Si je trouve un cafard dans mon BigMac, je le mange... parcequ' après tout, je ne vais pas à McDo pour de la bonne gastronomie.
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Battou
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Avatar
J'ai aimé le début. Je me suis emmerdé pendant 1H au milieu du film. Et j'ai énormément aimé la fin.
Visuellement, c'est un chef d'oeuvre. Surement le plus grand film jamais fait à ce niveau là. Je le place même devant la dernière trilogie star wars et celle du seigneur des anneaux. Je n'aurais qu'un mot "époustouflant".
Par contre, le scénario, sans être nullissime, il n'est pas à la hauteur du magnifique spectacle auquel on assiste. Avec comme je l'ai dis, un gros creux d'ennui au milieu du film.
Donc voilà, si je devais le noter comme sur Télé 7 jour, je lui mettrais un "777" généreux, alors qu'il avait vraiment tout pour être un "7777"
J'ai aimé le début. Je me suis emmerdé pendant 1H au milieu du film. Et j'ai énormément aimé la fin.
Visuellement, c'est un chef d'oeuvre. Surement le plus grand film jamais fait à ce niveau là. Je le place même devant la dernière trilogie star wars et celle du seigneur des anneaux. Je n'aurais qu'un mot "époustouflant".
Par contre, le scénario, sans être nullissime, il n'est pas à la hauteur du magnifique spectacle auquel on assiste. Avec comme je l'ai dis, un gros creux d'ennui au milieu du film.
Donc voilà, si je devais le noter comme sur Télé 7 jour, je lui mettrais un "777" généreux, alors qu'il avait vraiment tout pour être un "7777"
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Prévu d'aller le voir en IMAX 3D le week end prochain :parigot:
N'empèche je me rends compte que ça fait un sacré bout de temps que je n'ai pas mis le pied dans une salle de ciné... sachant qu'il y'a pas de film que j'aimerais voir en ce moment (Solist, Avatar, Zombie land, La Route....) Je vais m'offrir une carte UGC et camper au ciné pour les quelques jours de vacs que je pourrais gratter.
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Pour Avatar, grosso modo, même avis que PRSK, que je colle ici:
Avatar vu et j'ai bien aimé. Je ne dirais pas "beaucoup aimé", à cause du scénario effectivement très téléphoné et prévisible de bout en bout mais bien aimé, parce que, visuellement, c'est une pure réussite, par à un seul instant je ne me suis dit "les personnages que je vois sont les résultats de plusieurs millions de pixels issus de programmes informatiques", non, j'ai eu le sentiment absolu de voir évoluer des vrais humains - d'accord, super bien maquillés - et pas une réalité virtuelle. En ce sens, le pari de Cameron est plus que gagné, c'est juste incroyable de se dire que maintenant, on peut faire "ça". Chapeau.
Côté scènes d'action, pour ce qui concerne l'armée, j'ai bien souri, on retrouver le Cameron de Terminator - et d'ailleurs le méchant colonel, c'est un peu swcharzy bis^^
Après, niveau histoire, c'est très disneyien, faut pas se voiler la face, avec en prime une morale écologique bien dans l'air du temps. On devine aussi largement à l'avance les ressorts du scénario grâce aux indices subtils comme des pelleteuses qu'on nous sème dans le film. Mais bon, c'est une jolie histoire, mais sa simplicité (voire son simplisme) n'est de fait pas à la hauteur de la prouesse technique. Bon, cependant, si ça peut vous rassurer, c'est loin d'être du portenawak comme 2012. Scénario classique, certes, mais cohérent.
Voilà, j'ai passé un bon moment en tout cas, même si je doute de me rappeler de grand chose d'ici quelques jours, à l'exception de la beauté des décors et des personnages.
Avatar vu et j'ai bien aimé. Je ne dirais pas "beaucoup aimé", à cause du scénario effectivement très téléphoné et prévisible de bout en bout mais bien aimé, parce que, visuellement, c'est une pure réussite, par à un seul instant je ne me suis dit "les personnages que je vois sont les résultats de plusieurs millions de pixels issus de programmes informatiques", non, j'ai eu le sentiment absolu de voir évoluer des vrais humains - d'accord, super bien maquillés - et pas une réalité virtuelle. En ce sens, le pari de Cameron est plus que gagné, c'est juste incroyable de se dire que maintenant, on peut faire "ça". Chapeau.
