C'est étonnant, moi qui pensait que Monsieur Monthy Python avait fait quelque chose de plus censé et poétique...
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On se re-fait un cinoche ^^
iDam
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tinou
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Une pizza bonne au Japon??? Où ça???
Sinon même avis que toi sur le film, sauf pour le général français, moi je l'aime bien, Gilliam est anglais et bien plus intelligent que les producteurs de son film, qui ont pour norme d'imposer le français comme le nouveau méchant du cinéma hollywoodien, et apporte de l'humour et de la parcimonie avec ce napoleon junior.
Sinon même avis que toi sur le film, sauf pour le général français, moi je l'aime bien, Gilliam est anglais et bien plus intelligent que les producteurs de son film, qui ont pour norme d'imposer le français comme le nouveau méchant du cinéma hollywoodien, et apporte de l'humour et de la parcimonie avec ce napoleon junior.
"Honey badger don't care"
Megara
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Une pizza bonne au Japon??? Où ça???
Sinon même avis que toi sur le film, sauf pour le général français, moi je l'aime bien, Gilliam est anglais et bien plus intelligent que les producteurs de son film, qui ont pour norme d'imposer le français comme le nouveau méchant du cinéma hollywoodien, et apporte de l'humour et de la parcimonie avec ce napoleon junior.
Pourquoi faire simple, alors qu'on peut faire compliqué ?
iDam
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Bingo c'est plutôt italien (comme casino) mais comme Napomachin avait envahi l'Italie, il a dû garder pour le film un petit mot special dédicace à tous les Buitonis :P
D's©
: Wednesday 09 November, 17:38:02
En dernière minute : A History of Violence.
Un film bien mené avec des longs passages où prédominent le doute existenciel, le tout sans se sentir étranger (personne ne quittait la salle). Bien des gens se disaient en fin de film "c'est super violent !". Ah ? Les actions ont été concentrées en quatre points bien réfléchis : Introduction au problème, premier fait d'arme, confirmation, épuration. Vigo est impeccable en bon petit père qui n'elève pas la voix, coule dans le sens de la famille, ne cherche pas les complications et donne les traditionnels bons conseills pour réussir un catch en base-ball. La violence est dure dans son résultat : des gros plans sur des visages détruits donnent forcément du recul mais montre les limites franchies quand on sort de ses gonds (le fiston). Ed Harris est plutôt invisible dans ce film, c'est bien dommage. Je fut surpris en voyant le générique car je m'attendais à ce que la dernière image n'en soit pas une ! Je n'ai pas baillé, preuve que le film m'a vraiment captivé.
PS : j'ai eu des gens qui n'ont pas compris l'intérêt de la fin et de la dernière scène d'action alors que c'est parfaitement limpide. Pour ceux qui le verront, vous y toruverer sans doute comme moi un petit air de "Monster" d'Urasawa :)
J'en profite pour faire la pub d'un film qui me semble être une bonne connerie à voir : "Le cactus" avec un Pierre "no soucy" Richard Katmandoutisé et High Tech avec un singe, des pétards et des fringues flippantes :roule: ... le trailer est très bon (on y parle même suédois et indie, c'est dire :P)
http://www.lecactus-lefilm.com/# (voir les vidéos, ça donne bien envie :roule: )
D's©
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: Wednesday 09 November, 17:38:02
En dernière minute : A History of Violence.
Un film bien mené avec des longs passages où prédominent le doute existenciel, le tout sans se sentir étranger (personne ne quittait la salle). Bien des gens se disaient en fin de film "c'est super violent !". Ah ? Les actions ont été concentrées en quatre points bien réfléchis : Introduction au problème, premier fait d'arme, confirmation, épuration. Vigo est impeccable en bon petit père qui n'elève pas la voix, coule dans le sens de la famille, ne cherche pas les complications et donne les traditionnels bons conseills pour réussir un catch en base-ball. La violence est dure dans son résultat : des gros plans sur des visages détruits donnent forcément du recul mais montre les limites franchies quand on sort de ses gonds (le fiston). Ed Harris est plutôt invisible dans ce film, c'est bien dommage. Je fut surpris en voyant le générique car je m'attendais à ce que la dernière image n'en soit pas une ! Je n'ai pas baillé, preuve que le film m'a vraiment captivé.
