Mes libraires m'aiment beaucoup. Mais il y en a un de la boutique qui me charrie à la cool :
"Pourquoi qu'tu fais que des mangasses avec des nichons violeurs et des fleurs cannibales ?" qu'il me dit
"Parce que BFF, tu peux pas test." que je lui réponds
Il est allergique à la japoniaiserie. Il me prend la jambe depuis quelques temps pour me ramener vers le droit chemin.
"Essayes ça' qu'il me balance
Citation "C'est quoi ce titre cliché ? Tu crois qu'un deadpool frenchy sera capable de me sucer correctement ?" que je lui dis
"T'as besoin d'une lecture qui te fasse rire et te montre une belle symbiose entre BD et comics. Et en plus, on reçoit le dessinateur ce samedi, tu vas tellement aimer que tu lui lècheras le slibard" qu'il m'assure
Dead end est une belle enflure qui ne cache pas sa haine du bonheur. Le ton est totalement maîtrisé dès les premières pages :
(cliquez pour montrer/cacher) :mdr:
Le scénario est un gros mix des poncifs anti-héros à mi-chemin entre Kick-ass et Watchmen et il installe très vite un climat zéro prise de tête avec des situations mindfuck et des punchlines classiques mais bien dosées. Quant au dessin, on est dans le haut du panier.
Mon libraire a réussi son pari. 3 volumes au compteur pour le moment. Présence à la session dédicace (je veux Sophie :wub:). Mais pas question de lécher quoique ce soit :o
Sophie, un dernier mot sur la série ?
(cliquez pour montrer/cacher) Merci Sophie, tu peux retourner dans ta cellule...
D's©
"Pourquoi qu'tu fais que des mangasses avec des nichons violeurs et des fleurs cannibales ?" qu'il me dit
"Parce que BFF, tu peux pas test." que je lui réponds
Il est allergique à la japoniaiserie. Il me prend la jambe depuis quelques temps pour me ramener vers le droit chemin.
"Essayes ça' qu'il me balance
Assassin de l'un des chefs de la pègre locale et voleur d'une formidable somme en diamants, Dead End est désormais considéré comme l'ennemi public numéro 1 de Roman City... une ville protégée par l'implacable Black Snake. Vingt-cinq ans plus tôt, Dead End est encore le jeune et détesté Jack Parks, souffre-douleur de son lycée, jusqu'au moment où il décide de se venger de tous ceux qui l'ont malmené.
"T'as besoin d'une lecture qui te fasse rire et te montre une belle symbiose entre BD et comics. Et en plus, on reçoit le dessinateur ce samedi, tu vas tellement aimer que tu lui lècheras le slibard" qu'il m'assure
Dead end est une belle enflure qui ne cache pas sa haine du bonheur. Le ton est totalement maîtrisé dès les premières pages :
Le scénario est un gros mix des poncifs anti-héros à mi-chemin entre Kick-ass et Watchmen et il installe très vite un climat zéro prise de tête avec des situations mindfuck et des punchlines classiques mais bien dosées. Quant au dessin, on est dans le haut du panier.
Mon libraire a réussi son pari. 3 volumes au compteur pour le moment. Présence à la session dédicace (je veux Sophie :wub:). Mais pas question de lécher quoique ce soit :o
Sophie, un dernier mot sur la série ?
D's©