Côté scènes d'action, pour ce qui concerne l'armée, j'ai bien souri, on retrouver le Cameron de Terminator - et d'ailleurs le méchant colonel, c'est un peu swcharzy bis^^
Après, niveau histoire, c'est très disneyien, faut pas se voiler la face, avec en prime une morale écologique bien dans l'air du temps. On devine aussi largement à l'avance les ressorts du scénario grâce aux indices subtils comme des pelleteuses qu'on nous sème dans le film. Mais bon, c'est une jolie histoire, mais sa simplicité (voire son simplisme) n'est de fait pas à la hauteur de la prouesse technique. Bon, cependant, si ça peut vous rassurer, c'est loin d'être du portenawak comme 2012. Scénario classique, certes, mais cohérent.
Voilà, j'ai passé un bon moment en tout cas, même si je doute de me rappeler de grand chose d'ici quelques jours, à l'exception de la beauté des décors et des personnages.
Battou
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Avatar en fait c'est Mononoke avec une fin guimauve et prévisible. Le spectacle est là, encore plus en IMAX 3D (là on a un vrai film pensé et fait pour la 3D, pas du gimmick comme Up!) mais paradoxalement je l'ai trouvé trop froid et lisse, malgré un univers majestueux et quasi envoutant. Par contre les Na'vi sont à tomber. Apparence et mouvements gracieux, on avait limite l'impression d'assister à un ballet quand on les voyait bouger.
Bref j'ai bien aimé, je me suis pas ennuyé "mais".......................
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Jaxom
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Alors moi aussi j'ai été voir Avatar en 3D tout seul dans une salle pleine de monde (paraxode ?)
Certes la 3D est top principalement au début du film (réveil dans le vaisseau et premiers pas en tant que naavi) mais on finit par s'y habituer et une fois arrivé à la fin du film on n'y fait plus trop attention. Bref à mettre au même rang que le 60 images/s, l'imax, la HD, la stéréo ou le surround, c'est juste un gadget qui se démocratise enfin (les premiers films 3D datent des années 50 mais depuis elle était principalement limitée aux foires et aux parcs d'attraction - voir Futuroscope ou Captain EO à Disneyand) et qu'on retrouvera bientôt à toutes les sauces jusqu'à l'overdose. Seul le son (et encore, à l'époque des films muets un paniste jouait de la musique pendant leur projection pour donner l'ambience) ou la couleur restent les seules inovations majeures du cinéma à mes yeux.
Le scénario est plus problématique, je n'ai rien contre les fables new age dotées d'un léger soupcon de cultures et croyances écolo améridiennes (qui soyons francs n'existe en fait que depuis les années '70) mais quand ca nous vient d'une multinationale machin tout plein je ne peux pas m'empecher de flairer l'hypocrisie : ce n'est pas un gogo riche à millions (Titanic $$$$$) qui a fait tourner des stations de calculs pendant des mois, a payé une énorme équipe d'artistes en tout genre tant pour les décors que pour les texutres et de techniciens de motion capture ou même l'équipe chargée de la partie tournage classique, a fait tourner tout un circuit de distribution et de marchandising pour ce film, va produire des tonnes de blue ray et de DVD qui tourneront sur des TV HD avec des systèmes surround 7.1 derniers cris qui va me sortir un conte sur la nature vs. la technologie et les besoin de protéger l'envirronement et la planète.
A noter cependant l'utilisation d'un concept certes présent depuis fort longtemps en SF mais pas si maintream que ça : gaia, l'organisme à l'échelle planétaire. C'est juste dommage qu'on voit venir gros comme une maison que la planète participera à la bataille à la fin dès qu'on apprend que leurs tentacules (abilement dissimulées dans des nattes) leur servent à communiquer avec leur envirronement et avec toutes les créatures auxquelles ils arrivent à se connecter, ce qui est bien sur renforcé par la citation du Lt Ripley, euh du perso de Sigourney Weaver que la forêt n'est qu'un immense réseau neuronal).
Gros défaut de design : sur une planète ou la plupart des animaux ont 6 membres, de multiples paires yeux et respirent par plusieurs events sur leur poitrine on peut s'étonner que les naavi soient si différents des créatures qu'ils fréquentent (seulement 4 membres, deux gros yeux manga-esques et respirent par le nez). D'ailleurs les petits trucs volants ont également uniquement 4 membres. Le gros machin volant lui semble avoir 2 membres attrophiés supplémentaires.
Gros défaut de design² : Pandore est bien trop près de sa géante gazeuse et des autres lunes, la planète devrait être normalement ravagées par les volcans (quand à avoir une atmosphère respirable ou même la vie...). Pour voir ce que ça donne dans notre propre système solaire allez lire la page de Wikipedia sur Io.
Moment lolesque : les scientifiques sont des héros écolos zentils et respecteux des autres.
Moment lolesque² : les militaires (tous sauf 1) sont des brutes sanguinaires qu'on dirait qu'ils ont péché les acteurs dans le pénitencier du coin.
Etonnement : le détestable personnage Burk-like (remember Aliens, anybody?) ne se fait pas tuer à la fin.
Certes la 3D est top principalement au début du film (réveil dans le vaisseau et premiers pas en tant que naavi) mais on finit par s'y habituer et une fois arrivé à la fin du film on n'y fait plus trop attention. Bref à mettre au même rang que le 60 images/s, l'imax, la HD, la stéréo ou le surround, c'est juste un gadget qui se démocratise enfin (les premiers films 3D datent des années 50 mais depuis elle était principalement limitée aux foires et aux parcs d'attraction - voir Futuroscope ou Captain EO à Disneyand) et qu'on retrouvera bientôt à toutes les sauces jusqu'à l'overdose. Seul le son (et encore, à l'époque des films muets un paniste jouait de la musique pendant leur projection pour donner l'ambience) ou la couleur restent les seules inovations majeures du cinéma à mes yeux.
Le scénario est plus problématique, je n'ai rien contre les fables new age dotées d'un léger soupcon de cultures et croyances écolo améridiennes (qui soyons francs n'existe en fait que depuis les années '70) mais quand ca nous vient d'une multinationale machin tout plein je ne peux pas m'empecher de flairer l'hypocrisie : ce n'est pas un gogo riche à millions (Titanic $$$$$) qui a fait tourner des stations de calculs pendant des mois, a payé une énorme équipe d'artistes en tout genre tant pour les décors que pour les texutres et de techniciens de motion capture ou même l'équipe chargée de la partie tournage classique, a fait tourner tout un circuit de distribution et de marchandising pour ce film, va produire des tonnes de blue ray et de DVD qui tourneront sur des TV HD avec des systèmes surround 7.1 derniers cris qui va me sortir un conte sur la nature vs. la technologie et les besoin de protéger l'envirronement et la planète.
A noter cependant l'utilisation d'un concept certes présent depuis fort longtemps en SF mais pas si maintream que ça : gaia, l'organisme à l'échelle planétaire. C'est juste dommage qu'on voit venir gros comme une maison que la planète participera à la bataille à la fin dès qu'on apprend que leurs tentacules (abilement dissimulées dans des nattes) leur servent à communiquer avec leur envirronement et avec toutes les créatures auxquelles ils arrivent à se connecter, ce qui est bien sur renforcé par la citation du Lt Ripley, euh du perso de Sigourney Weaver que la forêt n'est qu'un immense réseau neuronal).
Gros défaut de design : sur une planète ou la plupart des animaux ont 6 membres, de multiples paires yeux et respirent par plusieurs events sur leur poitrine on peut s'étonner que les naavi soient si différents des créatures qu'ils fréquentent (seulement 4 membres, deux gros yeux manga-esques et respirent par le nez). D'ailleurs les petits trucs volants ont également uniquement 4 membres. Le gros machin volant lui semble avoir 2 membres attrophiés supplémentaires.
