 1 de Sappho (logique aussi).
: Jeudi 05 Avril, 12:35:22
Je viens de regarder l'épisode 6.
Spoiler (click to show/hide)

: Vendredi 06 Avril, 18:43:56
Whaaaa !!!! L'épisode de fou !!!! :w00t2:
Ca mérite quelques commentaires approfondis !!! (et oui :P)

Les mariages :
Déjà on a la formule rituelle "Ubi tu Gaius, ego Gaia" (là où tu seras Gaius, je serai Gaia). Bon, ce n'est pas tout à fait ça, apparemment. D'après Plutarque, la formule était prononcée par l'épouse uniquement lorsqu'elle était introduite dans la maison de son nouvel époux. Mais je trouve que c'est très bien amené quand même.
Par contre, ce qui m'intéresse beaucoup plus, c'est la prière en latin qui suit les voeux. Elle est adressée à Pater Iuppiter, Mater Iuno, Mater Venus, Mater Suadela, Mater Diana (Père Jupiter, Mère Junon, Mère Vénus, Mère Persuasion, Mère Diane). J'ignore si la prière en tant que telle est attestée dans la littérature ou l'épigraphie, je vérifierai. Dans les Questions Romaines, 2, Plutarque cite cinq divinités en rapport avec le mariage : Zeus, Héra, Aphrodite, Peithô et Artémis. Evidemment, il les cite en grec mais elles correspondent tout à fait aux cinq divinités romaines qui sont invoquées ici. Pourquoi faut-il cinq divinités pour patronner le mariage ? En fait, chacune d'elle remplit une fonction qui est propre à ses attributions. Zeus et Héra, c'est le couple divin par excellence. Ils sont garants de la légalité du mariage. Aphrodite patronne l'union sexuelle des deux époux, Peithô (la persuasion) car il faut "convaincre, persuader" l'épouse de passer de la maison du père à celle du mari et enfin Artémis protège les accouchements.

La devotio
C'est un rituel religieux romain un peu particulier... En fait il s'agit d'une déformation des voeux (votum) qu'on pouvait adresser à une divinité. On en a un exemple au tout début de la saison 1 de Rome, quand Titus Pullo promet à un dieu de lui sacrifier un animal s'il le fait sortir de prison. Une fois le voeu exaucé, on procédait à un sacrifice ou on consacrait une offrande (ex-voto). La devotio c'est un peu ça, sauf qu'on offre sa vie en guise de paiement et on "oblige" en quelque sorte la divinité à remplir sa part du contrat puisqu'on l'offre avant l'exaucement du voeu. On a un exemple célèbre de cela chez Tite-Live : le consul P. Decius, voyant que l'armée romaine était en difficulté, décide de se dévouer, lui et les ennemis, aux dieux des Enfers.
Spoiler (click to show/hide)

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #112


Content de voir que j'avais raison, s'pas ? :mrgreen:

Comme quoi j'ai pas que des goûts de chiottes :p

Pauvre Octavie, pauvre Octavie, elle a quand même été fréquentée par Antoine, qui est la classe incarnée !

Concernant Lépidus, je suis un peu septique. On est dans la phase du triumvirat officiel, comme tu dis, mais on ne le vois pas, ou presque. Il ne serait pas là, ce serait pareil. Le faire apparaître un tout petit peu plus dans la série aurait été plus mieux, je trouve...
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #113

Concernant Lépidus, je suis un peu septique. On est dans la phase du triumvirat officiel, comme tu dis, mais on ne le vois pas, ou presque. Il ne serait pas là, ce serait pareil. Le faire apparaître un tout petit peu plus dans la série aurait été plus mieux, je trouve...

En fait, ce qui m'a surtout gênée moi, c'est au moment de la conclusion du triumvirat. On a vraiment l'impression que Lépide est un second d'Antoine et que l'alliance ne s'établit qu'entre Octave et Antoine. Si on ne connaît pas un petit bout d'histoire, on ne comprend pas très bien pourquoi ils retrouvent à trois ensuite. Sinon il est clair dès le départ que le conflit final ce sera entre Octave et Antoine, et Lépide n'est là que temporairement. Si on ne le voit pas plus à mon avis, c'est parce qu'ils ont encore simplifié la situation politique. On ne parle pas par exemple du partage des provinces d'Occident, de la guerre contre les Parthes que livre Antoine, de la démobilisation des légions, etc. Donc l'effacement de Lépide était sans doute plus progressif mais à ce moment là :
Quote
Ce fut une sorte de partage du monde, puisque l'univers romain se trouva divisé en deux zones d'influence. L'Orient hellénique reviendrait à Antoine - cela correspondait d'ailleurs parfaitement à son génie novateur -, et l'Occident à Octave. Lépide, de plus en plus effacé, garderait l'Afrique.
L. Jerphagnon, Histoire de la Rome Antique, p. 179


Sinon, je me suis rappelé qu'en fait, Antoine avait une femme qui s'appelait Fulvie.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #114

En fait, ce qui m'a surtout gênée moi, c'est au moment de la conclusion du triumvirat. On a vraiment l'impression que Lépide est un second d'Antoine et que l'alliance ne s'établit qu'entre Octave et Antoine.


