[Alaiya]

E-nor-me!  :mdr2:

[Flavien]

Sublime  :notworthy: :roule:

[999]

Na mais c'est toi qui te fait des films Catwoman ou c'est vraiment une parodie d'HNK?

[Battou]

Le même épisode, 1 minute avant (je te fais grâce du pachinslot qui fait watatatata)

(le visage collé n'est pas un damage control pour camouffler du nez en 2 traits... c'est juste un "running gag de la série" qui consiste un peu à coller la tête de cette personne (producteur ou auteur d'origine, je ne sais plus) un peu partout...)

[999]

Ultime!  :ptdr:

[RoiLion.Thom]

Mais c'est quoi cette serie ?

Ca me donne furieusement envie !

[Battou]

Zetsubo Sensei, c'est fini et il n'y aura pas eu de Yaoi saint seiyen... par contre la série s'est conclue en apothéose avec la fameuse fan qui se mettait à imaginer son propre prof' dans une de ses bédés... et franchement...  wow.
Shaft est vraiment parti à fond dans son délire et même si tout n'était pas toujours compréhensible, cette série fut un sacré bon moment de poilade. J'espère vraiment qu'ils rempileront pour une 3e (même si ça condamne une fois encore Shinbo à de la comédie alors que j'aimerais vraiment le voir revenir sur un projet vraiment "sérieux").

Sinon j'ai pas trouvé de topic parlant de drama issus d'anime ou non... j'aurais pourtant juré que j'avais discuté avec Kamen de Nodame Cantabile.
Je suis donc tombé hier sur Rookies qui a aussi droit à son live depuis quelques temps.... et non seulement les acteurs surjouent mais cette fichue sensation de casting à côté de la plaque. Genre Shinjo qui se retrouve en blanc bec "on est pas loin de Gackt kya" au brushing impect alors que c'est clairement le badboy impressionnant en puissance, Anya et surtout Kawato aussi font office de gringalets par rapport au manga (surtout que c'était justement le décalage entre la carrure de Kawato et sa niaiserie joyeuse qui faisait le charme du personnage).
Cela dit ça me permet tout de même de me replonger à moindre cout dans cette tite histoire sympatoche que j'avais beaucoup aimée il y'a quelques années. L'ambiance générale est intacte, les gags font autant mouche.

[squekky]

Bon depuis plus d'une semaine je me prends dans la gueule, avec élan et préméditation un bon coup de nostalgie.

C'est fou comme cette série m'avait pris au tripes quand j'avais commencer à la lire. Puis vint en 2005 l'adaptation animée qui elle m'avait mise sur le cul comme çà sans rien dire. Un bon coup derrière les oreilles. Déjà le manga me faisait tripper, mais avec le son et la bande son c'était bon il n'y avait plus rien à dire. Surtout qu'en lisant et en matant je replongeais joyeusement dans l'ambiance lycée et dans tous les souvenirs de cette époque qui sont pour une époque ou je ne regrette rien que ce soit en mal ou en bien.

Donc il s'agit tout d'abord de Beck le manga de Harold Sakuishi. Pour le moment en France on en ait au volume 23, tandis qu'au Japon le voulume 33 ne devrait pas tarder à sortir. De plus l'attente se fait sentir car l'auteur a annoncé qu'il allait bientot mettre un terme à l'aventure Beck. Est ce un bien ou un mal, je ne saurais le dire. Car d'une part il sait ou il va et ca va éviter d'avoir des longueurs et des répétitions. Mais d'un autre coté une grosse décéption car ce manga me tenait au trippes et j'adorais suivre les aventures du groupe. Leurs répets, leurs démarches pour signer sur les labels et les galéres qui montrent que le monde de la zick ce n'est pas ce qu'on imagine et qu'on doit faire beaucoup de sacrifices.

Donc qu'est ce Beck.
Beck c'est l'histoire à la base de Yukio "Koyuki" Tanaka un jeune adolescent de 14 ans ( son age dans le premier volume). Il ne sait pas trop de quoi sera fait sa vie et le destin qu'il entrevoit l'ennui. Sa vie est plus que monotone et il le sait. Mais il suffit d'une rencontre pour que tout bascule. Un soir il tombe nez à nez avec Ryusuke un adolescent comme lui qui a vécu aux états unis. Mais en plus de cela c'est un grand passionné de musique. Il rêve que d'une chose devenir professionel et vivre de sa musique. Et pour cela il écume les salles de concert avec son groupe les sérials mama.
Cette rencontre va transformer Yukio, il va connaitre le monde du rock avec ces légendes mais aussi celui de la guitare. Ainsi il apprend la guitare avec son employeur M.Saito. Mais sont talent sera révélé non pas par la guitare mais par sa voix, car à la gratte malgres sa perseverence il demeure en dessa de Ryusuke. Et ce don va lui ouvrir les portes de Beck le nouveau groupe de Ryusuke. Et ensemble ils vont essayer de percer dans le monde dangereux de la musique avec leurs amis Taira ( basse), Chiba (chant lead) et Saku (batterie).