Gros défaut de design² : Pandore est bien trop près de sa géante gazeuse et des autres lunes, la planète devrait être normalement ravagées par les volcans (quand à avoir une atmosphère respirable ou même la vie...). Pour voir ce que ça donne dans notre propre système solaire allez lire la page de Wikipedia sur Io.
Moment lolesque : les scientifiques sont des héros écolos zentils et respecteux des autres.
Moment lolesque² : les militaires (tous sauf 1) sont des brutes sanguinaires qu'on dirait qu'ils ont péché les acteurs dans le pénitencier du coin.
Etonnement : le détestable personnage Burk-like (remember Aliens, anybody?) ne se fait pas tuer à la fin.
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Battou
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Agora :
Romancer l'histoire d'Hypatie (du moins ce qu'on peut y lire ou en apprendre sans trop creuser) a le mérite d'apporter un tout petit peu de suspens au récit même si fatalement on en connait la fin. Alors quel intérêt ? De voir qu'au final les siècles passent et la bêtise ne sait toujours pas trouver ses limites. Moi j'ai surtout apprécié voir Rachel Weisz ( :wub:issime) se triturer les méninges à essayer de décrypter les révolutions capricieuses des astres. Je m'y suis tellement cru que j'ai eu l'impression d'être revenu 20 ans en arrière sur les bancs de l'école où on est poussé par l'innocente et irrémédiable envie de souffler la réponse au camarade qui se fait cuisiner au tableau.
Bref, dans l'ensemble chouette film.
Esther :
Pas grand chose à retenir si ce n'est le numéro phénoménal qu'a livré son actrice principale, à se poser des questions quand à la santé mentale de la gamine tant elle a su jongler avec brio avec les différentes facettes de son personnage. Pour le reste le film réussit plus dans l'autopsie d'un couple à la dérive que dans le frisson. Mais ça se laisse quand même regarder.
La Route :
= Remi sans familles + Hokuto no Ken.
Un film plutôt saisissant, qui n'en fait pas trop dans la victimisation... laissant son monde pessimiste et ses personnages paumés et meurtris assurer ce qu'il faut d'émotion.
Romancer l'histoire d'Hypatie (du moins ce qu'on peut y lire ou en apprendre sans trop creuser) a le mérite d'apporter un tout petit peu de suspens au récit même si fatalement on en connait la fin. Alors quel intérêt ? De voir qu'au final les siècles passent et la bêtise ne sait toujours pas trouver ses limites. Moi j'ai surtout apprécié voir Rachel Weisz ( :wub:issime) se triturer les méninges à essayer de décrypter les révolutions capricieuses des astres. Je m'y suis tellement cru que j'ai eu l'impression d'être revenu 20 ans en arrière sur les bancs de l'école où on est poussé par l'innocente et irrémédiable envie de souffler la réponse au camarade qui se fait cuisiner au tableau.
Bref, dans l'ensemble chouette film.
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Pas grand chose à retenir si ce n'est le numéro phénoménal qu'a livré son actrice principale, à se poser des questions quand à la santé mentale de la gamine tant elle a su jongler avec brio avec les différentes facettes de son personnage. Pour le reste le film réussit plus dans l'autopsie d'un couple à la dérive que dans le frisson. Mais ça se laisse quand même regarder.
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Agora :
Romancer l'histoire d'Hypatie (du moins ce qu'on peut y lire ou en apprendre sans trop creuser) a le mérite d'apporter un tout petit peu de suspens au récit même si fatalement on en connait la fin. Alors quel intérêt ? De voir qu'au final les siècles passent et la bêtise ne sait toujours pas trouver ses limites. Moi j'ai surtout apprécié voir Rachel Weisz ( :wub:issime) se triturer les méninges à essayer de décrypter les révolutions capricieuses des astres. Je m'y suis tellement cru que j'ai eu l'impression d'être revenu 20 ans en arrière sur les bancs de l'école où on est poussé par l'innocente et irrémédiable envie de souffler la réponse au camarade qui se fait cuisiner au tableau.
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Bon cette fois-ci j'ai été voir l'Imaginarium du Docteur Parnassus tout seul dans une salle toute vide (du coup ça parrait tout de suite plus normal, non ?)
