Ah ouais, moi c'est tout le contraire, je trouve cette partie d'une nullité affligeante.
Hmm, il me semble avoir décelé une goutte d'ironie dans la prose de tinou, me ferais-je des idées?
:oNan parce qu'effectivement, graphiquement y'a rien à redire, mais alors le scénario
En pagaille, on a:
-les dieux des rêves qui nous offrent des prestations même pas dignes du silver de la Flèche dans le Kurumangasse
-Phantasos qui passe tout un chapitre sous l'apparence d'une pouffe avec des gros nibards et un slip ras la moule, qu'on sait même pas pourquoi
-le Saint du Capricorne au charisme d'huître pas fraîche
( on aurait eu un steel saint à la place, ça n'aurait pas été pire )
-les disciples de ladite huître qui se font introduire ( couché, Kamène!
:whip: ) pour claquer 6 pages plus loin
-la fusion des débiles des rêves qui donne un croisement Goro/Motaro de Mortal Kombat ou un spider-gremlin ( Giiiiiiiiiiiiiiizmo... caca! ) au choix
-et le fin du fin, ce n'est pas Planta-Fin, mais Sisyphe-spectre qui redevient doux comme un agneau après un gros poutou baveux de la cruche
Je n'sais pas ce qui est le plus à se taper la tête contre les murs
:wallbash: