Bah ouais, c'est évident que Wingman n'est pas un sentaï au sens propre, je vous taquine. Par contre ce qui est tout aussi flagrant, c'est que cette série joue avec tous les codes des sentaï. Comme je le disais, on retrouve les couleurs, le groupe, le Striker, les gros méchants (les Torpedos ici), le big boss qui sort jamais de chez lui, le monde parallèle, la petite amie cruche comme pas 2 (poussée à l'extrême ici), etc.

Donc c'est une bonne satire, finalement, comme il en existe dans tous les domaines.