Bon c'est bien du Terry Gilliam tout craché, ça alterne les costumes et décors bien crades et des persos bien déjantés style L'Armée des 12 Singes avec des décors bien plus Tim Burton-esques style le Baron de Munchaüssen.
Après un démarrage plutôt long, le déroulement du film est un peu chaotique et à certains moments on se demande un peu vers où ça va d'autant plus que la raison réelle de la présence du personnage du pendu/St George/Tony n'est pas vraiment clair avant la fin et aussi du fait que le personnage du Dr Parnassus est tellement effondré/déprimé/intoxiqué qu'il a l'air d'être très/trop détaché de ce qu'il perdra quand il perdra son paris face au diable.
A noter l'utilisation astucieuse de Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrel pour pallier au décès en cours de tournage de Heith Ledger. En effet à chaque fois que Tony traverse le mirroir son apparence est transformée pour prendre celle d'un plus "beau gosse" que lui (la première -Johnny Depp- fois grace à l'imagination d'une femme riche, la seconde -Jude Law- à cause de la sienne propre et la 3ème -Colin Farrel- à cause de l'imagination de la fille de Parnassus).
La morale de cette histoire est : parfois quand le diable aime bien tourmenter quelqu'un, il le tourmente souvent jusqu'au désespoir total, mais il peut aussi aller jusqu'à le laisser gagner de temps à autre, histoire de le remettre d'attaque pour la manche suivante. Toujours gagner ça serait gacher quand même ; et puis si par la même occasion on peut en profiter pour se débarraser de quelqu'un de genant autant en profiter : on melange, on touille et on profite du spectacle.
Bref c'est du Gilliam qu'on appréciera pour son univers étrange et dérangeant, ses persos dérangés et toqués, ses visuels féériques ou au contraire hard-reality, sa critique incisive du charity-business (mais lol le truc avec les gosses et l'apparition d'un Roosevelt-like) mais pas trop pour la force et la coérence de sa naration ou son style cinématographique.
Bon c'est bien du Terry Gilliam tout craché, ça alterne les costumes et décors bien crades et des persos bien déjantés style L'Armée des 12 Singes avec des décors bien plus Tim Burton-esques style le Baron de Munchaüssen.
Après un démarrage plutôt long, le déroulement du film est un peu chaotique et à certains moments on se demande un peu vers où ça va d'autant plus que la raison réelle de la présence du personnage du pendu/St George/Tony n'est pas vraiment clair avant la fin et aussi du fait que le personnage du Dr Parnassus est tellement effondré/déprimé/intoxiqué qu'il a l'air d'être très/trop détaché de ce qu'il perdra quand il perdra son paris face au diable.
A noter l'utilisation astucieuse de Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrel pour pallier au décès en cours de tournage de Heith Ledger. En effet à chaque fois que Tony traverse le mirroir son apparence est transformée pour prendre celle d'un plus "beau gosse" que lui (la première -Johnny Depp- fois grace à l'imagination d'une femme riche, la seconde -Jude Law- à cause de la sienne propre et la 3ème -Colin Farrel- à cause de l'imagination de la fille de Parnassus).
La morale de cette histoire est : parfois quand le diable aime bien tourmenter quelqu'un, il le tourmente souvent jusqu'au désespoir total, mais il peut aussi aller jusqu'à le laisser gagner de temps à autre, histoire de le remettre d'attaque pour la manche suivante. Toujours gagner ça serait gacher quand même ; et puis si par la même occasion on peut en profiter pour se débarraser de quelqu'un de genant autant en profiter : on melange, on touille et on profite du spectacle.
Bref c'est du Gilliam qu'on appréciera pour son univers étrange et dérangeant, ses persos dérangés et toqués, ses visuels féériques ou au contraire hard-reality, sa critique incisive du charity-business (mais lol le truc avec les gosses et l'apparition d'un Roosevelt-like) mais pas trop pour la force et la coérence de sa naration ou son style cinématographique.