PS : j'ai eu des gens qui n'ont pas compris l'intérêt de la fin et de la dernière scène d'action alors que c'est parfaitement limpide. Pour ceux qui le verront, vous y toruverer sans doute comme moi un petit air de "Monster" d'Urasawa :)
J'en profite pour faire la pub d'un film qui me semble être une bonne connerie à voir : "Le cactus" avec un Pierre "no soucy" Richard Katmandoutisé et High Tech avec un singe, des pétards et des fringues flippantes :roule: ... le trailer est très bon (on y parle même suédois et indie, c'est dire :P)
http://www.lecactus-lefilm.com/# (voir les vidéos, ça donne bien envie :roule: )
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Battou
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Vu aussi hier soir et j'ai beaucoup aimé aussi.
ça fait un ptit moment que je me suis pas marré en voyant des gens se faire tuer dans un film. Et on était 150 à le faire. :mrgreen:
ça fait un ptit moment que je me suis pas marré en voyant des gens se faire tuer dans un film. Et on était 150 à le faire. :mrgreen:
Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o
iDam
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ça fait un ptit moment que je me suis pas marré en voyant des gens se faire tuer dans un film. Et on était 150 à le faire. :mrgreen:
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Amnounet
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Oué, j'ai vu HoV aussi et c'est un très bon film ... et ça fait beaucoup de bien de voir un film du genre épuré de toute violence gratuite, où chaque scène, même la fin du film apporte une pierre à l'édifice et lui apporte cohérence et stabilité ...
Le gros point fort de ce film réside justement dans ce réalisme qui nous fait penser que cette histoire pourrait se passer n'importe où, n'importe quand ... ^^
Le gros point fort de ce film réside justement dans ce réalisme qui nous fait penser que cette histoire pourrait se passer n'importe où, n'importe quand ... ^^
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Seul point faible : (cliquez pour montrer/cacher)
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la fin lorsque Tom revient chez lui n'en était pas vraiment une, j'étais déçu que ça se finisse sur ce silence... comme je n'avais pas vu le temps défilé, j'ai été stupéfait de voir le générique défilé tout de suite après
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Le bouton spoiler m'a l'air d'avoir des problèmes... pas possible d'afficher le texte de Damien.
Pour répondre... matte Broken Flower et tu comprendras ce que c'est de la fin qui laisse dans le flou. J'ai bien aimé celle de HoV, dans le ton du film car aussi déboussolé(cliquez pour montrer/cacher) . Happy End, pas Happy End ? Ha haaaaa !
Pour répondre... matte Broken Flower et tu comprendras ce que c'est de la fin qui laisse dans le flou. J'ai bien aimé celle de HoV, dans le ton du film car aussi déboussolé
Exemple de la femme qui couvre le mari en face du Shérif et ce quise passe après dans l'escalier... voire après encore.
Stupid snake ! You won't be having Jesus Christ Lizard today, will you ? Shame on you ! :o
Amnounet
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Pour moi la fin est clairement un happy end ... il est accueilli par sa famille à l'heure du repas et en fait on se rend compte qu'il a fait face à son passé en allant chez son frangin plutôt que de se le cacher ... en gros il est allé régler le problème
Nico
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Re: On se re-fait un cinoche ^^
« Réponse #100, le 12 Novembre 2005 à 19:01 »Modifié le 12 Novembre 2005 à 19:06 par Ex-Floodeur
Je suis allé voir les chevaliers du ciel (qu'on en présente plus je pense) et c'est rudement bien :) Les scènes aériennes sont maginfiques et à couper le souffle ! Ceci dit il y a quand même pas mal de trucs un peu trop gros, et d'incohérences...
