J'adore les Yeti Sports, que ce soit en cours, à la maison ou avec des potes, y a toujours moyen de délirer ;)
Re: Liens : débilité et incrédibeulité inside !
« Réponse #75, le 21 Août 2005 à 21:30 »
http://mizuno.pekori.to/data1.htm
Le chanteur c'est Fukuyama Yoshiki (ou un truc dans le genre) le mec qui chante les generiques de Macross 7 Laughing
L'album c'est SONGS FROM age et le titre original de la chanson c'est ハウンド妄想
Apparemment c'est tire d'un des nombreux produits derives d'un jeu de drague Laughing
Ca doit etre quelque chose du genre chaque personnage chante sa chanson. Un gros produit commercial pour otaku Rolling Eyes
La ils ont bien abuse pour cette musique, on dirait qu'ils ont pris le midi de Pegasasu Fantajî et qu'ils se sont amuse a change deux trois notes des melodies principales Laughing
Serieux quand on compare attentivement on entend bien que les batteries et de chaque musique jouent la meme partition, idem pour les pianos electriques Laughing
Pour les paroles ils se sont pas foules non plus, ils ont meme a peine touche le "imakoso habatake" qui devient "imakoso kagayake" Laughing
Et 聖闘士 est devenu 護闘士 (sakimori !) Laughing
Mais bon apparemment ca doit pas etre connu ou alors le nombre des ventes doit etre insignifiant sinon il y'a longtemps qu'ils auraient ete attaque en proces Rolling Eyes Laughing
L'intérêt de la chanson? Juste faire plaisir aux otakus (c'est a dire se faire du fric)
Qu'ils se disent "oh trop fort on dirait le generique de Saint Seiya" Laughing
LA PAUVRE FILLE
Nunuche, dinde, idiote, conne, fashion victim... Les mots ne manquent pas pour nommer ce genre de nanas omniprésentes dans le milieu des japonisants. Nous avons choisi le terme de "pauvre fille" pour la désigner avec tout ce que cela implique.
On la voit arriver de loin avec ses fringues choisies dans le noir et autres attitudes frisant la trisomie. Une seule chose compte chez la pauvre fille: son apparence! Qu'elle soit belle ou moche, l'ego est monstrueusement développé chez elle et elle fait tout pour le mettre en avant: coupe de ronces à 100€, maquillage graisseux, vernis fluo, parfum écœurant à la vanille, loose socks, portable traînant au cul tout un tas de breloques de mauvais goût en provenance directe du Japon (triple pléonasme).
Tout est factice et rapporté chez elle, rien n'est naturel à part sa connerie. Se sentant proche de ces pandas japonais appelés "ganguro", la pauvre fille ressemble à une touriste partout, même dans sa propre ville. Elle adore suivre la mode japonaise, avec trois ans de retard...
La pauvre fille vit dans un rêve éveillé. La misère, la maladie, la mort, ça n'arrive qu'à la télé pour elle, dans des pays lointains... Le vrai malheur pour elle, c'est d'être à court d'auto-bronzant un samedi soir ou d'apprendre que son esthéticienne ne pourra pas venir lui faire le maillot à domicile... Devoir se montrer telle qu'elle est, sans artifice, sans masque pour se cacher, est son angoisse la plus profonde!
Ses loisirs tournent autour du cosplay, lire des shoujo manga, danser, faire du shopping, voir d'autres pauvres filles, entamer des régimes de deux heures et se regarder dans la glace. Très important ça! Comme tous les cons de la jeune génération, elle a un Skyblog. Faisant perdre 8/10 à chaque visite tant les couleurs sont criardes, c'est un temple érigé à sa propre gloire. Grâce à son numérique, elle pond galerie sur galerie: elle avec ses "koupiiiiiineuh", elle avec ses parents, elle avec son chien, elle avec elle... Elle! La star!! Elle se voue à elle-même un véritable culte de la personnalité. Un mélange d'exhibitionnisme latent et de mégalomanie puérile.
Ayumi Hamasaki est son modèle de perfection physique, Harry Potter sa bible, les Sims son jeu vidéo phare, Le Journal De Bridget Jones son film culte, Peach Girl son manga fétiche, Ilona Mitrecey sa chanteuse favorite. Des références!...
LA FAN DE YAOI
Le yaoi est un courant mineur du manga mais que leurs fans (féminines et hétérosexuelles à 95%, le reste étant composé de gays masculins honteux les lisant en cachette) essayent de faire passer pour majeur, un peu comme le rock visuel en Jpop… Ces mangas ne tournent qu'autour d'une seule chose : l'homosexualité. Les histoires ne sont que des prétextes pour dessiner des partouzes mettant en scène des personnages d'anime/manga du même sexe ou des artistes célèbres. Pour ces derniers, ça remplace les infos privées que les fanatiques n'ont pas.
