D'un point de vue plus général, ce serait plus le "décompte de points" à mettre au "crédit" des deux grands malades, là, qui est un peu limite.
Hitler et Staline sont différents, mais ont été particulièrement "efficaces" chacun dans leur domaine respectif, et se réfugier derrière des définitions philosophico-politiques, pour dire "ouimaisnonmaisc'estpaspareilnireprésentatif", ça va bien deux minutes, mais ça n'enlève rien au fait que l'un et l'autre étaient des hommes dont l'existence et les actions ont induit des millions de morts et ce, bien au delà d'un quelconque courant politique. Basta.
Maintenant, si je n'ai rien contre les idées nobles et utopiques du communisme (celui qui est aujourd'hui encore défendu par exemple par des gens comme MG Buffet, et qui est "politiquement correct"), la réalité de l'humanité du XXème siècle a montré que, quelque part, le principe fondamental de ce courant de pensées a été dévoyé de façon quasi systématique, puisque la plupart des régimes se réclamant du communisme (je n'ai pas dit tous) ont démontré leur tendance voire leur totale implication dans le totalitarisme. Je ne dis pas non plus que l'inverse est vrai (cf. dictatures en amérique du sud, souvent très à droite à l'inverse); mais une bonne fois pour toutes, on pourra balancer tous les écrans de fumée qu'on veut et qu'on peut imaginer, il n'empêche que les faits sont les faits. Je n'en tire aucune conclusion, je constate.
Bref, tout ça pour dire qu'on pourra bien se plonger dans toutes les analyses possibles et imaginables des écrits des fondateurs de tel ou tel courant de pensée (quel qu'il soit!) et se réfugier derrière, ce qui compte, c'est que les hommes en font. Peu importe que leurs actions n'aient plus rien à voir avec les principes intellectuels se finissant en "-isme", ce qu'en retiendra l'humanité, ce sont les faits, et rien d'autre.
Un peu de bonne foi, de temps en temps, ça ne fait pas de mal.
Hitler et Staline sont différents, mais ont été particulièrement "efficaces" chacun dans leur domaine respectif, et se réfugier derrière des définitions philosophico-politiques, pour dire "ouimaisnonmaisc'estpaspareilnireprésentatif", ça va bien deux minutes, mais ça n'enlève rien au fait que l'un et l'autre étaient des hommes dont l'existence et les actions ont induit des millions de morts et ce, bien au delà d'un quelconque courant politique. Basta.
Maintenant, si je n'ai rien contre les idées nobles et utopiques du communisme (celui qui est aujourd'hui encore défendu par exemple par des gens comme MG Buffet, et qui est "politiquement correct"), la réalité de l'humanité du XXème siècle a montré que, quelque part, le principe fondamental de ce courant de pensées a été dévoyé de façon quasi systématique, puisque la plupart des régimes se réclamant du communisme (je n'ai pas dit tous) ont démontré leur tendance voire leur totale implication dans le totalitarisme. Je ne dis pas non plus que l'inverse est vrai (cf. dictatures en amérique du sud, souvent très à droite à l'inverse); mais une bonne fois pour toutes, on pourra balancer tous les écrans de fumée qu'on veut et qu'on peut imaginer, il n'empêche que les faits sont les faits. Je n'en tire aucune conclusion, je constate.
Bref, tout ça pour dire qu'on pourra bien se plonger dans toutes les analyses possibles et imaginables des écrits des fondateurs de tel ou tel courant de pensée (quel qu'il soit!) et se réfugier derrière, ce qui compte, c'est que les hommes en font. Peu importe que leurs actions n'aient plus rien à voir avec les principes intellectuels se finissant en "-isme", ce qu'en retiendra l'humanité, ce sont les faits, et rien d'autre.
Un peu de bonne foi, de temps en temps, ça ne fait pas de mal.