: Saturday 12 November, 11:58:57
Joyeux Noel (idem on en présente plus) :
de l'émotion, des sentiments, une dénonciation sans ambiguité de l'absurrdité de la guerre, (certains propos pro-guerriers reflètent d'ailleurs des discours très contemporains.. exemple l'Irak...), un pladoyer en faveur de la fraternité, une absence totale de manichéisme (pour une fois, les soldats allemands ne sont pas obligatoirement des brutes sanguinaires, moches et insensibles...) des pointes d'humour... Que demander de plus ?
: Saturday 12 November, 11:58:57
Joyeux Noel (idem on en présente plus) :
de l'émotion, des sentiments, une dénonciation sans ambiguité de l'absurrdité de la guerre, (certains propos pro-guerriers reflètent d'ailleurs des discours très contemporains.. exemple l'Irak...), un pladoyer en faveur de la fraternité, une absence totale de manichéisme (pour une fois, les soldats allemands ne sont pas obligatoirement des brutes sanguinaires, moches et insensibles...) des pointes d'humour... Que demander de plus ?
- Une personne qui n'a jamais commis d'erreurs n'a jamais tenté d'innover. - Albert Einstein
- La terre n'est pas un don de nos parents, ce sont nos enfants qui nous la prêtent...
tinou
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- Waffou
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In Her Shoes
Je suis ressorti plus que content de cette projection. Je n'étais point allé voir le film sur Eminem qui se la joue social-victim. Mais celui-là m'intéressait pour Cameron Diaz et Shirley McLaine. Le film réserve de bons moments, et surtout, prend des risque selon moi : faire suivre parallèlement l'histoire des deux soeurs, l'une à Miami, l'autre à Philadelphia, pendant deux bons tiers du film. J'ai trouvé les allers-retours bien gérés et pas saoûlants pour un sou.
Petit point faible: les personnages des deux soeurs sont complètement stéréotypés au début, et j'ai l'impression que le montage a eu du mal a les faire sortir de ces clichés, ce qui donne lieu a quelques maladresses parfois disneyiennes, voire Bridget Jonesienne.
En tout cas c'est un film pas trop mal. Les vieux sont très sympas à l'écran.
Cet aprem, Harry Potter 4!
: Saturday 19 November, 10:59:32
Harry Potter 4
Ce qui a de bien avec Harry le Potier, c'est que le public évolue avec les héros du film! Donc cette année, on a eu droit a des goths-poufs lolitas en plus grand nombre que pour les films passés dans la file d'attente. Le film en lui-même, je l'ai trouvé peut être moins réussi que le troisième du point de vue du scénario: le troisième opus était bien écrit, concis et précis, celui-là est franchement lourdingue j'ai trouvé. Le film est looooong. Niveau style, j'ai été surpris au tout début par les lumières et les caméras, tendance film d'auteurs, réels: contrejours hasardeux, caméra portée, travelling "souvenirs de vacances", lumières forestières qui "sonnent" vrai. Ca détonne avec le classicisme de ce genre de production, et, dans le contexte de ma séance, quand on vient de se taper la bande annonce de Narnia, le disney annuel tendance seigneur des anneaux du pauvre, armures éclatantes de propreté et graphistes cons au point de penser que leurs effets spéciaux sont tellement bons que l'on peut sans problème faire de l'action en plein jour dans une prairie Ikea.
Bref... j'ai été mis en condition! Au moins sur Harry Potter, les gens sont plus intelligents, et les lumières sont bien exploitées pour camoufler le CG trop voyant. Mais parfois tout ressort d'un coup et c'est très mauvais: l'arrivée des nouveaux élèves est à ce titre franchement moyenne tant on a l'impression d'être devant une séquence jeu vidéo à la Star Wars 1. Pareil pour la séquence finale contre Voldemort.