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Re: On se re-fait un cinoche ^^
« Réponse #1194, le 17 Janvier 2010 à 16:23 »Modifié le 17 Janvier 2010 à 16:27 par Battou
Perso j'ai bien adhéré au trip. Dans l'absolu je ne suis pas contre les délires expérimentaux. Comme celui ci ou Buronson qui est également éprouvant mais plaisant. J'attends de voir Mr Nobody qui a une histoire intéressante et propre à une narration plutôt particulière.
Sinon Disney 2D le retour : La Princesse et la Grenouille.
Un espèce de mutant entre Shrek pour l'idée de base du scénar, Il était une fois, voire Kuzco pour quelques délires, personnages sifflés dont le Prince charmant-megalo qui a le groove dans le sang. Le mélange fonctionne plutôt bien, sans trop de magie ni génie, il se laisse regarder comme un bon film d'animation avec ce qu'il faut d'émotion et d'humour. J'aime aussi comment on y trouve quelques clichés "Disneyiens" quelque peu retournés (le personnage de la blondasse, le plus réussi de tout le film) ou quelques scènes plutôt osées qui causeront surement quelques cauchemars à des gamins sensibles.
Par contre rendez vous manqué au niveau musical avec des instants musicaux carrément pas à la hauteur du cadre de l'histoire.
Bref, plutôt chouette mais pas inoubliable... d'une part à cause d'une impression de potentiel gâché et de l'autre un peu de "déjà vu", que ce soit dans les péripéties du film et ses personnages.
Sinon Disney 2D le retour : La Princesse et la Grenouille.
Un espèce de mutant entre Shrek pour l'idée de base du scénar, Il était une fois, voire Kuzco pour quelques délires, personnages sifflés dont le Prince charmant-megalo qui a le groove dans le sang. Le mélange fonctionne plutôt bien, sans trop de magie ni génie, il se laisse regarder comme un bon film d'animation avec ce qu'il faut d'émotion et d'humour. J'aime aussi comment on y trouve quelques clichés "Disneyiens" quelque peu retournés (le personnage de la blondasse, le plus réussi de tout le film) ou quelques scènes plutôt osées qui causeront surement quelques cauchemars à des gamins sensibles.
Par contre rendez vous manqué au niveau musical avec des instants musicaux carrément pas à la hauteur du cadre de l'histoire.
Bref, plutôt chouette mais pas inoubliable... d'une part à cause d'une impression de potentiel gâché et de l'autre un peu de "déjà vu", que ce soit dans les péripéties du film et ses personnages.
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Re: On se re-fait un cinoche ^^
« Réponse #1195, le 18 Janvier 2010 à 04:09 »Modifié le 18 Janvier 2010 à 04:12 par Damien
Sherlock Holmes : Bon divertissement, la musique zimmerienne fait son petit effet avec une ambiance Brigades du Tigre. Une suite devrait avoir lieu car (cliquez pour montrer/cacher) . Dans le film que j'ai écouté ce soir, il y a une scène ou Downey Jr parle français (souvent mal et c'est à ce moment où les sous-titres anglais sont vachement utiles) pour donner la réplique à un ennemi qui est un acteur québécois, le même qui faisait le monstre de l'armée des immortels dans 300 !
L'Imaginarium du Docteur Parnassus : Munchausen + Burton + Delicatessen. Rien de neuf mais c'est frais à écouter. Belle brochette d'acteurs ceci étant.
The Book of Elie : Regardez, c'est super-Denzel Washington et son magic holy book ! Il va sauver la race humaine !
On pense automatiquement à Mad Max, HnK et un peu Waterworld. Elie overpowned les animaux et les méchants cradingues à coups de flèches, d'épée gunnmesque et de flingues. Mais l'aspect WTF en fin de film est qu'il fait finalement penser à un perso d'HnK qui est(cliquez pour montrer/cacher) Et là, on se dit que c'est un peu abusé...
A part ça, l'ambiance est très bonne, le cadrage est correc' et offre pas mal de vue sur les dégats de la Guerre. l'histoire reste plutôt conventionnelle si on retire la quête "Gooo West !" et la séquence papi et mamie se trémoussant sur les airs de leur jeunesse.
Bref, un post-apo movie à voir pour ceux qui aiment le genre.