Exactement ! :D durant cette scène, je ne savais même pas qui était le 3ème à côté d'eux. C'est ballot...


On ne parle pas par exemple du partage des provinces d'Occident. Donc l'effacement de Lépide était sans doute plus progressif mais à ce moment là :
Quote
Ce fut une sorte de partage du monde, puisque l'univers romain se trouva divisé en deux zones d'influence. L'Orient hellénique reviendrait à Antoine - cela correspondait d'ailleurs parfaitement à son génie novateur -, et l'Occident à Octave. Lépide, de plus en plus effacé, garderait l'Afrique.
L. Jerphagnon, Histoire de la Rome Antique, p. 179



Toi tu n'as pas vu l'épisode 8 :shifty:

C'était qui Fulvie ? Elle a eu de l'importance ? Elle a servi à quelque chose ? Parce que bon on n'en parle jamais dans la série.


(blague à part, le "génie novateur" d'Antoine, dans la série, je le cherche encore ^^)
: 07 Avril 2007, 15:28:22
Bien, Rome est donc terminé pour moi.

Dernières impressions, remarques et interrogations :

Depuis le début, je me demande ce qu'est le mur gravé sur lequel une personne déplace un petit veau d'or (ou un truc du genre). C'est un calendrier je suppose ? Il est gigantesque.

J'adore l'orateur. Un rôle que j'aurai bien pu faire, à l'époque. Un peu gras, mais classe dans ses mouvements.

Octavia toujours aussi belle, Cléopâtre presque émouvante, Antoine définitivement trop classe, je suis fort content d'avoir enfin appris qui il était.

De son côté, Octave est définitivement un horrible petit con ^^ En plus l'acteur a bien la tête de psychopathe qu'il faut. J'ai du mal à le supporter, à la fin, presqu'autant que Mécène (mais qu'on voit beaucoup moins).

J'imagine que l'histoire entre Césarion et Pullo est de la pure invention ? Bon, c'est pour le happy end, soit, mais le plan final sur Attia était tellement beau qu'il aurait pu convenir comme fin de série.

D'une manière générale, il manque dans la saison 2 un personnage de la carrure et classe de César, Caius Julius. Marc Antoine est très bon, mais pas le même niveau.


Bon maintenant, je veux avoir sur mes écrans Athènes, avec tous les quelques mythes divins mis en scène :yes:
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #115
Je viens de terminer moi aussi cette deuxième saison avec un dernier épisode qui ma foi m'a beaucoup plu.

La saison comporte donc des épisodes tout bons et tout mauvais : elle démarre très fort avec l'épisode 1 pour retomber très vite à partir du 2. Il faudra donc attendre le 7e (comme l'avait fort justement précisé notre ami RL) pour retrouver tout ce qui fait le charme de la série. Comme je l'avais déjà dit, je pense que le manque d'attrait des épisodes 2-6 est dû au fait que l'équilibre s'est rompu entre la partie privée et publique. On passe vraiment trop de temps sur des événèments dont on n'a, disons-le clairement, rien à battre. Surtout quand on s'intéresse principalement à ce qui se passe au niveau du pouvoir.
Au niveau des personnages, Antoine est quand même diablement charismatique. Et je dois avouer que le maquillage égyptien lui va pas trop mal.  :wub: Je regrette juste qu'Octave soit présenté comme un monstre assoiffé de pouvoir à n'importe quel prix. La série prend un peu trop le parti d'Antoine vers la fin, c'est dommage. Atia est superbe jusqu'à la fin. Et les autres ne sont pas mal non plus.
J'ai beaucoup aimé les différentes allusions à ce qu'on appelle "la propagande augustéenne". En gros, Octave a essayé de faire passer son conflit contre Antoine, non pas comme une troisième guerre civile (ça fait mauvais genre de se battre entre Romains) mais comme une guerre contre l'Egypte, en faisant d'Antoine un traître qui est passé du côté de l'ennemi. Un certain nombre de monnaies qui représentent un crocodile avec la légende AEGYPTO CAPTA (l'Egypte prise) en témoignent. Cette "trahison" combinée aux moeurs orientales (assez mal vues à Rome) d'Antoine ne tarda pas à susciter l'indignation (au passage, le déballage du testament est apparemment attesté, mais est-il authentique ?). D'autant plus qu'il s'était associé à une reine, leurs vieux démons réapparaissaient. Il est d'ailleurs assez marrant de voir que seule l'appellation regina (reine donc) suffisait à désigner Cléopâtre dans une ode d'Horace, Nunc est bibendum, destinée à célébrer la victoire d'Actium. En fait, elle n'a rien pour elle cette pauvre Cléo : c'est un gonzesse, reine et orientale qui plus est.