En bref, un début qui m'a plu, mais après la séquence du dragon hongrois j'ai peu à peu été embourbé dans une espèce de mélasse CG-bouillie visuelle... Je sais pas, ou alors c'est peut être le rythme du film... En tout cas j'ai trouvé ça... ronflant. Trop long (pour une histoire dont l'intrigue n'est pas plus épaisse que pour le précédent opus, enfin j'ai trouvé).
Je suis ressorti plus que content de cette projection. Je n'étais point allé voir le film sur Eminem qui se la joue social-victim. Mais celui-là m'intéressait pour Cameron Diaz et Shirley McLaine. Le film réserve de bons moments, et surtout, prend des risque selon moi : faire suivre parallèlement l'histoire des deux soeurs, l'une à Miami, l'autre à Philadelphia, pendant deux bons tiers du film. J'ai trouvé les allers-retours bien gérés et pas saoûlants pour un sou.
Petit point faible: les personnages des deux soeurs sont complètement stéréotypés au début, et j'ai l'impression que le montage a eu du mal a les faire sortir de ces clichés, ce qui donne lieu a quelques maladresses parfois disneyiennes, voire Bridget Jonesienne.
En tout cas c'est un film pas trop mal. Les vieux sont très sympas à l'écran.
Cet aprem, Harry Potter 4!
: Saturday 19 November, 10:59:32
Harry Potter 4
Ce qui a de bien avec Harry le Potier, c'est que le public évolue avec les héros du film! Donc cette année, on a eu droit a des goths-poufs lolitas en plus grand nombre que pour les films passés dans la file d'attente. Le film en lui-même, je l'ai trouvé peut être moins réussi que le troisième du point de vue du scénario: le troisième opus était bien écrit, concis et précis, celui-là est franchement lourdingue j'ai trouvé. Le film est looooong. Niveau style, j'ai été surpris au tout début par les lumières et les caméras, tendance film d'auteurs, réels: contrejours hasardeux, caméra portée, travelling "souvenirs de vacances", lumières forestières qui "sonnent" vrai. Ca détonne avec le classicisme de ce genre de production, et, dans le contexte de ma séance, quand on vient de se taper la bande annonce de Narnia, le disney annuel tendance seigneur des anneaux du pauvre, armures éclatantes de propreté et graphistes cons au point de penser que leurs effets spéciaux sont tellement bons que l'on peut sans problème faire de l'action en plein jour dans une prairie Ikea.
Bref... j'ai été mis en condition! Au moins sur Harry Potter, les gens sont plus intelligents, et les lumières sont bien exploitées pour camoufler le CG trop voyant. Mais parfois tout ressort d'un coup et c'est très mauvais: l'arrivée des nouveaux élèves est à ce titre franchement moyenne tant on a l'impression d'être devant une séquence jeu vidéo à la Star Wars 1. Pareil pour la séquence finale contre Voldemort.
En bref, un début qui m'a plu, mais après la séquence du dragon hongrois j'ai peu à peu été embourbé dans une espèce de mélasse CG-bouillie visuelle... Je sais pas, ou alors c'est peut être le rythme du film... En tout cas j'ai trouvé ça... ronflant. Trop long (pour une histoire dont l'intrigue n'est pas plus épaisse que pour le précédent opus, enfin j'ai trouvé).
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Khiryu
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Sympathy for Lady Vengeance de Park Chan Wok
3éme opus de la trilogie sur la vengeance après Old Boy. J'ai trouvé le film beaucoup plus classe et stylisé, peut-être du au fait que ce soit une femme le personnage principal. Le film traine un peu sur la fin, surtout que le dénouement est moins sensationnel/innatendu/boulversant que dans son film précédent. Par contre le principe des voix off et les musiques envoûtantes captive bien. Le personnage principal (actrice principale aussi de son premier film JSA) a aussi beaucoup de charisme.