L'introduction est la même pour l'anime, mais ce dernier ne couvre que les douzes premiers volumes. Mais la bande son, la bande son c'est du datawo!!datawo!! dans les oreilles. Je peux vous dire que vos tympans n'en croiront pas leurs yeux. Déjà c'est pas de la bo made in jpop du moment visuel kei et moi aussi je suis choupi kawai. Non c'est du bon rock bien present et qui pete tout. Il faut dire qu'au commande on a Beat Crusaders, Typhoon 24 et Ryo Matsui le gratteux de Brillant Green qui dans une carriere solo sous le nom de meister a fait tres mal par son opus. Et il faut dire que les titres qu'il a donné au groupe Dying breed sont geniaux. Surtout le My world is down qui joue le rôle de titre ending des épisodes. Et lorsqu'il est mis en scéne dans le live du groupe il y a pas à dire on est sur le cul. L'ambiance du concert ressemble à du Deftones voir du Tool. On est litteralement absorbé et on en redemande. Surtout quand on connait le manga, le voir ainsi avec des morceaux tout bonnement géniaux on ne peut que sauter de joies.
Vient ensuite le titre rémanant qui lie certains personnage entre eux. Il s'agit de Moon on the water, une ballade qui nous accroche au plus profond de nous. C'est le titre à écouter surtout qu'il a été composé pour cet anime pas les Beat Crusaders.

Donc la suite sous spoiler pour ceux qui veulent en savoir plus

(cliquez pour montrer/cacher)

Aujourd'hui tout a bien changé à cette introduction. Ca fait plus de 4 ans que le groupe existe, et sa renommé ne cesse de grandir dans le milieu. Mais suite à differente altercation avec un producteur ils sont toujours dans la scéne indé mais ceci ne les empeche pas d'avancer et de continuer surtout qu'un producteur croit en eux et fait tout pour les porter sur le haut des projecteurs.
Il faut dire que leurs parcours a été semé d'embuches et que à plusieurs fois le split c'est fait sentir. Rien que la tourné au States qui leur a couté un max de fric c'est faite sans Ryusuke. C'était la période noir du groupe. Mais aujourd'hui une bonne étoile vieille sur eux. Il s'agit d'Eddy Lee le guitariste compositeur des Dyinng Breed qui fut malheureusement assassiné. Ami de Ryusuke, il avait tout fait pour permette à Beck d'exister. On se souvient du Live à Tokyo ou Yukio a chanté avec Matt sur le titre Moon on the Water. Et de là une amitié plus forte que jamais c'est noué. Et avant de mourir Yukio fut le seul à écouter le futur hit non achevé des Dyinng. Devil Ways c'est son nom et c'est le titre qui va donner à Beck ces lettre de noblesses.

Donc pour ma part Beck c'est une philosophie et un état d'esprit. La notion de musique est tres presente et bien plus réaliste que Nana. Le réalisme c'est le terme exact pour qualifier le manga Beck. Et les annotations vers les groupes d'aujourd'hui le sont encore plus. On parle bien sur de Niravana groupe culte d'une génération mais aussi des Red hot avec le jeu de slap de Fléa, des Rage against the machines, des Rolling Stones, Beatlles,Sex pistols, Clash, New York Dolls, Jimy Hendrix ou encore Queen.
Et rien que ca donne une dimension à l'oeuvre qui nous laisse point indifferent. Certes on y retrouve des problemes de l'adolescence et du passage à l'age adulte mais ceci n'entrave pas à l'intrigue generale. Car le heros n'est pas Yukio mais Beck.

Donc voici mon coup de coeur enfin mon re re re re re re coup de coeur sur Beck et en relisant ces tomes je me demande defois ce qu'il se serait passé si j'avais poussé le zick à fond au lieu de dire bye bye et de partir bosser mon bts alternance. Qui sait je me saurais peut être ramasser comme tous les groupes que je connais ou alors on aurait sortit un petit album en indé avant de voir d'autres possibilités. Mais je reconnais que quand je lis ce manga la scéne me manque tout comme l'ambiance des repets à pas d'heure.

