Mmm mmm ? Et bientôt tu nous diras que Bridget Jones 3 c'est le film de l'année ? :o
Dans un autre genre, on a vu Captain Fantastic.
En gros c'est l'histoire d'un père qui élève ses six enfants dans une forêt de l'état de Washington loin de toute civilisation. Pas de Xbox en guise de chauffage, on coupe du bois. Les FPS ? Avec un arc, des flèches et un couteau. Ils jouent à Killer Instinct en vrai après un petit AMRAP "45 burpees + 1 mn de planche" en guise d'échauffement. En bien sûr, pourquoi se contenter de Rise of Tomb Raider "inferior version" quand on peut escalader de la falaise sous l'orage ?
La nuance ici, c'est qu'il ne s'agit pas de "retour à la vie sauvage". Nos petits gars se cultivent : ils lisent Descartes, connaissent toutes les décimales de la constante de Planck et parlent six langues (dont l'esperanto). L'ainé collectionne d'ailleurs les lettres d'admission des plus grandes facs.
La petite tribu est bouleversée quand la mère, hospitalisée jusqu'alors, se suicide. Les parents de cette dernière interdisant à Vigo Mortensen d'assister aux funérailles (même si contraire à ses dernières volonté), la petite famille sort leur vieux bus et tracent jusqu'au Nouveau Mexique.
Tantôt moqueur, tantôt grave, le film jongle plutôt habilement avec cette sacro-saint thématique du choc des cultures sans se disperser. Les nuances viennent des personnages qui vivent, chacun à leur manière, cette sorte de voyage presque initiatique.
On finit donc avec de jolies images en tête et pas mécontent du bout de voyage fait avec ces singuliers personnages. Une comédie "douce-amère" réussie, qui a d'ailleurs fait un carton au dernier festival de Deauville.
Dans un autre genre, on a vu Captain Fantastic.
En gros c'est l'histoire d'un père qui élève ses six enfants dans une forêt de l'état de Washington loin de toute civilisation. Pas de Xbox en guise de chauffage, on coupe du bois. Les FPS ? Avec un arc, des flèches et un couteau. Ils jouent à Killer Instinct en vrai après un petit AMRAP "45 burpees + 1 mn de planche" en guise d'échauffement. En bien sûr, pourquoi se contenter de Rise of Tomb Raider "inferior version" quand on peut escalader de la falaise sous l'orage ?
La nuance ici, c'est qu'il ne s'agit pas de "retour à la vie sauvage". Nos petits gars se cultivent : ils lisent Descartes, connaissent toutes les décimales de la constante de Planck et parlent six langues (dont l'esperanto). L'ainé collectionne d'ailleurs les lettres d'admission des plus grandes facs.
La petite tribu est bouleversée quand la mère, hospitalisée jusqu'alors, se suicide. Les parents de cette dernière interdisant à Vigo Mortensen d'assister aux funérailles (même si contraire à ses dernières volonté), la petite famille sort leur vieux bus et tracent jusqu'au Nouveau Mexique.
Tantôt moqueur, tantôt grave, le film jongle plutôt habilement avec cette sacro-saint thématique du choc des cultures sans se disperser. Les nuances viennent des personnages qui vivent, chacun à leur manière, cette sorte de voyage presque initiatique.
On finit donc avec de jolies images en tête et pas mécontent du bout de voyage fait avec ces singuliers personnages. Une comédie "douce-amère" réussie, qui a d'ailleurs fait un carton au dernier festival de Deauville.