Au début on semble perdu, moi ca a été mais quelques potes avaient du mal a se repérer car au début on suit des flashbacks. Il m'a beaucoup plu même si évidemment il est encore à conseiller a un public averti même s'il m'a paru moins violent que Sympathy for Mister Vengeance ou Old Boy.
Pour moi sûrement le meilleur Park Chan Wok après le trop méconnu (et différent des autres) JSA (Joint Security Area).
3éme opus de la trilogie sur la vengeance après Old Boy. J'ai trouvé le film beaucoup plus classe et stylisé, peut-être du au fait que ce soit une femme le personnage principal. Le film traine un peu sur la fin, surtout que le dénouement est moins sensationnel/innatendu/boulversant que dans son film précédent. Par contre le principe des voix off et les musiques envoûtantes captive bien. Le personnage principal (actrice principale aussi de son premier film JSA) a aussi beaucoup de charisme.
Au début on semble perdu, moi ca a été mais quelques potes avaient du mal a se repérer car au début on suit des flashbacks. Il m'a beaucoup plu même si évidemment il est encore à conseiller a un public averti même s'il m'a paru moins violent que Sympathy for Mister Vengeance ou Old Boy.
Pour moi sûrement le meilleur Park Chan Wok après le trop méconnu (et différent des autres) JSA (Joint Security Area).
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Il y a des jours où l'on a envie de tenter le diable...
40 ans, toujours puceau
Un enfulte-movie campé par un quadra prenant soin de son corps (sans être ubersexual) et collectionnant des figurines sous emballages (on trouve un iron-man des années 60 ou un DBGT), sous vitrines, à peindre, à monter, bref partout dans son appartement. Rien de sexuel comme dans ses discussions pseudo-mytho sur ses "horny nights" jusqu'à ce que ses collègues d'une grande surface à la Darty ne décident de le prendre en main. Certains passages sont très drôles, malgré la lourdeur conventionnelle de certains gags à base de bitch/big tits/fuck...
D's©
40 ans, toujours puceau
Un enfulte-movie campé par un quadra prenant soin de son corps (sans être ubersexual) et collectionnant des figurines sous emballages (on trouve un iron-man des années 60 ou un DBGT), sous vitrines, à peindre, à monter, bref partout dans son appartement. Rien de sexuel comme dans ses discussions pseudo-mytho sur ses "horny nights" jusqu'à ce que ses collègues d'une grande surface à la Darty ne décident de le prendre en main. Certains passages sont très drôles, malgré la lourdeur conventionnelle de certains gags à base de bitch/big tits/fuck...
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Il était une fois dans l'Oued
Une comédie bien sympathique, avec des acteurs quand même pas exceptionnels, surtout dans la première moitié du film. Ensuite, effet voyage ou pas, j'ai eu tendance a être plus dans le film, et les gags ont bien pris. Enfin plutôt que de gags, il s'agit plus de dialogues savoureux on va dire, et de reflexions/blagues bien senties. Cette Algérie là est un petit peu le pendant touristique de celle d'Exil, de Gatliff. Un côté vacances pas dégueu, avec en filigrane, la rupture qui existe entre les gens d'Alger, et les gens du désert. Le contraste n'est pas accentué, c'est plutôt bien car ce n'est pas vraiment le sujet du film.
Une comédie bien sympathique, avec des acteurs quand même pas exceptionnels, surtout dans la première moitié du film. Ensuite, effet voyage ou pas, j'ai eu tendance a être plus dans le film, et les gags ont bien pris. Enfin plutôt que de gags, il s'agit plus de dialogues savoureux on va dire, et de reflexions/blagues bien senties. Cette Algérie là est un petit peu le pendant touristique de celle d'Exil, de Gatliff. Un côté vacances pas dégueu, avec en filigrane, la rupture qui existe entre les gens d'Alger, et les gens du désert. Le contraste n'est pas accentué, c'est plutôt bien car ce n'est pas vraiment le sujet du film.
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