Ahhhhhhhhhhhhh cette époque du lycée :pleure:

[Alaiya]

Vassalord: Avant hier, je flânais dans le rayon manga de Mollat à Bordeaux, et mon oeil est attiré par ça.

Jamais entendu parler. Je chope le bouquin, je feuillette et je trouve ça particulièrement à mon goût esthétiquement parlant. Et donc je l'ai lu ce matin... je vous copie-colle l'avis que j'ai posté sur mon LJ^^

Pour le résumé de ce premier tome, paru chez Kami, c'est par là.

Alors... pour le genre, comme vous pouvez le voir, cela a été classé dans du seinen, je reste néanmoins assez dubitative. Que l'atmosphère soit sombre, ok, qu'il y ait du sang et des tripes, d'accord (après tout, on est dans un trip vampires, ceci donc se justifie ), mais vu le gabarit à tomber par terre - et je pèse mes mots! - des deux protagonistes principaux, je me dis que le public féminin est visé à 200 %. Du josei? Pourtant, non, rien à voir. Shonen ai? A donf. Yaoi? Limite. TRES limite (mais pas explicite).

Tout d'abord, le graphisme. Les gouts et les couleurs, tout ça, mais personnellement, j'attends d'un manga qu'il soit irréprochable en terme de netteté, de lisibilité, de finesse, d'assurance et de réalisme (ce n'est pas pour rien que j'ai revendu mes 10 tomes d'épisode G). Et bien, Vassalord, c'est tout cela à la fois. De loin, ça me ferait presque penser au style du Nouvel Angyo Onshi - que si vous ne l'avez pas lu, vous êtes impardonnables - bien qu'un peu moins léché. Mais à peine. Quelques exemples piochés ça et là (sur l'Editotaku et sur le site officiel):

Charley a soif. Très soif.

La couverture du tome 2

Un aperçu du tome 1 (en espérant que ça fonctionne)

Les protagonistes - masculins donc - sont, du point de vue rendu, ce que je recherche habituellement dans ce genre "tendancieux", à savoir taillés selon des critères harmonieux, en nous épargnant les extrêmes. Dans ce cas précis, l'équilibre graphique entre les personnages est respecté.

Ensuite, le scénario. Je ne vous cacherai pas que ça va parfois (au moins sur deux points), un peu vite, même si cela ne gêne pas la compréhension. Disons qu'on a l'impression que l'auteur a voulu faire sa mise en place très rapidement, avant de passer aux choses sérieuses. Ce premier tome a d'ailleurs essentiellement pour objectif de nous présenter Johnny et Charley, l'état de leur relation à l'instant t et classiquement, d'accrocher le lecteur avec quelques mystères qui seront sans nul doute résolus très ultérieurement. Pour cela, on suit nos deux zigotos au fil de deux enquêtes, qui permettent également d'introduire des personnages secondaires qui auront certainement de l'importance plus tard.

Il n'y a pas de temps mort, ça file, l'action est présente sans être non plus étouffante, quelques séquences intimistes viennent pimenter calmer le jeu pervers entre les deux hommes, on ne s'ennuie pas une seconde. On se surprend aussi à chercher à deviner la suite compte tenu des éléments qui nous sont donnés de ci de là.

Enfin (le plus important? :P) la relation entre les deux vampires. Pour qui s'est penché un peu sur la question, on ne saurait qu'être relativement étonné par une apparente inversion de logique: en effet, Johnny est le maître de Charley (donc celui qui l'a créé), pourtant, Charley est celui qui s'abreuve auprès de son maître (à noter qu'on ne voit jamais celui-ci se nourrir, tiens...), en refusant tout autre source d'approvisionnement. Evidemment, leur façon d'échanger est on ne peut plus sensuel et laisse plus qu'à prêter à confusion. Ce qui est intéressant, c'est cette suggestion absolument permanente, et cette tension grandissante qui se manifeste dès que les deux sont dans la même pièce. Graou, quoi.

Ah oui: on se paye tout de même de belles tranches de rire. Il y de l'humour, quelques délires (surtout de la part de Johnny, absolument irrécupérable), mais dans des doses homéopathiques qui font qu'on se surprend à vraiment apprécier ces moments de détente, car ils ne durent jamais longtemps et n'arrivent pas comme une cheveu sur la soupe, étant toujours en rapport avec l'histoire en cours.


Je ne suis pas coutumière des mangas traitant du thème "vampires", aussi peut être ce manga n'a-t-il rien d'extraordinaire. Mais pour ce qui me concerne, j'ai vraiment beaucoup aimé.