Demain, Daybreakers où des vampires doivent sauver... oh ben tiens, encore la race humaine !
D's©
Moriarti est toujours resté dans l'ombre et commence à entrer en scène à la fin!
L'Imaginarium du Docteur Parnassus : Munchausen + Burton + Delicatessen. Rien de neuf mais c'est frais à écouter. Belle brochette d'acteurs ceci étant.
The Book of Elie : Regardez, c'est super-Denzel Washington et son magic holy book ! Il va sauver la race humaine !
On pense automatiquement à Mad Max, HnK et un peu Waterworld. Elie overpowned les animaux et les méchants cradingues à coups de flèches, d'épée gunnmesque et de flingues. Mais l'aspect WTF en fin de film est qu'il fait finalement penser à un perso d'HnK qui est
Shû !
A part ça, l'ambiance est très bonne, le cadrage est correc' et offre pas mal de vue sur les dégats de la Guerre. l'histoire reste plutôt conventionnelle si on retire la quête "Gooo West !" et la séquence papi et mamie se trémoussant sur les airs de leur jeunesse.
Bref, un post-apo movie à voir pour ceux qui aiment le genre.
Demain, Daybreakers où des vampires doivent sauver... oh ben tiens, encore la race humaine !
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Prévu d'aller le voir en IMAX 3D le week end prochain :parigot:
N'empèche je me rends compte que ça fait un sacré bout de temps que je n'ai pas mis le pied dans une salle de ciné... sachant qu'il y'a pas de film que j'aimerais voir en ce moment (Solist, Avatar, Zombie land, La Route....) Je vais m'offrir une carte UGC et camper au ciné pour les quelques jours de vacs que je pourrais gratter.
le trailer du prochain Nolan, mais ca donne envie de refrequenter les salles obscures dont je me suis moi aussi eloigne depuis... The Dark Knight.
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Yep, j'ai vu le trailer. Sur le papier y'a en effet de quoi avoir un film de folie, même si il y'a un peu de Paprika dans le pitch.
Mais bon, vue la pléiade de films, du dernier Clint (dont je suis un peu méfiant, quand même) ce week end à Iron Man 2, y'a de quoi patienter jusque là.
Et qu'ils nous confirme si il rempile pour Batman 3, bourdail ! Ils le disent tous (Freeman, Oldman, Caine), sauf lui ! :o
Mais bon, vue la pléiade de films, du dernier Clint (dont je suis un peu méfiant, quand même) ce week end à Iron Man 2, y'a de quoi patienter jusque là.
Et qu'ils nous confirme si il rempile pour Batman 3, bourdail ! Ils le disent tous (Freeman, Oldman, Caine), sauf lui ! :o
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Daybreakers: Regardez, c'est super-Ethan Hawke et sa cuve magique ! Il va sauver la race humaine !
On pense automatiquement à I am Legend (épidémie, plein de vampires mutants, très peu d'humains) à ceci près qu'il y a des gentils vampires et qu'ils ne sont pas tous mutants (ces derniers deviennent les ennemis des vampires de base).
Bref, un croc-movie à voir pour ceux qui aiment le genre.
D's©
On pense automatiquement à I am Legend (épidémie, plein de vampires mutants, très peu d'humains) à ceci près qu'il y a des gentils vampires et qu'ils ne sont pas tous mutants (ces derniers deviennent les ennemis des vampires de base).
Bref, un croc-movie à voir pour ceux qui aiment le genre.
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Sherlock Holmes :
Divertissant mais à aucun moment je n'ai vraiment été happé par l'intrigue et l'enquête. En fait j'ai l'impression que les blagues, vannes et histoires entre Holmes et Watson avaient carrément éclipsé l'intrigue. Acteurs excellents, de Downey Jr. qui encore une fois s'est bien éclaté à Mark Strong bien classe.
Divertissant mais à aucun moment je n'ai vraiment été happé par l'intrigue et l'enquête. En fait j'ai l'impression que les blagues, vannes et histoires entre Holmes et Watson avaient carrément éclipsé l'intrigue. Acteurs excellents, de Downey Jr. qui encore une fois s'est bien éclaté à Mark Strong bien classe.
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