Pour occuper ses looooooongues journées entre deux cours qui la mèneront à l'ANPE, la fan de yaoi en dessine elle-même. Enfin, le mot "dessiner" est à prendre au dernier degré ici car tous ces pauvres tâcherons adeptes du fan art, mais se prenant tout de même pour des génies parce qu'ils mettent en couleur leurs croûtes sous Photoshop, ne savent que recopier les cases de leurs dessinateurs favoris, Kurumada ou Clamp en tête ; des mangakas qui, eux-mêmes, n'ont jamais su dessiner correctement…
Plus large que haute, avec de grosses lunettes, s'habillant mal, le grouin et le front luisants, vivant le plus souvent dans une ferme plantée au fond du cul de la province française, la fan de yaoi donne ses lettres de noblesse au terme de "loseuse". Elle ressemble beaucoup aux gothiques me direz-vous. Oui, mais il faut savoir que les deux milieux se fréquentent assidûment. Qui se ressemble s'assemble. Certaines cumulent même le double handicap "gothique fan de yaoi" à la fois. Pas de pot...
Notre grosse vilaine n'a pas d'amis véritables. Ses seuls compagnons fidèles sont ses petits dessins qu'elle punaise fièrement sur les murs en crépi de sa chambre pour que tout le monde les voit, mais comme personne ne vient jamais lui rendre visite... Elle adore gribouiller, avec de nombreuses erreurs de perspective et d'anatomie, ce qui restera toujours la marque de fabrique des mangas et de leurs élèves, des torses de mecs truffés d'abdos, des culs masculins, des queues surdimensionnées dressées vers le ciel, des fellations entre hommes ruisselantes de sperme etc. Ça l'excite. Du véritable touche-pipi avec la main humide ! En fait, elle couche là sur son papier-machine tous ses fantasmes nés de sa frustration.
Comment fait-elle ? Elle ne va pas dessiner tout ça de mémoire puisqu'elle n'a jamais eu de mec. Même un baiser, elle ne sait pas ce que c'est. A part son père ou son petit frère, elle n'a jamais réellement vu de messieurs tous nus. Alors elle va au plus pratique : elle pioche dans ses mangas yaoi favoris achetés par VPC. Voilà pourquoi les scènes de fesses de ces bouquins se ressemblent toutes !
Elle se croit tolérante et ouverte d'esprit en disant "comprendre" les homosexuels alors qu'elle en a jamais rencontré de sa vie. Les gays n'ont pas besoin de compréhension d'ailleurs, cela insinue une notion de pitié insupportable. Ils veulent juste qu'on arrête de penser que "gays = mecs qui s'enculent" et "lesbiennes = nanas qui se broutent" vu que c'est ce que pense la majorité des hétéros lorsqu'ils en rencontrent. Les gays réclament surtout le droit à l'indifférence.
En réalité, les homos et leur cause, notre mongolienne s'en fout complètement. Le yaoi est la meilleure solution qu'elle ait trouvé pour voir encore plus de beaux mâles au cm². Comme toutes les personnes sortant peu, elle a du mal à réaliser que ça puisse se faire dans la vraie vie et se montre extrêmement réac devant la réalité. D'ailleurs, ses mangas sont exclusivement masculins, elle déteste ceux avec des lesbiennes qu'elle trouve immondes. Elle aime les homos mais uniquement lorsque ce sont des hommes et obligatoirement super mignons. Il faut que ça colle avec sa vision hétérosexuelle des choses. Ça rappelle ces blaireaux tannant leur copine pour faire un trio avec une seconde fille et les voir se tripoter pour le plus grand plaisir de leur seigneur et maître. Mais hors de question pour lui de rendre la politesse à sa nana avec un autre mec. Ça va pas non ? C'est pas un pédé lui !! La fan de yaoi est pareille, la même mentalité de gros beauf con et réac, le côté midinette en plus.
Il y a de ça 15 ans en arrière, les paumées se frottaient l'oreiller en pensant très fort à Patrick Bruel ou Anthony Dupray. Maintenant, c'est en lisant des mangas yaoi avec "Gackt sama" se faisant enculer par le Dr. Slump…
On remarque tout de même que les fanatiques les plus atteints se trouvent chez Ayumi Hamasaki et dans le rock visuel.