Je l'ai vu maintenant, mais ne vois pas à quoi tu fais allusion.

Quote
C'était qui Fulvie ? Elle a eu de l'importance ? Elle a servi à quelque chose ? Parce que bon on n'en parle jamais dans la série.

Un peu oui !  :mdr:
C'est la femme la plus connue de son époque, et par pour sa vertu. Je crois me rappeler qu'ils se sont inspirés d'elle pour le personnage d'Atia. Elle fut d'abord l'épouse de Clodius (celui de Milon), puis d'un dénommé Curion et enfin d'Antoine. Elle a pris une part active dans les proscriptions (ce qui lui a permis de s'enrichir quelque peu). C'est après son décès qu'Antoine épouse Octavie.
http://en.wikipedia.org/wiki/Fulvia
Inutile de dire qu'on n'a aucune trace d'une liaison entre Atia et Antoine. Je pense que c'était une manière pour les scénaristes d'accorder une grande importance à Antoine dès le départ sans multiplier les personnages.

Quote
Depuis le début, je me demande ce qu'est le mur gravé sur lequel une personne déplace un petit veau d'or (ou un truc du genre). C'est un calendrier je suppose ? Il est gigantesque.

Oui, c'est bien un calendrier. Si on regarde attentivement, on peut y lire les noms de mois et les fêtes.

Quote
J'imagine que l'histoire entre Césarion et Pullo est de la pure invention ?

Bien sûr puisque Pullo n'est mentionné qu'une seule fois dans la littérature et c'est dans le De Bello Gallico.

Quote
Bon, c'est pour le happy end, soit, mais le plan final sur Attia était tellement beau qu'il aurait pu convenir comme fin de série.

Marrant, je me suis aussi fait la réflexion "ah, chouette fin. Ah ben non, spa fini". ^^

Quote
Bon maintenant, je veux avoir sur mes écrans Athènes, avec tous les quelques mythes divins mis en scène  :yes:

Ouais, et vive Athéna !!!  :w00t2:

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #116
J'ai toujours raison, vous ne le savez pas encore ? :classe:

Clair qu'Antoine a la pure méga classe. Mais le fait de le passer en "gentil" est selon moi dû à deux choses. La première, c'est qu'il était perçu comme ça à l'époque par le peuple, le soldat sympa ; la deuxième, c'est qu'il passe quand même pour un sacré abruti dans la première saison :D

Quote
D'autant plus qu'il s'était associé à une reine, leurs vieux démons réapparaissaient.


Tu penses à qui ? Didon ? :unsure:

Pour l'épisode 8 Spoiler (click to show/hide)


Oui, donc en effet, on ne parle pas du tout de Fulvie. Par contre Atia a réellement existé, quand même, non ? C'est pas un personnage inventé ? :unsure:


Spoiler (click to show/hide)
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #117

Clair qu'Antoine a la pure méga classe. Mais le fait de le passer en "gentil" est selon moi dû à deux choses. La première, c'est qu'il était perçu comme ça à l'époque par le peuple, le soldat sympa ; la deuxième, c'est qu'il passe quand même pour un sacré abruti dans la première saison :D

Pour moi il y a aussi le fait que l'histoire d'amour Antoine-Cléopâtre est rentrée dans la légende. Les deux amants vaincus, réunis dans la mort, toussa, ça le rend sympatoche.

Quote
Quote
D'autant plus qu'il s'était associé à une reine, leurs vieux démons réapparaissaient.


Tu penses à qui ? Didon ? :unsure:

Non plutôt au fait que les Romains ont les rois en horreur depuis la chute de Tarquin le Superbe. D'ailleurs, une des raisons de l'exécution de César, c'est qu'il était soupçonné de vouloir devenir roi. Je crois en avoir déjà parlé ici.

Quote
Pour l'épisode 8 Spoiler (click to show/hide)

Ha ha, mais d'où elle sort cette expression ?  :roule:
A mon avis, je me suis mal exprimée. Spoiler (click to show/hide)


Quote
Oui, donc en effet, on ne parle pas du tout de Fulvie. Par contre Atia a réellement existé, quand même, non ? C'est pas un personnage inventé ? :unsure:

Oui, elle a existé mais on n'en sait pas beaucoup sur elle.

Quote
Spoiler (click to show/hide)

Ouè ben Athéna, elle t'écrase ton bien-aimé Dionysos sans les mains, pur jeu pour elle. :harhar:

Re: Pollice verso – και συ τεκνον : les adaptations sur l'Antiquité

Reply #118
Même pas vrai, y a aucun récit "officiel" qui fait état d'une victoire d'Athéna sur Dionysos, d'abord :o (ni l'inverse, certes).
"Je suis un intoxiqué.
- Intoxiqué de quoi ?
- De la vie. Je m'y suis adonné tout petit et je ne peux plus m'en passer."

T. Pratchett, Sourcellerie, Les Annales du Disque-Monde, livre V.