... Va juste falloir attendre la suite, maintenant.

[Flavien]

Je viens de voir le premier épisode de l'arc de Paris de Nodame...

Dîtes, Kamen, Tinou, Meg... Quel est cet accent limite allemand que les Japonais nous proposent ? C'est du à une tentative de français phonétique ou ils ont une oreille particulière ?  :mdr:

[Kamen]

Ma reponse : ils font ce qu'ils peuvent! :peur:

[MCL80]

Mes Voisins les Yamadas volume 1 de HISAICHI Ishii, chez Akata

Un recueil (en 4 volumes en tout) de "4 cases" parus dans un grand quotidien japonais, et qui croquent la vie d'une famille japonaise "moyenne", avec la grand-mère, la mère au foyer, le père salarymen, les deux enfants et le chien. Comme il s'agit de dessin de presse, il n'y a aucun tramage, et le trait reste simple et épuré. C'est un ensemble de saynètes amusantes, dont beaucoup passent très bien l'épreuve de la traduction en français tant certain traits sont universels.

Un manga qui fait passer un bon moment pour se changer les idées… En le lisant, on voit aussi combien Isao Takahata a réussi a restituer l'esprit de cette œuvre dans son film éponyme.

[Battou]

Bon ben ouais, définitivement... Ippo c'est du fucking absolute win.

C'est simple, c'est direct et c'est pas vraiment redondant.
Je pense que le vrai exploit c'est d'avoir géré intelligemment les personnages qui ont, pour la plupart, de la gueule. En clair tout héros est il, Ippo n'éclipse pas vraiment les autres. Au contraire, sa relative modestie fait qu'il garde encore une certaine admiration pour ses anciens adversaires qui lui ont donné du fil à retordre. Mieux, ceux ci progressent, parfois plus rapidement que lui au point de le dépasser (du moins à son avis et celui de son coach ou autres observateurs... à part Sendo, je n'ai pas vu de match retour). De plus Morikawa gère très finement ses personnages en les distribuant dans autant de catégories/échelles de titres qu'il peut. Le but, faire en sorte qu'ils continuent à briller, sans pour autant qu'ils se marchent sur les pieds

(cliquez pour montrer/cacher)

Comme Mashiba qui passe à la catégorie d'au dessus, Miyata qui va voir du côté de l'Ocean Pacifique, Date à la poursuite de la moustache de Martinez.

Le truc est bien rythmé, jonglant donc habilement entre les objectifs des différents persos sans graviter forcément autour d'Ippo (d'ailleurs la seconde saison animée le rend presque figurant, vu que c'est Miyata et surtout Takamura qui y ont la vedette). Les combats ont une patate d'enfer que ce soit dans la version animée ou dans le manga, bien scriptés en essayant au possible d'éviter le "retournement miracle". Autre truc chouette dans les combats, les encouragements hystériques les larmes aux yeux quitte à en perdre la voix. Le meilleur que j'ai vu jusqu'à présent étant durant le combat de

Takamura pour la ceinture nippone.  :roule:

(cliquez pour montrer/cacher)

Sendo vs Ippo pour le titre du Japon était incroyable d'intensité,

l'enchainement de fin, surtout dans la version animée était incredible. Adoré aussi le match de Takamura contre Hawk qui clôt la saison 2.

Assez rare pour le signaler dans un manga de ce type, il n'ya pas vraiment de persos que je déteste. Ippo est un peu neuneu mais ça le rend un peu attachant et des persos comme Sendo, Miyata et Takamura fleurent bon la winnitude. Certains sont de vrais running gags ambulants (Takamura, Sendo) et apportent de vrais moments de poilade. Autre running gag, Ippo-Kumi + Mashiba

Bref, là direction les scantrads... pas envie d'attendre la S3 pour connaitre la suite.

[iDam]

Wolf aussi, dommage qu'il parte si vite...

A peu près le même avis que toi, sauf que je ne regarde pas l'anime. Les séquences off fight ne sont pas chiantes, les fights se résument rarement à 10 pages de blablas, beaucoup de persos sont sur un pied d'égalité.

Inconvénient : 89 volumes, toujours en cours... :wheelchair:

D's©

[Battou]

Pour Vorg... si il ne laisse pas tomber la boxe, ça ne m'étonnerait pas qu'un des lascars le recroise sur une scène internationale. Et puis j'ai cru comprendre qu'il était un des persos les plus populaires de la série donc m'étonnerait qu'il soit définitivement mis à l'écart.